Après Riyad, Le Fantôme de l’Opéra se produira à Dubaï

 Cette comédie musicale raconte l'histoire d'un génie qui hante les profondeurs de l'Opéra de Paris au XIXe siècle. (fournie)
Cette comédie musicale raconte l'histoire d'un génie qui hante les profondeurs de l'Opéra de Paris au XIXe siècle. (fournie)
La production de Broadway Entertainment Group, en association avec The Really Useful Group Ltd, offre au public une comédie musicale spectaculaire. (fournie)
La production de Broadway Entertainment Group, en association avec The Really Useful Group Ltd, offre au public une comédie musicale spectaculaire. (fournie)
La comédie musicale d'Andrew Lloyd Webber sera jouée à Dubaï du 22 février au 10 mars.
La comédie musicale d'Andrew Lloyd Webber sera jouée à Dubaï du 22 février au 10 mars.
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Publié le Mardi 26 mars 2024

Après Riyad, Le Fantôme de l’Opéra se produira à Dubaï

  • La comédie musicale d'Andrew Lloyd Webber, acclamée par la critique, a remporté plus de soixante-dix prix de théâtre
  • Trente-sept ans après les débuts de la comédie musicale d'Andrew Lloyd Webber dans le West End de Londres, en 1986, il fallait imaginer une nouvelle mise en scène

DUBAÏ: Basée sur le classique français Le Fantôme de l'Opéra de Gaston Leroux, cette comédie musicale raconte l'histoire d'un génie connu sous le nom du «Fantôme », qui hante les profondeurs de l'Opéra de Paris au XIXe siècle.

La comédie musicale d'Andrew Lloyd Webber, acclamée par la critique, a remporté plus de soixante-dix prix de théâtre et a fait sensation dans le monde avec plus de 13 900 représentations à Broadway. Elle sera jouée à Dubaï du 22 février au 10 mars.

Cette histoire faite de passion et de drames bénéficie d’une mise en scène avant-gardiste. Elle a pour personnages un «fantôme international» ou Erik (Nadim Naaman), sa protégée, Christine (la jeune soprano Georgia Wilkinson) et le vicomte Raoul de Chagny (Dougie Carter).

«Christine est un personnage multidimensionnel. Ses nombreuses caractéristiques sont presque contradictoires. Ce personnage est complexe et montre simultanément vulnérabilité et force, naïveté et maturité», confie Georgia Wilkinson.

Réalisée par Stephen Barlow, «la nouvelle production nous a permis d'explorer les personnages et de trouver ce que nous pouvions en tirer qui serait différent des précédentes productions», ajoute la chanteuse.

Trente-sept ans après les débuts de la comédie musicale d'Andrew Lloyd Webber dans le West End de Londres, en 1986, il fallait imaginer une nouvelle mise en scène de cette mythique comédie musicale, l’une des plus populaires du monde. Il s’agissait de rester fidèle à son ancien public tout en s’adressant à la nouvelle génération.

«Cela offre une opportunité, en tant qu'acteur, d'essayer de rendre le personnage plus humain, plus tridimensionnel», souligne Nadim Naaman dans une interview accordée à Arab News en français. (fournie)
«Cela offre une opportunité, en tant qu'acteur, d'essayer de rendre le personnage plus humain, plus tridimensionnel», souligne Nadim Naaman dans une interview accordée à Arab News en français. (fournie)

«Sur le plan visuel, c'est une nouvelle version. Ce qui est intéressant dans une interprétation “réimaginée”, c'est que vous devez trouver une nouvelle manière de raconter cette histoire que tout le monde aime et connaît, et cela offre une opportunité, en tant qu'acteur, d'essayer de rendre le personnage plus humain, plus tridimensionnel», souligne Nadim Naaman dans une interview accordée à Arab News en français.

Les changements technologiques au cours des quarante dernières années ont permis des ajouts au spectacle tout en préservant les moments emblématiques, notamment le bateau qui traverse la scène, le lustre, le grand escalier.

