Sri Lanka: rare naissance d'éléphanteaux jumeaux en captivité

Cette photo prise à l'orphelinat des éléphants de Pinnawala au Sri Lanka le 31 août 2021 montre l'éléphant Surangi de 25 ans avec ses jumeaux nés le 31 août 2021 à près de cinq heures d'intervalle, ce qui en fait la première naissance de ce type dans l'établissement créé en 1975. (Photo, AFP)
Cette photo prise à l'orphelinat des éléphants de Pinnawala au Sri Lanka le 31 août 2021 montre l'éléphant Surangi de 25 ans avec ses jumeaux nés le 31 août 2021 à près de cinq heures d'intervalle, ce qui en fait la première naissance de ce type dans l'établissement créé en 1975. (Photo, AFP)
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Publié le Mardi 31 août 2021

Sri Lanka: rare naissance d'éléphanteaux jumeaux en captivité

  • Il s'agit de la première naissance d'éléphanteaux jumeaux en captivité au Sri Lanka depuis 1941, selon l'expert Jayantha Jayewardene
  • « Les deux éléphanteaux et la mère se portent bien », a déclaré à l'AFP Renuka Bandaranaike, directrice de l'Orphelinat des éléphants de Pinnawala

COLOMBO: L'éléphante Surangi, 25 ans, a donné naissance mardi à l'Orphelinat des éléphants de Pinnawala au Sri Lanka à des jumeaux, deux petits mâles en bonne santé, un évènement rare en captivité, ont annoncé les responsables de cette institution.

Il s'agit de la première naissance d'éléphanteaux jumeaux en captivité au Sri Lanka depuis 1941, selon l'expert Jayantha Jayewardene.

"Les deux éléphanteaux et la mère se portent bien", a déclaré à l'AFP Renuka Bandaranaike, directrice de l'Orphelinat des éléphants de Pinnawala, le principal du pays, qui abrite 81 éléphants.

"Les bébés (éléphants) sont relativement petits, mais ils sont en bonne santé", a-t-elle souligné.

Cette photo est de l'orphelinat des éléphants de Pinnawala au Sri Lanka prise le 31 août 2021 montre l'éléphant Surangi de 25 ans avec ses jumeaux nés le 31 août 2021 à près de cinq heures d'intervalle, ce qui en fait la première naissance de ce type dans l'établissement créé en 1975. pour soigner des éléphants démunis, à Pinnawala. (Photo, AFP)
Cette photo est de l'orphelinat des éléphants de Pinnawala au Sri Lanka prise le 31 août 2021 montre l'éléphant Surangi de 25 ans avec ses jumeaux nés le 31 août 2021 à près de cinq heures d'intervalle, ce qui en fait la première naissance de ce type dans l'établissement créé en 1975. pour soigner des éléphants démunis, à Pinnawala. (Photo, AFP)

Pour Surangi qui avait déjà donné naissance à un petit mâle en 2009, c'était la deuxième mise-bas. Le père, Pandu, 17 ans, est également l'un des 81 résidents de l'Orphelinat, fondé en 1975 pour prendre soin d'éléphants sauvages errants.

Cette institution, attraction touristique majeure du pays, a été fermée aux visiteurs dans le cadre des restrictions imposées en raison de l'épidémie de Covid-19.

En 2020, des responsables chargés de la préservation de la faune sauvage avaient indiqué que la première naissance gémellaire d'éléphanteaux à l'état sauvage au Sri Lanka avait été repérée dans le parc national de Minneriya, dans l'est de l'île.

Le gouvernement a annoncé fin août de strictes mesures pour protéger et préserver des mauvais traitements ces animaux, qui sont considérés comme sacrés dans ce pays à majorité bouddhiste.

De nombreux riches Srilankais, dont des moines bouddhistes, possèdent des éléphants en tant qu'animal domestique, mais les cas de maltraitance sont largement rapportés.

La nouvelle loi prévoit, en cas d'infraction, la confiscation de l'animal par l'Etat et jusqu'à trois ans de prison.

Le Sri Lanka compte environ 200 éléphants domestiqués, et 7 500 vivant dans la nature. La capture d'éléphants sauvages est un crime passible de la peine de mort, mais les poursuites sont rares.

Les défenseurs des droits des animaux estiment que plus d'une quarantaine de bébés éléphants ont été volés dans les parcs nationaux pour les domestiquer au cours des 15 dernières années.


