Dana Ballout, productrice nommée aux Emmy Awards, nous parle de son amour de la narration

Dana Ballout a filmé au Ghana la série « Trafficked with Mariana Zeller ». (Fourni)
Dana Ballout a filmé au Ghana la série « Trafficked with Mariana Zeller ». (Fourni)
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Publié le Samedi 11 septembre 2021

Dana Ballout, productrice nommée aux Emmy Awards, nous parle de son amour de la narration

  • Je suis attirée par les histoires que les gens n'osent pas aborder de front", déclare Dana Ballout
  • Elle a consacré plusieurs années à couvrir la guerre en Syrie en tant que journaliste, notamment pour le Wall Street Journal

DUBAÏ : Dana Ballout est une productrice libano-américaine nommée aux Emmy Awards pour la série « Trafficked with Mariana Zeller ». Pour elle, le moment où elle a commencé à s'intéresser à ce qui se passait dans le monde est bien connu. C'était le 14 février 2005.

En ce matin de la Saint-Valentin, elle était assise en classe (de terminales) lorsqu'une bombe a explosé dans le quartier voisin, faisant trembler les vitres incassables de l'immeuble. Le premier ministre libanais, ayant  récemment démissionné, Rafic Hariri, est assassiné.

Mme Ballout a grandi dans une maison où la table accueillait le journal tous les matins et où la télévision était allumée tous les soirs à 20 heures précises pour suivre les informations. C'était sa mère qui tenait à être informée, et cela avait toujours agacé Dana. Ce jour-là, elle court de l'école pour retrouver sa mère. Ce jour-là, un sentiment se réveille en elle, et il l’accompagnera à jamais.

Ballout avait grandi dans un foyer où la table accueillait le journal tous les matins. (Fourni)
Ballout avait grandi dans un foyer où la table accueillait le journal tous les matins. (Fourni)

 

« Je n'arrivais pas à rejoindre ma mère. Une fois arrivée à l'appartement, elle était là ! Heureusement. Les vitres de ma chambre étaient brisées. J'ai donc passé la nuit à côté d'elle. C'est ce jour-là que j'ai commencé à suivre les nouvelles avec elle », raconte Mme Ballout à Arab News.

 

Ce jour-là, Dana s'est demandé pour la première fois « pourquoi ». Un pourquoi auquel elle essaye de répondre depuis seize ans. Elle a consacré plusieurs années à couvrir la guerre en Syrie en tant que journaliste, notamment pour le Wall Street Journal. Cependant, c'est dans les podcasts et les documentaires qu'elle s'est exprimée au mieux, dans la mesure où ils lui permettaient de plonger dans la vie des gens comme jamais auparavant. «Lorsque je couvrais la guerre en Syrie, les nouvelles ne cessaient de se succéder. Je ne pouvais pas passer autant de temps que je le voulais avec les personnes qui faisaient l'objet de mes articles ; je me sentais souvent coupable. Il me semblait que je ne rendais pas justice aux gens. Grâce aux documentaires, je suis désormais en mesure de relater les histoires des gens comme il se doit ».

Pendant des années, elle a couvert la guerre en Syrie en tant que correspondante pour des médias tels que le Wall Street Journal. (Fourni)
Pendant des années, elle a couvert la guerre en Syrie en tant que correspondante pour des médias tels que le Wall Street Journal. (Fourni)

Pendant des années, elle a couvert la guerre en Syrie en tant que correspondante pour des médias tels que le Wall Street Journal. (Fourni)

Mme Ballout raconte des histoires, mais celles qu'elle préfère relater sont celles que peu de gens osent aborder. Il s'agit souvent d'histoires poignantes, comme dans le dernier documentaire qu'elle a co-produit, « Groomed », qui retrace le retour d'une femme dans sa ville natale à la quête de l'homme qui a abusé d'elle lorsqu'elle était enfant.

Dans « Trafficked », dont la troisième saison vient d'être produite par National Geographic, Mme Ballout voyage avec son équipe à travers le monde pour présenter la pègre mondiale, elle s'entretient avec les titans des activités illégales telles que l'escroquerie, les stéroïdes, la contrefaçon et le braconnage.