La production de Broadway Entertainment Group, en association avec The Really Useful Group Ltd, une société internationale créée par Andrew Lloyd Webber, vise à offrir au public une comédie musicale ambitieuse et spectaculaire.

Le design, inspiré de l'Opéra Garnier, à Paris, rend hommage à ce bâtiment.

«Dans la production de Dubaï, on voit le toit de l'opéra, le grand dôme. Christine, Raoul et le Fantôme finissent par jouer des scènes tout en haut [alors que ce n’est pas le cas dans la production initiale, à Londres]. C'est tout simplement magnifique», souligne Nadim Naaman.

Tout en restant fidèle à l'intrigue, la production de 2024 est une interprétation à dimension cinématographique qui conserve tous les éléments théâtraux.

Conçu par Andrew Riley, le repaire du Fantôme est l'un des points forts du spectacle: un orgue géant de style gothique sculpté dans une cave. Avec ses partitions et ses papiers dispersés, la mise en scène aide le public à s’immerger dans l'histoire.

Les représentations du Fantôme de l'Opéra, qui durent deux heures et demie, nécessitent chaque jour des efforts rigoureux. Chaque rôle est exigeant du point de vue de la technique et de l’émotion.

«Le rôle est extrêmement dramatique d’un point de vue vocal, mais, une fois que vous vous y habituez, vous trouvez confiance en le chantant. [...] C'est un personnage très compliqué, émouvant, enthousiaste et agressif, ce qui nécessite d’être patient et d’apprendre à gérer ses efforts», explique Nadim Naaman.

La préparation de Nadim consiste en un maquillage de plus de deux heures par jour. Il est réalisé par la maquilleuse prothésiste Nicoletta Zani. «Je me sens tellement chanceux de jouer ce rôle emblématique dans un théâtre comme l'Opéra de Dubaï que je le vois vraiment comme un défi à relever», poursuit Nadim.

Le chanteur anglo-libanais écrit également des comédies musicales, comme Les Ailes brisées, de Gibran Khalil Gibran, en collaboration avec la compositrice qatarie Dana al-Fardan. Cette œuvre a été interprétée à Londres, Beyrouth, Doha, et à l'Opéra de Dubaï en 2020, avant la pandémie de Covid-19.

Il a également écrit une comédie musicale intitulée «Rumi: The Musical». Elle aborde le parcours du jeune Rumi, qui devient philosophe et poète.

«Nous travaillons en permanence pour essayer de donner aux deux spectacles plus de vie et faire en sorte qu’il y ait plus de pièces de théâtre et de comédies musicales au Moyen-Orient. C'est quelque chose en quoi nous croyons très fortement. Il s’agit de célébrer le patrimoine et la culture du Moyen-Orient», souligne Naaman.

Avant son arrivée à Dubaï, Le Fantôme de l’Opéra a hanté la scène de l'Arena de Riyad pendant environ huit semaines. En se produisant dans la région, après Londres et la Grèce, Nadim renoue avec ses origines moyen-orientales.

«Riyad a été une expérience incroyable. J’ai été marqué par cette ambition et cette volonté de permettre à la ville de s'ouvrir au monde, d'inclure l'héritage et la culture saoudienne, et les fusionner avec une communauté internationale diversifiée en l’invitant à venir collaborer», ajoute Nadim Naaman.

«Je suis absolument fasciné de voir à quoi la ville ressemblera dans quatre ou cinq ans. En organisant l'Expo 2030 et la Coupe du monde en 2034, Riyad va devenir un hub pour le tourisme, les arts, le divertissement et le sport. Cela va vraiment être un endroit qui accueillera un peu de tout le monde», s’enthousiasme-t-il.

Avec l'ouverture de la Royal Diriyah Opera House, prévue en 2028, Nadim Naaman semble impatient de se produire au cœur d'un site historique qui allie beauté naturelle et patrimoine.


