« Ce nouveau modèle de distribution d'aide privatisée et militarisée représente un changement radical et dangereux par rapport aux opérations humanitaires internationales établies »
« Nous appelons la GHF et toutes les organisations et individus qui ont soutenu ou soutiennent le travail de la GHF et les sociétés militaires privées » opérant dans ses centres de distribution « à cesser leurs opérations »
Les sirènes retentissent à Manama. Le ministère de l'intérieur de Bahreïn demande à la population de rester calme et de se rendre dans l'espace sécurisé le plus proche.
Le Qatar condamne l'attaque, la qualifiant de "violation flagrante" de la souveraineté.
Le Royaume a affirmé sa solidarité et son soutien total au Qatar, et déploie toutes ses capacités pour soutenir le pays dans toutes les mesures qu'il prend.
Les pays arabes sont condamnés dans leur ensemble à la suite des attaques.
Le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi, a réagi en précisant qu'il n'existait « pas d'accord » à ce stade, mais que Téhéran n'avait « pas l'intention » de poursuivre ses frappes si Israël « arrêtait » son agression.
L'annonce de Donald Trump est intervenue peu après le lancement de missiles par l'Iran en direction de la base militaire américaine d'Al-Udeid au Qatar.
Selon le chef de l'Etat turc, "cet acte terroriste odieux", attribué par les autorités syriennes à un membre du groupe jihadiste Etat islamique (EI), vise notamment à saper "la culture du vivre ensemble et la stabilité de notre région"
Le groupe EI avait pris le contrôle de vastes pans des territoires syrien et irakien au début de la guerre civile syrienne, qui a éclaté en 2011, proclamant la création d'un "califat" transfrontalier en 2014
Un total de 23 personnes ont été blessées dans tout le pays lors des attaques, dont "deux dans un état modéré et les autres légèrement blessées", a affirmé à des journalistes Eli Bin, chef du Magen David Adom (MDA)
Plus tôt dans la journée, ce service de secours avait fait état de 16 blessés, alors que les opérations se poursuivaient pour venir en aide aux victimes des frappes de la nuit
« Les craintes de représailles et d'escalade de la guerre sont énormes, en particulier la fermeture du détroit d'Ormuz par l'Iran, qui serait extrêmement dangereuse et n'arrangerait personne », a insisté Mme Kallas devant la presse.
Près de 20 % du pétrole mondial transite par ce détroit, au large des côtes iraniennes, et sa fermeture pourrait bouleverser le marché mondial et provoquer une flambée des prix.
Les États-Unis ont assuré dimanche avoir « dévasté » le programme nucléaire iranien en bombardant les trois principaux sites nucléaires du pays, rejoignant l'offensive lancée par Israël le 13 juin.
Le président Donald Trump a vanté une « réussite militaire spectaculaire » et évoqué un « changement de régime » à Téhéran.