Présidentielle anticipée du 7 septembre prochain: Jil Jadid devra se prononcer à la fin du mois de mai prochain

Soufiane Djilali, président de Jil Jadid (Photo, H. lyès/archives)
Soufiane Djilali, président de Jil Jadid (Photo, H. lyès/archives)
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Publié le Lundi 29 avril 2024

Présidentielle anticipée du 7 septembre prochain: Jil Jadid devra se prononcer à la fin du mois de mai prochain

  • Poursuivant, le parti de Soufiane Djilali revient sur la situation générale qui prévaut dans le pays et sur le plan international à quelques semaines de la convocation du corps électoral, prévue le 8 juin prochain
  • Au vu des bouleversements en cours dans le monde, les prochaines années seront déterminantes pour l’avenir de notre pays», indique la même source

Le parti Jil Jadid s’exprime à nouveau sur la présidentielle anticipée du 7 septembre prochain et annonce la convocation de son conseil national en vue de trancher sa position quant à une éventuelle participation à ce rendez-vous. «Le conseil politique formule l’espoir que les conditions d’un scrutin utile pour la nation seront rapidement réunies. 

De ce fait, Jil Jadid entame, auprès de ses militants et de ses cadres, une large consultation qui aboutira à la tenue d’un conseil national à la fin du mois de mai», explique cette formation dans un communiqué rendu public hier. Dans ce sens, Jil Jadid affirme également sa volonté d’«élargir ces consultations aux partis et aux personnalités nationales pour une évaluation plus précise de la situation du pays et entrevoir la possibilité d’une coopération en vue d’une évolution politique du pays dans les meilleures conditions». 

Poursuivant, le parti de Soufiane Djilali revient sur la situation générale qui prévaut dans le pays et sur le plan international à quelques semaines de la convocation du corps électoral, prévue le 8 juin prochain. «Dans pratiquement quatre mois, l’Algérie sera appelée à s’engager dans un nouveau mandat présidentiel pour 5 ans. Au vu des bouleversements en cours dans le monde, les prochaines années seront déterminantes pour l’avenir de notre pays», indique la même source. 

Selon ce parti, «le monde est en mutation profonde et rapide et les peuples qui ne se donneront pas les moyens politiques pour s’assurer un véritable développement dans des délais raisonnables se verront impitoyablement éjectés du cours de l’histoire».

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NDLR: Mosaïque est une revue de presse qui offre au lecteur un aperçu sélectif et rapide des sujets phares abordés par des quotidiens et médias de renommée dans le monde arabe. Arab news en français se contente d’une publication très sommaire, renvoyant le lecteur directement vers le lien de l’article original. L’opinion exprimée dans cette page est propre à l’auteur et ne reflète pas nécessairement celle d’Arab News en français.


Qui a la priorité au Liban… un président ou une république ?

Lebanon's Prime Minister Najib Mikati (Photo, AFP).
Lebanon's Prime Minister Najib Mikati (Photo, AFP).
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  • Ici, bien entendu, il est inévitable d’ajouter un nouveau facteur à la complexité de la situation libanaise
  • Ces obstacles - et leurs enchevêtrements au niveau régional - sont bien connus des parties concernées

Au milieu de la confusion persistante dans la situation politique libanaise, certains partis locaux continuent de suggérer que choisir un président est la solution souhaitée. Cependant, élire le président ne veut pas dire grand-chose et la république s’érode et se dissout de jour en jour.

Il ne fait aucun doute que l'élection du président constituera une dose positive, surtout si les parties concernées - sur le plan interne, régional et international - parviennent à s'entendre, même implicitement, sur le cadre et le rôle futurs du Liban, et si les difficultés qui ont empêché de combler le vide présidentiel depuis fin octobre 2022 est surmonté.

Ces obstacles - et leurs enchevêtrements au niveau régional - sont bien connus des parties concernées, actuellement représentées par les ambassadeurs du Comité Quintette (États-Unis, France, Royaume d'Arabie saoudite, Égypte et Qatar).

