La «Mona Lisa Hekking» adjugée 2,9 millions d'euros chez Christie's

Ce tableau avait fait la Une des journaux et des radios jusqu'aux Etats-Unis, après avoir été acquis auprès d'un antiquaire dans la région de Nice par Raymond Hekking. (Photo, AFP)
Ce tableau avait fait la Une des journaux et des radios jusqu'aux Etats-Unis, après avoir été acquis auprès d'un antiquaire dans la région de Nice par Raymond Hekking. (Photo, AFP)
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Publié le Samedi 19 juin 2021

La «Mona Lisa Hekking» adjugée 2,9 millions d'euros chez Christie's

  • Sans les frais, le montant atteint 2,4 millions d'euros, très au dessus de l'estimation de départ de l'oeuvre entre 200 000 et 300 000 euros
  • Signe que la fascination autour de la Joconde de Léonard de Vinci exposée au Louvre ne faiblit pas, cette copie d'excellente facture a été acquise par un collectionneur étranger

PARIS : La "Mona Lisa Hekking", célèbre réplique du XVIIe siècle que son propriétaire, Raymond Hekking, avait défendue comme authentique dans les années 1960, s'est envolée pour atteindre 2,9 millions d'euros (frais compris) lors d'une vente aux enchères en ligne chez Christie's.

Signe que la fascination autour de la Joconde de Léonard de Vinci exposée au Louvre ne faiblit pas, cette copie d'excellente facture a été acquise par un collectionneur étranger, alors que quatorze enchérisseurs se sont manifesté, a indiqué la maison de ventes à Paris.

La vente sur le site internet de Christie's avait démarré il y a une semaine. Sans les frais, le montant atteint 2,4 millions d'euros, très au dessus de l'estimation de départ de l'oeuvre entre 200 000 et 300 000 euros.

Ce tableau avait fait la Une des journaux et des radios jusqu'aux Etats-Unis, après avoir été acquis auprès d'un antiquaire dans la région de Nice par Raymond Hekking. 

Collectionneur passionné d'art, il avait défendu l'authenticité de ce tableau auprès des historiens d’art et des médias jusque dans les années 1960. Il mettait en doute celle du tableau conservé au Louvre et demandait au musée de prouver que Léonard de Vinci était bien l'auteur de cette toile.

Obsédé par l'idée qu'il possédait le chef d'oeuvre, il pensait que ce n'était pas l'authentique Joconde qui avait été restituée au Louvre en 1914, trois ans après le vol de ce tableau en 1911 par l'Italien Vincenzo Perugia, et qu'on avait mis à sa place une copie.

Après la mort de Raymond Hekking en 1977, le tableau était restée dans sa famille.

La "Mona Lisa" était entrée dans les collections de Francois 1er, peu après 1517. Plusieurs copies ont ensuite été réalisées dès le début du XVIIe siècle, dont celle qu'avait acquise Raymond Hekking.


« I like it hot ! » : J. Lo fait sensation à Abou Dhabi

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  • Jennifer Lopez, 56 ans, prouve qu’elle reste l’une des artistes les plus enflammées au monde

ABOU DHABI: De retour à Abou Dhabi après son spectacle magistral en février, Jennifer Lopez a dansé toute la soirée mardi à l’Etihad Arena sur l’île de Yas dans le cadre de sa tournée mondiale « Up All Night ».

En interprétant ses tubes cultes comme « On the Floor », « Ain’t Your Mama » et « Dance Again », Lopez a fait monter la température avec son énergie débordante et ses chorégraphies percutantes.

Même si j’ai regretté que « Jenny From the Block » n’ait pas bénéficié d’un moment à elle, Lopez l’a tout de même interprétée en medley avec « We Will Rock You » de Queen.

Pour célébrer ses 56 ans, elle a chanté « Birthday », le single sorti le 24 juillet, très applaudi par le public.

La superstar a remercié ses fans et les a encouragés à s’aimer les uns les autres et à suivre ce qu’ils aiment.

Elle a également plaisanté sur la chaleur intense des Émirats. « I like it hot ! », a-t-elle lancé en se ventilant.

Avec plusieurs changements de tenues et des plages musicales bien calibrées, le show a alterné entre titres dynamiques, ballades lentes et medleys.

Lopez a rendu hommage à sa culture latino en interprétant quelques-uns de ses succès en espagnol, notamment « Qué Hiciste » et « Si Una Vez ».

Elle a chanté en dansant le flamenco, vêtue d’une tenue inspirée du traje de flamenca, la robe traditionnelle des femmes aux festivals andalous.

L’artiste n’est pas étrangère au Golfe : elle avait déjà fait sensation en avril lors du Grand Prix d’Arabie saoudite de F1 à Djeddah, puis en novembre dernier à Riyad pour l’événement « 1001 Seasons of Elie Saab ».

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L’artiste saoudienne met en lumière le riche paysage culturel de l’Asir à travers ses œuvres

L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
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  • Arafat Al-Asimi a surmonté de nombreux défis pour s’imposer comme artiste en tant que femme

MAKKAH : Les montagnes verdoyantes de la région d’Asir en Arabie saoudite ont nourri la vision artistique d’Arafat Al-Asimi.

En évoquant ses débuts, Al-Asimi confie qu’elle aime utiliser des couleurs pastel pour représenter des paysages naturels et patrimoniaux. Les montagnes, les vallées, les nuances des forêts et le climat unique de la région ont nourri son imagination artistique.

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L’artiste Arafat Al-Asimi affirme se sentir chez elle au cœur de la nature et des paysages traditionnels. (Fournie)

Elle explique se sentir profondément liée à la nature et aux dessins de paysages traditionnels, en particulier ceux inspirés de l’Asir, car ils traduisent son fort sentiment d’appartenance et lui procurent un équilibre et un confort psychologique.

Elle partage également sa passion pour l’intégration de la calligraphie arabe dans ses œuvres, soulignant combien cette pratique allie esthétique visuelle et identité culturelle.


Le programme Saudi Game Champions soutient les talents locaux pour une portée mondiale

Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
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  • Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux
  • L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme

RIYAD : Le Centre de l'entrepreneuriat numérique du ministère des communications et des technologies de l'information a conclu le programme Saudi Game Champions, une initiative de neuf mois visant à soutenir la croissance des studios de développement du pays.

Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux.

L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme.

Elle a offert plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux d'Arabie saoudite.

Lors de la cérémonie de clôture, Hussain Al-Safwan de LIMELESS Studio a remporté le prix du changement audacieux, tandis que Fahad Al-Jumaan de Hero Galaxy Studio a reçu le prix de l'inspiration.

Mostafa Fares a reçu le prix de la créativité et son collègue Ali Aseeri le prix du choix du public, tous deux représentant SYMMETRIC STUDIO.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre des efforts plus vastes déployés par le centre pour renforcer le rôle du Royaume dans l'industrie mondiale du jeu.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com