Dans la nuit de dimanche à lundi, Kiev a été la cible d'attaques de drones, selon l'administration militaire de la ville, qui a fait état de cinq blessés et de débris de drones
Selon le commandement aérien de l'Ukraine, 35 drones russes ont été abattus
«La situation dans la zone proche de la centrale nucléaire de Zaporijjia devient de plus en plus imprévisible et potentiellement dangereuse», a averti le chef de l'Agence, Rafael Grossi
Cette centrale, la plus grande d'Europe, a été visée à plusieurs reprises par des tirs depuis le début du conflit, faisant craindre une catastrophe
Selon les gardes-frontières polonais, l'avion russe «est entré sans aucun contact radio sur la zone d'opérations désignée par la Roumanie», a effectué «des manœuvres agressives et dangereuses»
Les gardes frontières polonaises ont précisé que le chasseur russe a survolé «juste devant le nez» d' un avion de gardes-frontières polonais
«Les défenses anti-aériennes ont abattu au dessus de la république de Crimée un missile balistique tiré d'un système ukrainien Grom-2. Pas de destructions, ni de victimes», a indiqué sur Telegram Sergueï Aksionov, chef de la Crimée installé par Moscou
Depuis l'été 2022, la Crimée, annexée par Moscou en 2014, est régulièrement frappée par des explosions et des attaques de drones aériens, et parfois de drones de surface (navals)
«Je vous demande d'émettre un ordre de bataille sur le transfert, avant minuit le 10 mai, des positions du groupe Wagner aux unités du bataillon Akhmat dans la localité de Bakhmout et ses environs», a déclaré Evguéni Prigojine
Le chef de Wagner précise faire cette demande «en raison d'une longue pénurie de munitions», accusant l'état-major de ne lui avoir fourni que 32% des munitions demandées depuis octobre dernier
Le président russe Vladimir Poutine l'avait qualifié, lorsqu'il avait dévoilé le missile Kinjal en 2018, d'«arme idéale» car très difficile à intercepter pour les défenses adverses
L'Ukraine a demandé à ses alliés occidentaux de l'aider à renforcer son système de défense aérienne. Pendant tout l'hiver, Moscou avait en effet bombardé ses infrastructures énergétiques
Evguénia Berkovitch, 38 ans, et Svetlana Petriïtchouk, 43 ans, qui risquent jusqu'à sept ans de prison, ont été placées en détention jusqu'au 4 juillet, a indiqué le tribunal Zamoskvoretski de Moscou
Les deux femmes sont suspectées d'apologie du terrorisme pour une pièce écrite par Mme Petriïtchouk et mise en scène par Mme Berkovitch en 2020. Les poursuites les visant ont suscité un choc dans le monde du théâtre en Russie