«L'Etat de droit doit être respecté et les personnes détenues arbitrairement, y compris pour avoir défendu les droits des migrants et lutté contre la discrimination raciale, doivent être libérées», exige le Haut-Commissariat
Mme Shamdasani a indiqué que le Haut-Commissariat était «très préoccupé par le fait que des migrants sont de plus en plus souvent pris pour cible»
La grève a été décidée à la suite de l'arrestation musclée, samedi soir, de l'avocate et chroniqueuse critique Sonia Dahmani
Samedi, des policiers en civil portant des cagoules se sont introduits au siège de l'Ordre des avocats à Tunis agressant des avocats et des journalistes avant d'arrêter Mme Dahmani