Un musée parisien retravaille la statue de cire de l'acteur Dwayne Johnson, largement critiquée

L'acteur américain Dwayne Johnson assiste à la 95e cérémonie annuelle des Oscars au Dolby Theatre à Hollywood, en Californie, le 12 mars 2023 (Photo, AFP).
L'acteur américain Dwayne Johnson assiste à la 95e cérémonie annuelle des Oscars au Dolby Theatre à Hollywood, en Californie, le 12 mars 2023 (Photo, AFP).
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Publié le Mardi 24 octobre 2023

Un musée parisien retravaille la statue de cire de l'acteur Dwayne Johnson, largement critiquée

  • Dwayne Johnson s'est joint dimanche au concert de moqueries autour de la statue à son effigie
  • «Sachez que je vais demander à mon équipe de contacter nos amis du musée Grevin, à Paris en France, afin que nous travaillions à 'mettre à jour' ma statue de cire avec d'importants détails et améliorations – à commencer par la couleur de peau»

LOS ANGELES: Un musée de cire parisien a dit lundi "retravailler" la statue de la star américaine Dwayne Johnson, surnommée "The Rock", après que ce dernier s'est plaint de son manque de réalisme, notamment concernant "sa couleur de peau".

L'acteur aux origines afro-américaines et des îles Samoa, s'est joint dimanche au concert de moqueries autour de la statue à son effigie, récemment dévoilée par le musée et le présentant avec une carnation claire.

"Sachez que je vais demander à mon équipe de contacter nos amis du musée Grévin, à Paris en France, afin que nous travaillions à 'mettre à jour' ma statue de cire avec d'importants détails et améliorations – à commencer par la couleur de peau", a-t-il écrit sur Instagram.

Sollicité par l'AFP, le musée Grévin a assuré lundi qu'il allait "retravailler la statue ce soir" afin d'en présenter une nouvelle version dès mardi matin.

"Ils vont travailler toute la nuit dessus pour qu'elle soit plus en adéquation avec les attentes de ses fans", a déclaré Yves Delhommeau, directeur général du musée Grévin, précisant que les équipes allaient "aussi changer la lumière parce qu'il y avait une question de lumière qui éclaircissait son grain de peau".

"Il viendra plus tard nous voir pour voir s'il y a des modifications supplémentaires à faire", a-t-il ajouté.

La statue de l'acteur a été dévoilée par le musée la semaine dernière sur les réseaux sociaux, provoquant une pluie de critiques et de moqueries.

"Vous faites ressembler The Rock à David Beckham. On dirait que The Rock est sur le point de faire partie de la famille royale. Je suis légèrement offensé", s'était ainsi moqué l'humoriste américain James Andre Jefferson Jr. dans une vidéo repartagée par l'acteur Dwayne Johnson.

Le musée Grévin, qui accueille 800.000 visiteurs par an et met en scène de plus de 250 célébrités, avait déjà suscité une polémique en 2018, en présentant une sculpture, peu réussie de son propre aveu, à l'effigie d'Emmanuel Macron.

La réalisation d'une de ces statues de cire prend six mois et coûte entre 50.000 et 60.000 euros.


« I like it hot ! » : J. Lo fait sensation à Abou Dhabi

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  • Jennifer Lopez, 56 ans, prouve qu’elle reste l’une des artistes les plus enflammées au monde

ABOU DHABI: De retour à Abou Dhabi après son spectacle magistral en février, Jennifer Lopez a dansé toute la soirée mardi à l’Etihad Arena sur l’île de Yas dans le cadre de sa tournée mondiale « Up All Night ».

En interprétant ses tubes cultes comme « On the Floor », « Ain’t Your Mama » et « Dance Again », Lopez a fait monter la température avec son énergie débordante et ses chorégraphies percutantes.

Même si j’ai regretté que « Jenny From the Block » n’ait pas bénéficié d’un moment à elle, Lopez l’a tout de même interprétée en medley avec « We Will Rock You » de Queen.

Pour célébrer ses 56 ans, elle a chanté « Birthday », le single sorti le 24 juillet, très applaudi par le public.

La superstar a remercié ses fans et les a encouragés à s’aimer les uns les autres et à suivre ce qu’ils aiment.

Elle a également plaisanté sur la chaleur intense des Émirats. « I like it hot ! », a-t-elle lancé en se ventilant.

Avec plusieurs changements de tenues et des plages musicales bien calibrées, le show a alterné entre titres dynamiques, ballades lentes et medleys.

Lopez a rendu hommage à sa culture latino en interprétant quelques-uns de ses succès en espagnol, notamment « Qué Hiciste » et « Si Una Vez ».

Elle a chanté en dansant le flamenco, vêtue d’une tenue inspirée du traje de flamenca, la robe traditionnelle des femmes aux festivals andalous.

L’artiste n’est pas étrangère au Golfe : elle avait déjà fait sensation en avril lors du Grand Prix d’Arabie saoudite de F1 à Djeddah, puis en novembre dernier à Riyad pour l’événement « 1001 Seasons of Elie Saab ».

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L’artiste saoudienne met en lumière le riche paysage culturel de l’Asir à travers ses œuvres

L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
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  • Arafat Al-Asimi a surmonté de nombreux défis pour s’imposer comme artiste en tant que femme

MAKKAH : Les montagnes verdoyantes de la région d’Asir en Arabie saoudite ont nourri la vision artistique d’Arafat Al-Asimi.

En évoquant ses débuts, Al-Asimi confie qu’elle aime utiliser des couleurs pastel pour représenter des paysages naturels et patrimoniaux. Les montagnes, les vallées, les nuances des forêts et le climat unique de la région ont nourri son imagination artistique.

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L’artiste Arafat Al-Asimi affirme se sentir chez elle au cœur de la nature et des paysages traditionnels. (Fournie)

Elle explique se sentir profondément liée à la nature et aux dessins de paysages traditionnels, en particulier ceux inspirés de l’Asir, car ils traduisent son fort sentiment d’appartenance et lui procurent un équilibre et un confort psychologique.

Elle partage également sa passion pour l’intégration de la calligraphie arabe dans ses œuvres, soulignant combien cette pratique allie esthétique visuelle et identité culturelle.


Le programme Saudi Game Champions soutient les talents locaux pour une portée mondiale

Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
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  • Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux
  • L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme

RIYAD : Le Centre de l'entrepreneuriat numérique du ministère des communications et des technologies de l'information a conclu le programme Saudi Game Champions, une initiative de neuf mois visant à soutenir la croissance des studios de développement du pays.

Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux.

L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme.

Elle a offert plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux d'Arabie saoudite.

Lors de la cérémonie de clôture, Hussain Al-Safwan de LIMELESS Studio a remporté le prix du changement audacieux, tandis que Fahad Al-Jumaan de Hero Galaxy Studio a reçu le prix de l'inspiration.

Mostafa Fares a reçu le prix de la créativité et son collègue Ali Aseeri le prix du choix du public, tous deux représentant SYMMETRIC STUDIO.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre des efforts plus vastes déployés par le centre pour renforcer le rôle du Royaume dans l'industrie mondiale du jeu.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com