007 ne peut plus attendre: le nouveau James Bond dévoilé la semaine prochaine

Une photographie prise le 22 septembre 2021 et publiée par la Royal Navy, ministère britannique de la Défense (MOD) le 23 septembre 2021, montre l'amiral Sir Tony Radakin KCB ADC (à gauche) et le commandant Daniel Craig, qui est surtout connu pour jouer le rôle de James Bond dans la longue série de films 007. L'acteur de James Bond Daniel Craig a été nommé commandant honoraire de la Royal Navy, correspondant au rang du super-espion fictif qu'il joue à l'écran. (Lee Blease / MOD / AFP)
Une photographie prise le 22 septembre 2021 et publiée par la Royal Navy, ministère britannique de la Défense (MOD) le 23 septembre 2021, montre l'amiral Sir Tony Radakin KCB ADC (à gauche) et le commandant Daniel Craig, qui est surtout connu pour jouer le rôle de James Bond dans la longue série de films 007. L'acteur de James Bond Daniel Craig a été nommé commandant honoraire de la Royal Navy, correspondant au rang du super-espion fictif qu'il joue à l'écran. (Lee Blease / MOD / AFP)
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Publié le Samedi 25 septembre 2021

007 ne peut plus attendre: le nouveau James Bond dévoilé la semaine prochaine

  • Le nouveau James Bond incarné par Daniel Craig, «Mourir peut attendre», sera dévoilé mardi, à Londres, au Royal Albert Hall, avant sa sortie dans les salles le 6 octobre
  • Dans cet opus, tourné notamment en Italie et en Jamaïque, Craig en 007 «est une sorte d'animal blessé en lutte avec son passé d'agent secret», face à un Rami Malek, mystérieux ennemi doté d'armes high-tech

LONDRES : Fin d'une attente interminable pour les fans de l'espion le plus célèbre du monde: retardé par la pandémie, le nouveau James Bond, «Mourir peut attendre», est présenté à Londres la semaine prochaine, dernière occasion de sauver la planète pour Daniel Craig.

Avant de ranger son smoking au placard, l'acteur britannique de 53 ans va être mis à rude épreuve: courses poursuites, explosions, fusillades... la bande-annonce laisse entrevoir un épisode intense, riche en cascades et gadgets, dans la pure tradition des 007.

Avec un an et demi de retard en raison de la pandémie, le film sera dévoilé en avant-première mondiale mardi au Royal Albert Hall à Londres, avant sa sortie dans les salles de cinéma britanniques deux jours plus tard, puis le 6 octobre en France.

A cette occasion, les producteurs Michael G. Wilson, Barbara Broccoli et le réalisateur Cary Joji Fukunaga («Beasts of No Nation», «True Detective») rejoindront sur le tapis rouge les acteurs Daniel Craig, Rami Malek et Léa Seydoux et la chanteuse Billie Eilish qui interprète la chanson officielle du film, également intitulé «No Time To Die».

Aux côtés de ces stars, et des princes Charles et William, des soignants ont été invités à découvrir le film dans la prestigieuse salle de spectacle pour les remercier pour leur travail pendant la pandémie.

- «Animal blessé» -

Dans le film, le personnage inventé par l'écrivain Ian Fleming a quitté ses activités au sein des services secrets et profite d'un repos bien mérité en Jamaïque. Une tranquillité interrompue lorsque son vieil ami de la CIA, Felix Leiter, vient lui demander de l'aide pour sauver un scientifique qui vient d'être kidnappé.

De retour au travail, le plus célèbre agent au service de Sa Majesté doit travailler avec une nouvelle et «désarmante» collègue, jouée par la Britannique Lashana Lynch. Celle-ci le prévient d'emblée : «Si vous me barrez la route, je vous mets une balle dans le genou».

Face à eux, un mystérieux ennemi doté d'armes high-tech, incarné par l'Américain d'origine égyptienne Rami Malek, Oscar du meilleur acteur en 2019 pour son interprétation du chanteur Freddie Mercury.

La conquête de Bond depuis «Spectre», la psychologue Madeleine Swann, interprétée par la Française Léa Seydoux, semble aussi avoir des choses à cacher.

Dans cet opus, tourné notamment en Italie et en Jamaïque, 007 «est une sorte d'animal blessé en lutte avec son passé d'agent secret», a décrit l'an dernier le réalisateur Cary Joji Fukunaga dans une vidéo du distributeur Universal Pictures.

Selon le réalisateur, c'est une «course» pour James Bond, «non seulement pour sauver le monde mais ceux qu'il aime».

L'actrice et scénariste Phoebe Waller-Bridge («Fleabag») a été mise à contribution pour améliorer la représentation des femmes dans le film, une façon de répondre aux critiques sur le sexisme de certaines œuvres de la franchise.

Initialement prévue en mars 2020, la sortie de ce 25e épisode des aventures de l'agent secret a été repoussée plusieurs fois en raison de la pandémie. Sa sortie est donc très attendue par les fans mais aussi par les exploitants de cinémas qui cherchent à remplir leurs salles après les confinements.