Quatre chanteuses pour une diva: Céline Dion au coeur d'un nouveau spectacle hommage

Céline Dion se bat depuis 2022 contre le syndrome de la personne raide, une maladie neurologique incurable.  Après quatre ans sans se produire en public, elle était réapparue à la tour Eiffel lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, pour interpréter en mondovision l'intemporel "Hymne à l'amour" d'Édith Piaf. (AFP)
Céline Dion se bat depuis 2022 contre le syndrome de la personne raide, une maladie neurologique incurable. Après quatre ans sans se produire en public, elle était réapparue à la tour Eiffel lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, pour interpréter en mondovision l'intemporel "Hymne à l'amour" d'Édith Piaf. (AFP)
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  • Pour interpréter les plus grands tubes de Céline Dion, dont les fans espèrent le retour, quatre chanteuses se partagent l'affiche de "Génération Céline", spectacle hommage piloté par Erick Benzi, fidèle arrangeur de la star québécoise
  • Pour "Génération Céline", qui démarre vendredi à Beauvais (Oise) avant Paris ce week-end puis une tournée en 2026, il a écouté les maquettes de plus de 200 chanteuses avant de retenir une vingtaine de candidates pour les castings

PARIS: Pour interpréter les plus grands tubes de Céline Dion, dont les fans espèrent le retour, quatre chanteuses se partagent l'affiche de "Génération Céline", spectacle hommage piloté par Erick Benzi, fidèle arrangeur de la star québécoise.

"Il y a une vraie attente de se retrouver tous ensemble, de chanter, de danser sur les chansons qu'on connaît. Et je pense que Céline, elle incarne ça", s'enthousiasme Erick Benzi, aux manettes de ce "tribute", ou spectacle hommage, un format qui rencontre un vif succès en France comme à l'étranger.

Pour "Génération Céline", qui démarre vendredi à Beauvais (Oise) avant Paris ce week-end puis une tournée en 2026, il a écouté les maquettes de plus de 200 chanteuses avant de retenir une vingtaine de candidates pour les castings.

"D'abord, est-ce qu'on est capable de chanter +All by myself+ ? Il y a des chansons comme ça qui sont des espèces de couperets", lance Benzi, en référence au standard d'Eric Carmen repris par Céline Dion en 1996.

Quatre chanteuses ont été sélectionnées pour interpréter des tubes en français et en anglais, tels que "On ne change pas", "I'm alive" ou "My heart will go on", le thème du "Titanic" de James Cameron. Catherine Pearson - chanteuse québecoise qui officie déjà dans le spectacle "Passion Céline" au Canada -, Magali Ponsada, Chiara Nova et Virginie Rohart unissent leurs voix, aux ressemblances troublantes avec celle de leur idole.

Plutôt que de faire incarner la star par une seule artiste, il a préféré opter pour "le fun d'une soirée" où "on raconte sa vie musicale" comme "un groupe de fans", explique le directeur de ce show produit par Richard Walter, l'un des spécialistes des "tributes" (Queen, Pink Floyd).

"Populaire" 

"Je connais bien Céline, parce que j'ai fait quatre albums avec elle, donc je sais un peu comment raconter cette histoire-là sans la trahir, sans mettre quoi que ce soit en péril", assure Erick Benzi, qui a notamment œuvré sur son album culte "D'Eux", avec Jean-Jacques Goldman.

Mais "il faut être bien conscient qu'on ne peut pas remplacer Céline: ce n'est pas qu'une des cinq meilleures chanteuses du monde - déjà ça, c'est difficile à trouver - mais c'est aussi une icône de mode, un conte de fées", s'exalte celui qui fut aussi proche de son mari et mentor René Angélil, décédé en 2016.

Céline Dion se bat depuis 2022 contre le syndrome de la personne raide, une maladie neurologique incurable.

Après quatre ans sans se produire en public, elle était réapparue à la tour Eiffel lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, pour interpréter en mondovision l'intemporel "Hymne à l'amour" d'Édith Piaf.