« Les histoires que j'ai relatées tout au long de ma carrière sont celles que les gens ont du mal à aborder de front. Je ne sais pas pourquoi elles m'attirent autant. J'ai couvert des guerres, des actes de terrorisme, des abus, la crise des réfugiés et des réseaux criminels ;  j'ai ainsi interviewé des personnes que la société préfère ignorer », explique Mme Ballout.

Dana Ballout s'est entretenue avec Hamed Sinno du groupe Mashrou' Leila. (Fourni)
Dana Ballout s'est entretenue avec Hamed Sinno du groupe Mashrou' Leila. (Fourni)

« Je pense qu'il faut examiner de près les choses que nous jugeons malveillantes ou mauvaises et essayer de les comprendre », poursuit-elle. « Je pense que notre société progresserait si nous ne cherchions pas à repousser ces personnes et si nous essayions plutôt de comprendre ce qui les amène à agir de la sorte. Il nous arrive de faire des découvertes inattendues. J'ai découvert que dans les coins les plus sombres, on trouve de la lumière ; il reste plein d'espoir pour l'humanité. Dans les endroits où d'autres n'osaient pas aller, j'ai rencontré de belles histoires sur la résilience des gens. C'est ce qui m'inspire à aller de l'avant”.

Au Liban, où elle a grandi, Mme Ballout a souvent été confrontée au monde souterrain du marché noir, qui a marqué la vie quotidienne de bien des gens au lendemain de la guerre civile.

« Etant jeune, j'ai été obligée de côtoyer ces gens-là. J'ai donc appris que ceux qui opèrent dans les mondes souterrains plutôt que dans le monde légal des affaires ne le font pas parce qu'ils sont peu intelligents ou manquent d'esprit d'entreprise, mais parce qu'ils sont intelligents. Ils ne font que jouer les cartes que la vie leur a distribuées. Ce sont les circonstances, les lieux et les privilèges qui diffèrent », explique Mme Ballout.

Si Mme Ballout se consacre avant tout aux documentaires, sa passion pour le podcasting ne la quittera jamais. Ce média l'a conquise le jour où elle a écouté la populaire émission de radio américaine « This American Life », qui retrace le quotidien des gens ordinaires. Aujourd’hui, elle participe régulièrement aux podcasts Kerning Cultures, depuis sa création à Dubaï en 2015 par Hebah Fisher et Razan Alzayani.

La mère de Dana Ballout. (Fourni)
La mère de Dana Ballout. (Fourni)

Peu importe son emploi du temps chargé, elle ne se séparera jamais de ce travail. Après tout, c'est bien là qu'elle a raconté pour la première fois une histoire dont elle est fière, une histoire partagée et sitôt terminée avec enthousiasme avec sa mère, le moment où elle s'est enfin trouvé une voix.

« Je parlais d’un artiste graffeur qui avait dessiné une fresque de la chanteuse libanaise emblématique Sabah. Honnêtement, l'histoire n'était pas très intéressante pour la radio. Mais, pour la première fois, j'ai eu l'impression de raconter une histoire humaine de manière créative, sur les gens avec qui j'ai grandi dans la rue. C'était une histoire qui émanait du plus profond de moi. À partir de ce moment-là, j’ai eu le courage de raconter des histoires qui me tenaient à cœur », dit-elle.

Mme Ballout étend sa contribution à ce média, en écrivant et en produisant sa propre série de documentaires diffusés en podcast, « The Messenger », sorti au début de l'année. Elle porte sur un dirigeant ougandais corrompu et sur la principale popstar du pays, qui mène un mouvement visant à le renverser. Ce documentaire a reçu d'énormes éloges, notamment de la part du New Yorker.