«Nous savons qu'il s'est fait attendre mais il était important pour nous de sortir ce film à un moment où les fans pouvaient voir James Bond comme il se doit: sur grand écran», a assuré le mois dernier Michael De Luca, le responsable des films des studios MGM, récemment rachetés par Amazon pour 8,45 milliards de dollars (8 milliards d'euros).

Le dernier volet des aventures de James Bond, «Spectre», sorti fin 2015, avait rapporté plus de 880 millions de dollars de recettes dans le monde, selon la presse spécialisée.

La même année, Daniel Craig avait déclaré qu'il préférerait se «tailler les veines» que de jouer de nouveau James Bond.

L'acteur a affirmé dans une interview à Radio Times cette semaine qu'il s'agissait d'une plaisanterie. Il a expliqué qu'à l'époque il venait d'achever un tournage éprouvant pendant lequel il s'était cassé la jambe et «avait besoin de faire une pause».

Le mystère demeure entier sur le choix du prochain ou de la prochaine 007.

 


« I like it hot ! » : J. Lo fait sensation à Abou Dhabi

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  • Jennifer Lopez, 56 ans, prouve qu’elle reste l’une des artistes les plus enflammées au monde

ABOU DHABI: De retour à Abou Dhabi après son spectacle magistral en février, Jennifer Lopez a dansé toute la soirée mardi à l’Etihad Arena sur l’île de Yas dans le cadre de sa tournée mondiale « Up All Night ».

En interprétant ses tubes cultes comme « On the Floor », « Ain’t Your Mama » et « Dance Again », Lopez a fait monter la température avec son énergie débordante et ses chorégraphies percutantes.

Même si j’ai regretté que « Jenny From the Block » n’ait pas bénéficié d’un moment à elle, Lopez l’a tout de même interprétée en medley avec « We Will Rock You » de Queen.

Pour célébrer ses 56 ans, elle a chanté « Birthday », le single sorti le 24 juillet, très applaudi par le public.

La superstar a remercié ses fans et les a encouragés à s’aimer les uns les autres et à suivre ce qu’ils aiment.

Elle a également plaisanté sur la chaleur intense des Émirats. « I like it hot ! », a-t-elle lancé en se ventilant.

Avec plusieurs changements de tenues et des plages musicales bien calibrées, le show a alterné entre titres dynamiques, ballades lentes et medleys.

Lopez a rendu hommage à sa culture latino en interprétant quelques-uns de ses succès en espagnol, notamment « Qué Hiciste » et « Si Una Vez ».

Elle a chanté en dansant le flamenco, vêtue d’une tenue inspirée du traje de flamenca, la robe traditionnelle des femmes aux festivals andalous.

L’artiste n’est pas étrangère au Golfe : elle avait déjà fait sensation en avril lors du Grand Prix d’Arabie saoudite de F1 à Djeddah, puis en novembre dernier à Riyad pour l’événement « 1001 Seasons of Elie Saab ».

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L’artiste saoudienne met en lumière le riche paysage culturel de l’Asir à travers ses œuvres

L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
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  • Arafat Al-Asimi a surmonté de nombreux défis pour s’imposer comme artiste en tant que femme

MAKKAH : Les montagnes verdoyantes de la région d’Asir en Arabie saoudite ont nourri la vision artistique d’Arafat Al-Asimi.

En évoquant ses débuts, Al-Asimi confie qu’elle aime utiliser des couleurs pastel pour représenter des paysages naturels et patrimoniaux. Les montagnes, les vallées, les nuances des forêts et le climat unique de la région ont nourri son imagination artistique.

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L’artiste Arafat Al-Asimi affirme se sentir chez elle au cœur de la nature et des paysages traditionnels. (Fournie)

Elle explique se sentir profondément liée à la nature et aux dessins de paysages traditionnels, en particulier ceux inspirés de l’Asir, car ils traduisent son fort sentiment d’appartenance et lui procurent un équilibre et un confort psychologique.

Elle partage également sa passion pour l’intégration de la calligraphie arabe dans ses œuvres, soulignant combien cette pratique allie esthétique visuelle et identité culturelle.


Le programme Saudi Game Champions soutient les talents locaux pour une portée mondiale

Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
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  • Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux
  • L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme

RIYAD : Le Centre de l'entrepreneuriat numérique du ministère des communications et des technologies de l'information a conclu le programme Saudi Game Champions, une initiative de neuf mois visant à soutenir la croissance des studios de développement du pays.

Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux.

L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme.

Elle a offert plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux d'Arabie saoudite.

Lors de la cérémonie de clôture, Hussain Al-Safwan de LIMELESS Studio a remporté le prix du changement audacieux, tandis que Fahad Al-Jumaan de Hero Galaxy Studio a reçu le prix de l'inspiration.

Mostafa Fares a reçu le prix de la créativité et son collègue Ali Aseeri le prix du choix du public, tous deux représentant SYMMETRIC STUDIO.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre des efforts plus vastes déployés par le centre pour renforcer le rôle du Royaume dans l'industrie mondiale du jeu.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com