L'amour du public tient en partie à sa musique, "à la fois très exigeante au niveau vocal et en même temps très populaire", relève Erick Benzi.

"Tribute to Céline Dion", "Entre-D'eux", "Destin": les spectacles-hommages à la star sont légion, portés par un répertoire qui reste une valeur sûre et la demande d'un public jamais rassasié.

D'autant que son éventuel retour, en concert ou à travers un nouvel album studio, alimente les rumeurs mais reste hypothétique à ce stade.

Les fans se consolent avec l'anniversaire de l'album "D'eux", sorti il y a 30 ans avec des chansons ("Pour que tu m'aimes encore", "Je sais pas") écrites par Goldman et devenues cultes. Il est encore le disque francophone le plus vendu au monde, à environ 10 millions d'exemplaires.

"Quand je serai plus là", déclarait la chanteuse de 57 ans dans un documentaire diffusé fin août sur M6, "je pense sincèrement qu'il sera encore joué et qu'il sera encore chanté".

 


Diriyah: écrin d’histoire, une exposition qui transporte les parisiens au cœur de l’Arabie Saoudite

D’emblée, l’exposition plonge le public dans une expérience multisensorielle. Les projections géantes des portes sculptées des maisons de la cité, décorées de pigments minéraux aux motifs simples et joyeux, rappellent le raffinement discret de l’architecture locale. (Photo Arlette Khouri)
D’emblée, l’exposition plonge le public dans une expérience multisensorielle. Les projections géantes des portes sculptées des maisons de la cité, décorées de pigments minéraux aux motifs simples et joyeux, rappellent le raffinement discret de l’architecture locale. (Photo Arlette Khouri)
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  • D’emblée, l’exposition plonge le public dans une expérience multisensorielle
  • Les projections géantes des portes sculptées des maisons de la cité, décorées de pigments minéraux aux motifs simples et joyeux, rappellent le raffinement discret de l’architecture locale

PARIS: À peine franchi le seuil du Grand Palais Immersif à Paris, le visiteur de l’exposition « Diriyah : un écrin d’histoire » quitte le tumulte parisien pour se retrouver transporté au cœur de l’Arabie saoudite.
Le parcours débute par un long couloir aux murs sobres, délicatement éclairés, recouverts de tapis tissés artisanalement et ponctués de chants d’oiseaux.
À son terme, une porte massive en bois brut, sculptée selon la tradition ancestrale de Diriyah : l’immersion commence, dans une atmosphère d’apaisement et de sérénité.

D’emblée, l’exposition plonge le public dans une expérience multisensorielle. Les projections géantes des portes sculptées des maisons de la cité, décorées de pigments minéraux aux motifs simples et joyeux, rappellent le raffinement discret de l’architecture locale.
Plus loin, un salon inspiré des habitations traditionnelles accueille les visiteurs. Assis au son apaisant du oud, ils dégustent café et figues, un goûter authentique qui évoque l’hospitalité saoudienne.

L’exposition déroule ensuite une série d’images monumentales retraçant la vie quotidienne d’autrefois : cavalerie, danses, vannerie et artisanats. Mais le point d’orgue du parcours est une immersion totale d’environ quatre minutes dans les rues de Diriyah.
Le spectateur se retrouve au milieu des habitants, partagé entre marchés animés, activités agricoles et scènes de fête : une expérience surprenante, qui donne l’impression de voyager sans quitter Paris.

Diriyah ne se limite pas à son passé. Située aux portes de Riyad, elle est aujourd’hui au cœur de la Vision 2030 de l’Arabie saoudite, un vaste plan de développement qui fait du patrimoine et de la culture des leviers de rayonnement international.

Cette exposition n’est pas seulement une prouesse visuelle : elle incarne l’esprit d’une cité majeure de l’histoire saoudienne. Diriyah, berceau de l’État saoudien, est en effet le lieu où la dynastie Al Saoud a vu le jour au XVIIIᵉ siècle, au sein du site d’At-Turaif.
Inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, At-Turaif est un ensemble exceptionnel de palais et de demeures en briques de terre crue, restaurés avec soin et visités aujourd’hui par des millions de personnes. Il permet de revivre les origines politiques et culturelles du Royaume.