Dana Ballout s'aventure également dans la fiction à travers la production du film « The Falconer », tourné intégralement à Oman et réalisé par les cinéastes américains Seanne Winslow et Adam Sjoberg. Le film, qui figure actuellement sur la liste des festivals, présente le fils d'un apiculteur qui tente de voler les animaux d'un zoo et de les vendre pour sortir sa sœur d'un mariage abusif ; il se trouve ainsi confronté à son meilleur ami, un Occidental privilégié.

Aujourd’hui, elle participe régulièrement aux podcasts Kerning Cultures, depuis sa création à Dubaï en 2015 par Hebah Fisher et Razan Alzayani. (Fourni)
Aujourd’hui, elle participe régulièrement aux podcasts Kerning Cultures, depuis sa création à Dubaï en 2015 par Hebah Fisher et Razan Alzayani. (Fourni)

Aujourd’hui, elle participe régulièrement aux podcasts Kerning Cultures, depuis sa création à Dubaï en 2015 par Hebah Fisher et Razan Alzayani. (Fourni)

Grâce à ce film, Mme Ballout espère instaurer une nouvelle forme de collaboration entre les cinéastes américains et ceux de la région, en racontant des histoires plus fidèles, centrées sur les êtres humains, lesquelles sont inspirées du Moyen-Orient et racontées par des cinéastes arabes.

« Le Moyen-Orient regorge de richesses, que ce soit au niveau des talents ou des paysages. Notre région peut devenir un pôle d'attraction pour les activités créatives provenant des quatre coins du monde », affirme Mme Ballout.

Dans tous ses projets, une constante persiste : la personne qui l'a inspirée à faire preuve de plus de curiosité. Sa mère, Ghada Richani, a été son soutien, la poussant à explorer plus en profondeur, à s'améliorer, et même à travailler comme traductrice et assistante caméra dans des pays étrangers.

« C'est d'elle que je tiens mon talent de narratrice. Chaque jour, je trouve en elle une source d'inspiration et le soutien qui me permet d'avancer. Je l'aime beaucoup et je ne serais pas la personne que je suis aujourd'hui si ce n'était par elle », confie Dana Ballout.

16 ans auparavant, Mme Ballout a fini par comprendre la curiosité de sa mère pour le monde et pour chaque chauffeur de taxi qu'elle rencontrait. Avec sa mère à ses côtés (elles vivent ensemble à Los Angeles), Ballout fait désormais partie des chroniqueurs de la vie quotidienne les plus influents du monde arabe, une mission qu'elle entend poursuivre pendant plusieurs décennies.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com.


Rencontrez la styliste russe qui vit « heureuse » en Arabie saoudite

Depuis son arrivée, Margo Marsden décrit son expérience de la vie en Arabie saoudite sur les réseaux sociaux. (Fourni)
Depuis son arrivée, Margo Marsden décrit son expérience de la vie en Arabie saoudite sur les réseaux sociaux. (Fourni)
Margo Marsden, citoyenne russe, s'est installée en Arabie saoudite et a partagé sa vie sur Instagram et TikTok. (Fourni)
Margo Marsden, citoyenne russe, s'est installée en Arabie saoudite et a partagé sa vie sur Instagram et TikTok. (Fourni)
Margo Marsden, une citoyenne russe, s'est installée en Arabie saoudite et a partagé sa vie sur Instagram et TikTok. (Fourni)
Margo Marsden, une citoyenne russe, s'est installée en Arabie saoudite et a partagé sa vie sur Instagram et TikTok. (Fourni)
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  • Notre installation en Arabie saoudite est la meilleure décision que nous ayons prise pour notre famille, et nous n'avons aucun regret, » a déclaré à Arab News Marsden, styliste professionnelle
  • Margo Marsden a vécu dans plusieurs pays avant de s'installer en Arabie saoudite, notamment en Malaisie, à Singapour, en Italie, en Turquie, au Liban, en Thaïlande, au Royaume-Uni et en Norvège

RIYAD : Margo Marsden s'est installée en Arabie saoudite il y a deux ans, lorsque son mari - un ingénieur britannique spécialisé dans le pétrole et le gaz - a accepté un emploi dans le Royaume. Depuis son arrivée, elle témoigne de son expérience de la vie en Arabie saoudite sur les médias sociaux. Son profil TikTok indique qu'elle est une « mère russe mariée à un père britannique [...] vivant heureuse en Arabie saoudite ».

