Le projet de loi pour la reconstruction de Mayotte sera présenté mercredi en Conseil des ministres.
En revanche, rien n'est prévu concernant l'habitat précaire, alors que François Bayrou avait promis, lors de son déplacement fin décembre, « d'empêcher la reconstruction » des bidonvilles à Mayotte.
les manifestants, venus des Bouches-du-Rhône, du Var et du Vaucluse, ont bloqué les accès de la plateforme de produits frais de Lecasud avec des tracteurs, des camions et des bottes de paille, ont observé des journalistes de l'AFP sur place.
« TOUT paysan mérite revenu », clame une banderole accrochée à un tracteur.
Jean-Marie Le Pen était un raciste et un antisémite notoire, adorateur de Pétain et tortionnaire en Algérie », a écrit sur les réseaux sociaux Manon Aubry, cheffe de file des eurodéputés de La France insoumise.
"C'était un raciste. Un antisémite. Un colonialiste. Un nostalgique du régime de Vichy. Un antiféministe… Un multirécidiviste qui a fondé le FN avec des SS. Pas une figure de la vie politique française", a appuyé le secrétaire général du Parti socialiste
Ses frasques politiques allaient de pair avec les frasques de sa vie personnelle, ses mariages, ses séparations mais surtout l’acquisition obscure du domaine de Montretout, où il a résidé
Il a toujours préféré se cantonner dans le rôle du provocateur, l’empêcheur de tourner en rond, le sale gosse de la vie politique, plutôt que de réellement prendre des responsabilités politiques
le ministre de l'Intérieur estime que « la France pourrait être frappée de nouveau », car « la bataille contre le totalitarisme islamique est loin d’être gagnée ».
Il estime que pour lutter contre cet « entrisme », il faudra « étendre le champ de la laïcité à d'autres espaces publics, comme les compétitions sportives ou les sorties scolaires ».
Ancien parachutiste, M. Le Pen a provoqué une onde de choc en France en 2002 lorsqu'il s'est hissé au second tour de l'élection présidentielle, remportée par Jacques Chirac
M. Le Pen, qui semblait plus à l'aise dans le rôle de provocateur que dans celui de futur président, a semblé aussi surpris que tout le monde par sa percée spectaculaire
M. Koulamallah rappelle « qu'il n'a aucun problème avec la France », mais souligne également que « les dirigeants français doivent apprendre à respecter le peuple africain ».
« En 60 ans de présence, la contribution française a souvent été limitée à des intérêts stratégiques propres, sans véritable impact durable pour le développement du peuple tchadien », a-t-il critiqué.