«A la fin de Papicha, je me suis dit qu'il fallait que je raconte l'Algérie d'aujourd'hui, parce qu'il y a une jeunesse qui étouffe, des femmes qui ont des rêves et qui sont entravées», raconte la réalisatrice
Ce deuxième long-métrage s'inscrit dans la continuité du précédent, pour lequel elle avait raflé le César du meilleur premier film en 2020
«Jacques Roseau, c’était une histoire française et algérienne», a déclaré au cours de la cérémonie Sébastien Cote, adjoint au maire PS de Montpellier Michaël Delafosse
«C’est l’histoire d’un engagement, lycéen, en Algérie, pour la défense de l’Algérie française, sans jamais céder à la violence, au racisme et aux appels aux meurtres»