« Conformément à nos attentes, nous avons trouvé une immense satisfaction à vivre en Arabie saoudite. Nous considérons que c'est la meilleure décision que nous ayons prise pour notre famille et nous n'avons aucun regret » a déclaré à Arab News Marsden, styliste professionnelle. « Vivre ici est incroyablement revigorant ; on peut sentir de manière tangible les transformations positives qui ont lieu dans le pays, en accord avec l'ambitieux plan Vision 2030. À mon avis, l'Arabie saoudite est idéale pour y vivre pour 2024. »

Mme Marsden est née et a grandi au Kazakhstan avant de s'installer en Russie avec ses parents à l'âge de 14 ans. Elle a vécu dans plusieurs pays avant de s'installer en Arabie saoudite, notamment en Malaisie, à Singapour, en Italie, en Turquie, au Liban, en Thaïlande, au Royaume-Uni et en Norvège.

Vivre ici est incroyablement revigorant ; on peut sentir de manière tangible les transformations positives qui ont lieu dans le pays, en accord avec l'ambitieux plan Vision 2030.

Margo Marsden, styliste russe en Afrique du Sud

Marsden a travaillé à Riyad pendant un mois en 2019 pour le magasin de mode Zara pendant le ramadan, et lorsque son mari lui a parlé de son offre d'emploi, elle a été enthousiasmée par la perspective de visiter à nouveau le Royaume.

« J'adore être ici, et j'ai hâte de partager mes connaissances avec les femmes locales et expatriées, afin d'élever leur niveau de confiance et peaufiner leur identité en matière de mode », a-t-elle déclaré.

Mme Marsden a maintenant plus de vingt ans d'expérience dans la mode. C'est une passion qui a débuté dans son enfance, lorsqu'elle confectionnait méticuleusement des tenues pour ses poupées Barbie avec les conseils de sa mère.

Mme Marsden explique qu'elle a été mannequin – et défilé en Russie, au Kazakhstan, à Hong Kong, en Malaisie, à Singapour, au Sri Lanka, au Liban, en Turquie, à Trinité-et-Tobago et en Thaïlande - avant de se tourner vers l'aspect commercial du secteur, et étudier le stylisme à l'Accademia Italiana de Bangkok et le stylisme personnel au London College of Style. Elle a travaillé comme acheteuse, créatrice de contenu et styliste.

« Mes activités artistiques s'étendent également à la photo ; j'ai coordonné des séances photos pour des clients personnels et professionnels », a-t-elle ajouté.

En tant que styliste, son principal objectif est de « mettre en valeur la beauté naturelle de mes clientes et d'inspirer confiance à chacune d'entre elles ». Bien que Mme Marsden n'ait pas encore de clients dans le Royaume, elle espère, à terme, pouvoir créer sa propre entreprise.

« Je suis impatiente d'offrir mon expertise aux personnes désireuses d'améliorer leur apparence. Aider les autres à paraître et à se sentir au mieux de leur forme me comble énormément », a-t-elle ajouté.

Pour suivre le parcours de Marsden en Arabie saoudite, rendez-vous sur son Instagram @margo.marsden.

 

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


Mort à 87 ans de l'Américain Frank Stella, figure du minimalisme

Ses premiers travaux comprenaient une série de peintures "à rayures", de grandes œuvres aux lignes noires précises sur une toile vierge, qui ont fait fureur dans le monde de l’art américain (Photo, AFP).
Ses premiers travaux comprenaient une série de peintures "à rayures", de grandes œuvres aux lignes noires précises sur une toile vierge, qui ont fait fureur dans le monde de l’art américain (Photo, AFP).
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  • Il avait lancé sa carrière en réalisant des peintures contrastant avec l’expressionnisme abstrait de l’époque, avec peu de couleurs
  • Frank Stella a été reconnu comme un artiste américain majeur avant d’avoir 25 ans et a poursuivi sa carrière pendant plus de six décennies

WASHINGTON: Frank Stella, peintre américain devenu une figure de l’art américain d’après-guerre, notamment avec ses premières œuvres minimalistes, est décédé à l’âge de 87 ans, ont rapporté samedi des médias américains.

