«The Tomorrow War», grosse production pour petit écran avec Chris Pratt en vedette

Chris McKay assiste à la 29e édition des Producers Guild Awards (photo d'archives) (AFP)
Chris McKay assiste à la 29e édition des Producers Guild Awards (photo d'archives) (AFP)
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Publié le Dimanche 27 juin 2021

«The Tomorrow War», grosse production pour petit écran avec Chris Pratt en vedette

  • Le film se résume assez simplement: des voyageurs arrivent du futur, où une horrible invasion extra-terrestre menace d'éradiquer l'humanité. Ils supplient leurs parents et grands-parents de voyager dans le temps avec eux, en 2051, pour les aider à repouss
  • La comparaison entre les deux mondes, chamboulés par l'arrivée d'une menace planétaire nécessitant une réponse unie de l'humanité, a été frappante, souligne Chris McKay.

LOS ANGELES : Une star hollywoodienne, un film de science-fiction grand spectacle avec une intrigue à la "Terminator" et un budget d'environ 200 millions de dollars: "The Tomorrow War" était calibré pour attirer des millions de spectateurs dans les salles obscures cet été. Mais le coronavirus a tout changé.

Le film avec Chris Pratt en tête d'affiche sortira directement sur Amazon Prime le 2 juillet, sans passer par la case cinéma. Il a été acheté par la plateforme de vidéo à la demande en janvier dernier, alors que la pandémie de Covid-19 avait mis un coup d'arrêt à l'industrie du divertissement, sans aucune garantie sur l'avenir à l'époque.

"S'il vous plaît, ne le regardez pas sur vos téléphones", a supplié Chris McKay, le réalisateur de "The Tomorrow War". "Regardez-le sur le plus grand écran possible avec le volume au maximum, poussez le son", a-t-il dit à l'AFP.

"Invitez les voisins pour que ça ne les dérange pas, mais regardez-le avec plein de monde car vous allez vraiment passer un bon moment", a ajouté M. McKay.

Le film se résume assez simplement: des voyageurs arrivent du futur, où une horrible invasion extra-terrestre menace d'éradiquer l'humanité. Ils supplient leurs parents et grands-parents de voyager dans le temps avec eux, en 2051, pour les aider à repousser ces hordes de créatures cauchemardesques et sanguinaires.

"The Tomorrow War" allie des scènes d'action bourrées d'effets spectaculaires, tournées en Islande, avec des éléments de films d'horreur et de drame familial et aborde même l'impact du changement climatique.

"Lorsque nous faisions le film, nous avions présent à l'esprit certaines menaces existentielles, par exemple +notre responsabilité vis-à-vis des générations futures+", a expliqué M. McKay.

"Et puis le Covid-19 est arrivé", se souvient le réalisateur, ce qui a obligé l'équipe à terminer à domicile et à distance la production du film, dont le tournage était quasiment achevé avant la pandémie.

La comparaison entre les deux mondes, chamboulés par l'arrivée d'une menace planétaire nécessitant une réponse unie de l'humanité, a été frappante, souligne Chris McKay.

Des sitcoms aux grosses productions

Pour Betty Gilpin, qui joue l'épouse psychologue de Chris Pratt, lui-même incarnant un ancien militaire, "The Tomorrow War" fait coup double: film de pur divertissement, il en profite pour "glisser" aussi un message ou deux sur nos obligations vis-à-vis de la planète.

"On a l'impression que ça va être un film léger et futile, mais il a vraiment quelques trucs intelligents à raconter", a dit à l'AFP la comédienne, rendue populaire par "GLOW", série Netflix sur un groupe de catcheuses américaines dans les années 1980.

Sa trajectoire, des séries comiques aux films à gros budget, reflète celle de Chris Pratt lui-même, qui fut d'abord révélé par son rôle dans la sitcom "Parks and Recreation".

Depuis lors, Chris Pratt a pris du muscle et tourné dans certaines des plus grandes sagas américaines, comme les "Gardiens de la Galaxie" ou les films "Jurassic World". Il en a profité pour épouser la fille aînée d'une autre légende des films d'action, Katherine Schwarzenegger.

Dans "The Tomorrow War", l'acteur interprète un ancien soldat des forces spéciales qui se sent à l'étroit dans sa nouvelle vie d'enseignant, jusqu'à ce qu'il s'engage pour aller combattre les aliens dans le futur.

"C'est une star de cinéma mais il peut faire tellement de choses différentes et être incroyablement vulnérable", estime Chris McKay, exprimant son "respect" pour le parcours du comédien.