Ici, bien entendu, il est inévitable d’ajouter un nouveau facteur à la complexité de la situation libanaise. La « guerre de déplacement de Gaza » et ses conséquences, qui comprennent :

Premièrement : l’escalade de la féroce agression israélienne déclenchée par l’attaque du Hamas dans la bande de Gaza. Certains disent aujourd’hui qu’à moins que l’actuel « gouvernement de guerre » israélien ne tombe à cause d’une grave rupture entre son président, Benjamin Netanyahu, et son ministre de la Défense Yoav Gallant (et son bloc de 5 représentants), conduisant à la tenue de nouvelles élections. … il n’y aura aucun moyen de contenir les forces bruyantes profondément enracinées dans l’extrémisme sur lequel s’appuie Netanyahu. 

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La chéchia tunisienne : Un futur patrimoine immatériel de l’UNESCO ?

Lors d’une visite au moulin à foulon à El Battane, le ministre a annoncé le lancement, à partir du mois de juin, d’une campagne de lutte contre la contrefaçon (Photo, La Presse).
Lors d’une visite au moulin à foulon à El Battane, le ministre a annoncé le lancement, à partir du mois de juin, d’une campagne de lutte contre la contrefaçon (Photo, La Presse).
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  • L’AOC désigne les produits réalisés selon un savoir-faire reconnu dans une même aire géographique
  • Selon lui, la priorité sera maintenant d’inscrire le savoir-faire ancestral de la chéchia sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO

La chéchia tunisienne, couvre-chef emblématique du patrimoine de la Tunisie, est candidate au label « Appellation d’Origine Contrôlée » (AOC), a annoncé samedi le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Mohamed Moez Belhassine, lors de l’ouverture de la deuxième édition du Festival de la chéchia d’El Battane, dans le gouvernorat de la Manouba.

L’AOC désigne les produits réalisés selon un savoir-faire reconnu dans une même aire géographique.Le ministère du Tourisme, à travers l’Office National de l’Artisanat Tunisien (ONAT), œuvre pour labéliser une soixantaine de produits artisanaux en tout, en collaboration avec l’Institut National de la Normalisation et de la Propriété Industrielle (l’INNORPI), a-t-il ajouté, rappelant que la poterie de Sejnane a déjà obtenu ce label en 2023.

Selon lui, la priorité sera maintenant d’inscrire le savoir-faire ancestral de la chéchia sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO, soulignant que son département œuvre également à protéger ce produit contre la contrefaçon.

Lors d’une visite au moulin à foulon à El Battane, le ministre a annoncé le lancement, à partir du mois de juin, d’une campagne de lutte contre la contrefaçon dans les souks et les circuits touristiques, en collaboration avec le ministère du Commerce. « Tous les contrevenants seront sanctionnés », a-t-il insisté.

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L'envoyé américain dit que les islamistes sont «un problème pour nous et les Soudanais»

Envoyé spécial des États-Unis pour le Soudan Tom Perriello ( Photo, Asharq Al-Awsat).
Envoyé spécial des États-Unis pour le Soudan Tom Perriello ( Photo, Asharq Al-Awsat).
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  • Il a ajouté que les sanctions ne se limiteront pas aux institutions, mais cibleront les individus afin que leur travail soit affecté dans divers pays
  • De plus, l'envoyé a révélé que l'administration américaine était en contact avec tous les pays qui soutiennent la guerre au Soudan

L'envoyé spécial américain pour le Soudan, Tom Perriello, a souligné vendredi que son pays continuera à utiliser des sanctions pour faire pression sur les parties en guerre soudanaises afin qu'elles cessent les combats et parviennent à une solution dans le pays.

Il a ajouté que les sanctions ne se limiteront pas aux institutions, mais cibleront les individus afin que leur travail soit affecté dans divers pays.

S'exprimant lors d'une réunion avec le peuple soudanais dans la capitale kenyane Nairobi, il a souligné que les islamistes - partisans du régime échié - sont un "problème majeur pour nous et les Soudanais".

Il a déclaré que Washington est conscient que certains islamistes sont membres de l'armée et que d'autres étaient venus de l'étranger au Soudan pour rejoindre la guerre.

De plus, l'envoyé a révélé que l'administration américaine était en contact avec tous les pays qui soutiennent la guerre au Soudan. Il les exhorte à prendre une position positive envers le peuple soudanais, à ne pas interférer avec les affaires intérieures de leur pays qui ne font que prolonger la guerre.

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