Frank Stella s'est éteint dans sa maison de Manhattan, victime d'un lymphome, a rapporté le New York Times.

Il avait lancé sa carrière en réalisant des peintures contrastant avec l’expressionnisme abstrait de l’époque, avec peu de couleurs.

Ses premiers travaux comprenaient une série de peintures "à rayures", de grandes œuvres aux lignes noires précises sur une toile vierge, qui ont fait fureur dans le monde de l’art américain, et au-delà.

Artiste majeur 

Frank Stella a été reconnu comme un artiste américain majeur avant d’avoir 25 ans et a poursuivi sa carrière pendant plus de six décennies.

Il a exploré par la suite la couleur et la forme, réalisant occasionnellement des peintures de forme irrégulière avec des motifs géométriques. Dans les années 1970 et 1980, Stella se tourne de plus en plus vers les œuvres tridimensionnelles, incorporant de l’aluminium et de la fibre de verre dans ses œuvres, avant d'exécuter des sculptures monumentales.

Le musée d'Art moderne de New York lui a consacré deux rétrospectives en 1970 et 1987.


Imane Alaoui, auteure de «Flavors of Morocco Transcended», rejoint E& Beach Canteen pour un cours culinaire en direct ce dimanche

Imane Alaoui, auteure du livre de recettes « Flavors of Morocco Transcended » (fournie)
Imane Alaoui, auteure du livre de recettes « Flavors of Morocco Transcended » (fournie)
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  • Rejoignez Imane pour un cours de cuisine marocaine à la pittoresque cantine E& Beach, située sur la plage de Jumeirah à Dubaï
  • Imane Alaoui s'est donné pour mission de détruire le mythe selon lequel la cuisine marocaine est trop complexe

DUBAÏ : Imane Alaoui, auteure du livre de recettes « Flavors of Morocco Transcended », invite les aficionados de la cuisine à embarquer pour un voyage culinaire sans précédent.

Rejoignez Imane pour un cours de cuisine marocaine à la pittoresque cantine E& Beach, située sur la plage de Jumeirah à Dubaï.

Au cours de cette expérience immersive, les participants visiteront la cuisine marocaine, découvrant et savourant des recettes exquises adaptées aux palais et aux styles de vie modernes. Au cœur de l'événement se trouve le célèbre tajine marocain, pour s'adapter à l'emploi du temps trépidant des habitants de Dubaï.

Flavors of Morocco Trenscended par Imane Alaoui (fournie)
Flavors of Morocco Transcended par Imane Alaoui (fournie)

Imane Alaoui s'est donné pour mission de détruire le mythe selon lequel la cuisine marocaine est trop complexe, en veillant à ce qu'elle soit accessible à tous ceux qui ont une passion pour la cuisine et un amour pour les saveurs diverses. Grâce à ce cours culinaire, les participants acquerront des connaissances inestimables, des compétences pratiques et une nouvelle appréciation de la riche tapisserie de la gastronomie marocaine.

Pour vous lancer dans cette aventure culinaire, rendez-vous sur : www.breakbread.com/experiences .

À propos d'Imane Alaoui :

Passionnée de cuisine et par le partage de son héritage, Imane Alaoui est connue pour son approche innovante de la cuisine marocaine. Elle cherche à inspirer les autres pour embrasser la richesse et la diversité de la gastronomie marocaine.

À propos de « Flavors of Morocco Transcended » (Les saveurs du Maroc transcendées)

« Les saveurs du Maroc transcendées » est un livre de recettes qui réinvente les plats marocains traditionnels pour un public moderne. Le livre présente un mélange harmonieux de saveurs authentiques et de tournures contemporaines, invitant les lecteurs à un voyage culinaire captivant à travers le paysage culinaire vibrant du Maroc.