 

 

 


Un programme de formation artisanale lancé dans la région d’Asir

La Banque saoudienne de développement social a lancé un programme de formation à l'artisanat à Asir, en partenariat avec l'école italienne de joaillerie contemporaine Alchimia. (AFP/File).
La Banque saoudienne de développement social a lancé un programme de formation à l'artisanat à Asir, en partenariat avec l'école italienne de joaillerie contemporaine Alchimia. (AFP/File).
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  • Le programme puise son inspiration dans le patrimoine local
  • L’initiative s’inscrit dans les efforts de la banque pour soutenir l’artisanat et les industries créatives

ABHA: La Banque saoudienne de développement social a lancé un programme de formation artisanale dans la région d’Asir, en partenariat avec l’école italienne Alchimia Contemporary Jewellery School.

Cette initiative, qui s’inscrit dans le cadre du programme de formation spécialisée de la banque, propose aux artisans et professionnels indépendants une formation à la création de pièces utilisant le cuivre et la feuille d’or.

Le programme s’inspire du patrimoine local, notamment de l’art Al-Qatt Al-Asiri – inscrit au patrimoine immatériel de l’UNESCO – pour concevoir des produits de qualité, répondant aux exigences du marché et favorisant des opportunités économiques durables.

La cérémonie de lancement a été marquée par la signature d’un accord de coopération stratégique entre la banque et l’école Alchimia. Ce partenariat vise à transférer un savoir-faire international vers le marché local grâce à des formations spécialisées à l’échelle nationale, dans le but de renforcer les compétences des artisans et leur compétitivité.

L’initiative fait partie des actions de la banque pour soutenir l’artisanat et les industries créatives. Depuis son lancement en 2023, le programme de formation spécialisée a bénéficié à plus de 300 participants à travers 15 programmes, donnant naissance à 250 produits uniques.

Par ailleurs, 30 % des participants ont obtenu un financement, et plus de 150 familles actives dans l’artisanat à domicile ont pu développer leurs activités.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


« I like it hot ! » : J. Lo fait sensation à Abou Dhabi

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  • Jennifer Lopez, 56 ans, prouve qu’elle reste l’une des artistes les plus enflammées au monde

ABOU DHABI: De retour à Abou Dhabi après son spectacle magistral en février, Jennifer Lopez a dansé toute la soirée mardi à l’Etihad Arena sur l’île de Yas dans le cadre de sa tournée mondiale « Up All Night ».

En interprétant ses tubes cultes comme « On the Floor », « Ain’t Your Mama » et « Dance Again », Lopez a fait monter la température avec son énergie débordante et ses chorégraphies percutantes.

Même si j’ai regretté que « Jenny From the Block » n’ait pas bénéficié d’un moment à elle, Lopez l’a tout de même interprétée en medley avec « We Will Rock You » de Queen.

Pour célébrer ses 56 ans, elle a chanté « Birthday », le single sorti le 24 juillet, très applaudi par le public.

La superstar a remercié ses fans et les a encouragés à s’aimer les uns les autres et à suivre ce qu’ils aiment.

Elle a également plaisanté sur la chaleur intense des Émirats. « I like it hot ! », a-t-elle lancé en se ventilant.

Avec plusieurs changements de tenues et des plages musicales bien calibrées, le show a alterné entre titres dynamiques, ballades lentes et medleys.

Lopez a rendu hommage à sa culture latino en interprétant quelques-uns de ses succès en espagnol, notamment « Qué Hiciste » et « Si Una Vez ».

Elle a chanté en dansant le flamenco, vêtue d’une tenue inspirée du traje de flamenca, la robe traditionnelle des femmes aux festivals andalous.

L’artiste n’est pas étrangère au Golfe : elle avait déjà fait sensation en avril lors du Grand Prix d’Arabie saoudite de F1 à Djeddah, puis en novembre dernier à Riyad pour l’événement « 1001 Seasons of Elie Saab ».

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L’artiste saoudienne met en lumière le riche paysage culturel de l’Asir à travers ses œuvres

L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
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  • Arafat Al-Asimi a surmonté de nombreux défis pour s’imposer comme artiste en tant que femme

MAKKAH : Les montagnes verdoyantes de la région d’Asir en Arabie saoudite ont nourri la vision artistique d’Arafat Al-Asimi.

En évoquant ses débuts, Al-Asimi confie qu’elle aime utiliser des couleurs pastel pour représenter des paysages naturels et patrimoniaux. Les montagnes, les vallées, les nuances des forêts et le climat unique de la région ont nourri son imagination artistique.

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L’artiste Arafat Al-Asimi affirme se sentir chez elle au cœur de la nature et des paysages traditionnels. (Fournie)

Elle explique se sentir profondément liée à la nature et aux dessins de paysages traditionnels, en particulier ceux inspirés de l’Asir, car ils traduisent son fort sentiment d’appartenance et lui procurent un équilibre et un confort psychologique.

Elle partage également sa passion pour l’intégration de la calligraphie arabe dans ses œuvres, soulignant combien cette pratique allie esthétique visuelle et identité culturelle.