PARIS: Créé en 2013, le Prix de la littérature arabe est la seule récompense française distinguant la création littéraire arabe. Ce prix a pour but de promouvoir un écrivain originaire d’un des pays de la Ligue arabe et auteur d’un ouvrage écrit ou traduit en français. Le concours est organisé par l’Institut du monde arabe et la Fondation Jean-Luc Lagardère. La fondation soutient et encourage le parcours de jeunes talents, en France et à l’international, en mettant en avant la diversité culturelle pour favoriser la réussite des jeunes talent.
Pour l’édition 2020, sept ouvrages ont été retenus :
- Mauvaises herbes de Dima Abdallah (Liban), éd. Sabine Wespieser,
- Les Jango (traduit de l’arabe par Xavier Luffin) d’Abdelaziz Baraka Sakin (Soudan),
- La langue maudite de Madi Belem (Maroc),
- L’invité des Médicis de Carole Dagher (Liban),
- N’appelle pas, il n’y a personne (traduit de l’arabe par Philippe Vigreux) de Youssef Fadel (Maroc),
- Une baignoire dans le désert de Jadd Hilal (Palestine),
- Le dernier Syrien d’Omar Youssef Souleimane (Syrie)
C’est en automne, sous la présidence de Pierre Leroy, que le jury désignera le (ou la) lauréat(e) de la nouvelle édition du Prix de la littérature arabe à l’occasion d’une cérémonie à l’Institut du monde arabe, en présence de son président, Jack Lang.