Avant d'être évacué, l'ex-président a levé le poing en l'air en signe de défi, une image qui tourne en boucle et déjà devenue historique
Donald Trump est arrivé dimanche soir dans le Wisconsin, à Milwaukee, dans le nord-est des Etats-Unis, où les républicains doivent officiellement l'investir comme leur candidat à la présidentielle face à Joe Biden
Bishara Bahbah, président de Arab Americans for Trump, a blâmé "l'atmosphère de haine contre le président Trump" qui s'est intensifiée au cours des dernières années
Les Américains d'origine arabe, de droite comme de gauche, se sont dits "choqués par la violence" diffusée en direct à la télévision
Le candidat républicain à la présidence a survécu à une tentative d'assassinat lors d'un rassemblement en Pennsylvanie samedi.
Les analystes estiment que l'attentat pourrait susciter de la sympathie et des votes en faveur de Trump, ce qui désavantagerait encore plus les démocrates.
Un participant au rassemblement a été tué et deux autres spectateurs ont été blessés, selon les autorités
Le président Biden a condamné la violence en déclarant : "Il n'y a pas de place pour ce genre de violence en Amérique" : Il n'y a pas de place pour ce genre de violence en Amérique"
Aucune figure du Parti démocrate n'a encore rallié les voix l'appelant à se retirer
Tous deux se sont rendus samedi dans le New Jersey pour une collecte de fonds à laquelle le gouverneur démocrate de l'Etat, Phil Murphy, participait également
Le président démocrate va faciliter l'obtention de titres de séjour pour les conjoints ou conjointes de citoyens américains qui vivent aux Etats-Unis sans avoir de papiers en règle, et accélérer les procédures de visa pour les jeunes diplômés
De son côté, Donald Trump a accusé les migrants «d'empoisonner le sang» du pays et d'y faire flamber la criminalité, sans étayer ces affirmations par des chiffres mais en s'appuyant sur certaines affaires criminelles
Les sondages sont clairs: les Américains sont bien plus nombreux à estimer que le président actuel est trop vieux pour un second mandat, plutôt que Donald Trump
Lors du deuxième mandat de Ronald Reagan, certains observateurs s'interrogeaient déjà sur la détérioration de ses capacités intellectuelles