Mais Diriyah ne se limite pas à son passé. Située aux portes de Riyad, elle est aujourd’hui au cœur de la Vision 2030 de l’Arabie saoudite, un vaste plan de développement qui fait du patrimoine et de la culture des leviers de rayonnement international.
Diriyah s’étend sur 11,7 km² et se compose de quartiers mêlant espaces résidentiels, commerciaux et culturels. Le projet de développement prévoit plus de 30 hôtels, des parcs, des zones de loisirs, ainsi que la création de 178 000 emplois.

Depuis son ouverture au public en 2022, Diriyah a déjà attiré plus de trois millions de visiteurs.

Parmi ses joyaux contemporains, les terrasses de Bujairi séduisent par leurs restaurants raffinés et leurs boutiques, tandis que le wadi Hanifa, une vallée verdoyante transformée en oasis moderne, invite à la promenade entre arbres nouvellement plantés, pistes cyclables et sentiers équestres.
Ce mélange de patrimoine et de modernité fait de Diriyah une destination unique, alliant mémoire historique, innovation et respect de l’environnement.

« Nous voulons que les visiteurs s’imprègnent pleinement de la vie de Diriyah, qu’ils ressentent son passé, son présent et son avenir », explique Saeed Abdulrahman Metwali, directeur général de la stratégie d’orientation touristique et du design.
Selon lui, l’expérience immersive proposée à Paris est une manière de donner un avant-goût de la richesse culturelle et humaine que Diriyah réserve à ses visiteurs : « À travers ces images, on découvre les habitants, les marchés, les maisons et l’âme de la cité. L’idée est d’offrir une perception vivante et authentique, qui incite à venir découvrir Diriyah sur place. »

Les chiffres confirment d’ailleurs cet engouement : depuis son ouverture au public en 2022, Diriyah a déjà attiré plus de trois millions de visiteurs.
L’objectif est ambitieux : en accueillir 50 millions d’ici 2030, grâce à une offre hôtelière et culturelle sans cesse enrichie.

L’exposition parisienne, de courte durée (du 12 au 14 septembre), illustre la volonté de Diriyah de s’ouvrir à l’international et témoigne de sa stratégie visant à se positionner comme un lieu mondial du tourisme culturel, où se conjuguent tradition et modernité.


Un documentaire met en lumière le patrimoine environnemental des monts Al-Arma

La chaîne de montagnes Al-Arma est située dans la réserve royale du roi Khalid, au nord-est de Riyad. (SPA)
La chaîne de montagnes Al-Arma est située dans la réserve royale du roi Khalid, au nord-est de Riyad. (SPA)
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  • Le film présente de superbes images panoramiques des montagnes d'Al-Arma
  • Le film sera diffusé sur la chaîne Thaqafiya et disponible sur la plateforme Shahid

RIYAD: L'Autorité de développement de la réserve royale Imam Abdulaziz bin Mohammed a annoncé la production d'un nouveau film documentaire sur les monts Al-Arma, un point de repère environnemental situé dans la réserve royale du roi Khalid, au nord-est de Riyad.

Sami Al-Harbi, directeur de la communication de l'autorité, a déclaré que le film présente des images panoramiques époustouflantes des monts Al-Arma, ainsi que des points de vue d'experts et de chercheurs qui discutent de leur importance environnementale et historique particulière.

Il a ajouté que le film sera diffusé sur la chaîne Thaqafiya et disponible sur la plateforme Shahid.

M. Al-Harbi a déclaré que cette production médiatique s'inscrivait dans le cadre des efforts déployés par l'autorité pour sensibiliser à l'environnement et promouvoir l'écotourisme durable, conformément aux objectifs de la Saudi Vision 2030.