Un programme de formation artisanale lancé dans la région d’Asir

La Banque saoudienne de développement social a lancé un programme de formation à l'artisanat à Asir, en partenariat avec l'école italienne de joaillerie contemporaine Alchimia. (AFP/File).
La Banque saoudienne de développement social a lancé un programme de formation à l'artisanat à Asir, en partenariat avec l'école italienne de joaillerie contemporaine Alchimia. (AFP/File).
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  • Le programme puise son inspiration dans le patrimoine local
  • L’initiative s’inscrit dans les efforts de la banque pour soutenir l’artisanat et les industries créatives

ABHA: La Banque saoudienne de développement social a lancé un programme de formation artisanale dans la région d’Asir, en partenariat avec l’école italienne Alchimia Contemporary Jewellery School.

Cette initiative, qui s’inscrit dans le cadre du programme de formation spécialisée de la banque, propose aux artisans et professionnels indépendants une formation à la création de pièces utilisant le cuivre et la feuille d’or.

Le programme s’inspire du patrimoine local, notamment de l’art Al-Qatt Al-Asiri – inscrit au patrimoine immatériel de l’UNESCO – pour concevoir des produits de qualité, répondant aux exigences du marché et favorisant des opportunités économiques durables.

La cérémonie de lancement a été marquée par la signature d’un accord de coopération stratégique entre la banque et l’école Alchimia. Ce partenariat vise à transférer un savoir-faire international vers le marché local grâce à des formations spécialisées à l’échelle nationale, dans le but de renforcer les compétences des artisans et leur compétitivité.

L’initiative fait partie des actions de la banque pour soutenir l’artisanat et les industries créatives. Depuis son lancement en 2023, le programme de formation spécialisée a bénéficié à plus de 300 participants à travers 15 programmes, donnant naissance à 250 produits uniques.

Par ailleurs, 30 % des participants ont obtenu un financement, et plus de 150 familles actives dans l’artisanat à domicile ont pu développer leurs activités.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


« I like it hot ! » : J. Lo fait sensation à Abou Dhabi

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  • Jennifer Lopez, 56 ans, prouve qu’elle reste l’une des artistes les plus enflammées au monde

ABOU DHABI: De retour à Abou Dhabi après son spectacle magistral en février, Jennifer Lopez a dansé toute la soirée mardi à l’Etihad Arena sur l’île de Yas dans le cadre de sa tournée mondiale « Up All Night ».

En interprétant ses tubes cultes comme « On the Floor », « Ain’t Your Mama » et « Dance Again », Lopez a fait monter la température avec son énergie débordante et ses chorégraphies percutantes.

Même si j’ai regretté que « Jenny From the Block » n’ait pas bénéficié d’un moment à elle, Lopez l’a tout de même interprétée en medley avec « We Will Rock You » de Queen.

Pour célébrer ses 56 ans, elle a chanté « Birthday », le single sorti le 24 juillet, très applaudi par le public.

La superstar a remercié ses fans et les a encouragés à s’aimer les uns les autres et à suivre ce qu’ils aiment.

Elle a également plaisanté sur la chaleur intense des Émirats. « I like it hot ! », a-t-elle lancé en se ventilant.

Avec plusieurs changements de tenues et des plages musicales bien calibrées, le show a alterné entre titres dynamiques, ballades lentes et medleys.

Lopez a rendu hommage à sa culture latino en interprétant quelques-uns de ses succès en espagnol, notamment « Qué Hiciste » et « Si Una Vez ».

Elle a chanté en dansant le flamenco, vêtue d’une tenue inspirée du traje de flamenca, la robe traditionnelle des femmes aux festivals andalous.

L’artiste n’est pas étrangère au Golfe : elle avait déjà fait sensation en avril lors du Grand Prix d’Arabie saoudite de F1 à Djeddah, puis en novembre dernier à Riyad pour l’événement « 1001 Seasons of Elie Saab ».

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L’artiste saoudienne met en lumière le riche paysage culturel de l’Asir à travers ses œuvres

L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
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  • Arafat Al-Asimi a surmonté de nombreux défis pour s’imposer comme artiste en tant que femme

MAKKAH : Les montagnes verdoyantes de la région d’Asir en Arabie saoudite ont nourri la vision artistique d’Arafat Al-Asimi.

En évoquant ses débuts, Al-Asimi confie qu’elle aime utiliser des couleurs pastel pour représenter des paysages naturels et patrimoniaux. Les montagnes, les vallées, les nuances des forêts et le climat unique de la région ont nourri son imagination artistique.

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L’artiste Arafat Al-Asimi affirme se sentir chez elle au cœur de la nature et des paysages traditionnels. (Fournie)

Elle explique se sentir profondément liée à la nature et aux dessins de paysages traditionnels, en particulier ceux inspirés de l’Asir, car ils traduisent son fort sentiment d’appartenance et lui procurent un équilibre et un confort psychologique.

Elle partage également sa passion pour l’intégration de la calligraphie arabe dans ses œuvres, soulignant combien cette pratique allie esthétique visuelle et identité culturelle.