Une famille d'expatriés aventuriers partage sur YouTube sa découverte de l’Arabie saoudite

Dale Shannon, sa femme Jenny et son fils Noah découvrent depuis deux ans des régions reculées du Royaume, et comptent maintenant 25 000 fans sur YouTube qui suivent leurs exploits. (Photo fournie)
Dale Shannon, sa femme Jenny et son fils Noah découvrent depuis deux ans des régions reculées du Royaume, et comptent maintenant 25 000 fans sur YouTube qui suivent leurs exploits. (Photo fournie)
Dale Shannon, sa femme Jenny et son fils Noah découvrent depuis deux ans des régions reculées du Royaume, et comptent maintenant 25 000 fans sur YouTube qui suivent leurs exploits. (Photo fournie)
Dale Shannon, sa femme Jenny et son fils Noah découvrent depuis deux ans des régions reculées du Royaume, et comptent maintenant 25 000 fans sur YouTube qui suivent leurs exploits. (Photo fournie)
Dale Shannon, sa femme Jenny et son fils Noah découvrent depuis deux ans des régions reculées du Royaume, et comptent maintenant 25 000 fans sur YouTube qui suivent leurs exploits. (Photo fournie)
Dale Shannon, sa femme Jenny et son fils Noah découvrent depuis deux ans des régions reculées du Royaume, et comptent maintenant 25 000 fans sur YouTube qui suivent leurs exploits. (Photo fournie)
Dale Shannon, sa femme Jenny et son fils Noah découvrent depuis deux ans des régions reculées du Royaume, et comptent maintenant 25 000 fans sur YouTube qui suivent leurs exploits. (Photo fournie)
Dale Shannon, sa femme Jenny et son fils Noah découvrent depuis deux ans des régions reculées du Royaume, et comptent maintenant 25 000 fans sur YouTube qui suivent leurs exploits. (Photo fournie)
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Publié le Jeudi 27 janvier 2022

Une famille d'expatriés aventuriers partage sur YouTube sa découverte de l’Arabie saoudite

  • Dale Shannon, sa femme Jenny et son fils Noah explorent depuis deux ans des régions reculées du Royaume
  • La famille, qui filme sa découverte du pays et ses exploits a désormais 25 000 fans sur sa chaîne YouTube

DJEDDAH: Des expatriés intrépides, Dale Shannon, sa femme Jenny, et leur fils Noah, se sont donné pour mission d’explorer l'Arabie saoudite et de révéler au monde la beauté naturelle du pays, ses paysages incroyables et sa culture authentique.

Ils vivent des aventures épiques qui les emmènent hors des sentiers battus à travers le Royaume depuis près de deux ans, seuls ou en compagnie d'amis qu'ils décrivent comme «une équipe soudée».

Ils filment leurs voyages et les expériences qu’ils vivent, et Jenny édite les séquences pour créer des carnets de voyage divertissants qui sont téléchargés sur la chaîne YouTube du couple, appelée «Epic Everyday Adventures». Lancée en août 2020, elle est devenue particulièrement populaire auprès des Saoudiens, avec actuellement plus de 25 000 abonnés.

«Nous sommes vraiment touchés de savoir que les spectateurs ont été motivés par nos voyages dans certaines des régions les plus reculées du pays», confie Dale à Arab News. «Avec plus de 45 vidéos d'aventures, nous avons vu des familles et des personnes être motivées et apprendre davantage, en partageant notre histoire et nos expériences.»

Dale, ressortissant américain qui travaille dans l'industrie aérospatiale comme mécanicien et conseiller en avions, explique qu'il est venu dans le Royaume en 2015 pour découvrir la vie dans un autre pays et évoluer personnellement. Jenny, infirmière originaire des Philippines, est venue travailler en Arabie saoudite en 2009. Le couple s'est marié en 2016 et Noah est né à Tabouk en 2017. Ils ont dit être tombés amoureux l'un de l'autre mais aussi de leur pays d'adoption.

Dale raconte qu'il vient d'une petite ville des États-Unis et qu'il a grandi entre camping et randonnées. Pour sa part, Jenny, qui a grandi dans une ville, voulait découvrir les grands espaces.

«Découvrir la nature crée vraiment des traits de caractère et des souvenirs positifs. Nous voulions les partager et créer nos propres expériences avec Noah, en lui donnant l'occasion de grandir au milieu de ces incroyables aventures en plein air», indique Dale.

En cours de route, les aventuriers se sont fait de très bons amis. «L'une des choses qui font que ce pays nous touche vraiment, c'est qu’il est très facile de rencontrer de nouvelles personnes et de se faire de vrais amis», assure Dale. «Les gens ici semblent vraiment se soucier les uns des autres et font partie des personnes les plus accueillantes que nous ayons eu la chance de rencontrer.»

«L'un des choses que nous apprécions le plus sur notre chaîne YouTube, c’est le nombre de personnes formidables que nous rencontré et avec lesquelles nous avons établi des relations personnelles», ajoute-t-il.

Le couple a eu l’idée d’explorer l'Arabie saoudite en long et en large il y a environ deux ans, après un voyage à AlUla.

«Nous étions partis visiter le site au début de 2020, vers le mois de février», se souvient Dale. «Nous avons tellement apprécié le paysage, les lieux et le désert qu'après ce voyage, nous savions que nous voulions continuer et découvrir davantage. Notre visite d’AlUla a été indéniablement décisive, et nous a encouragés et inspirés à découvrir davantage le pays.»

Shannon a économisé du temps de ses vacances et Jenny, qui était alors mère au foyer, a appris à devenir vidéaste et monteuse pour produire ses vidéos YouTube. Le couple a également investi dans un équipement approprié et une nouvelle voiture adaptée à l'exploration hors route, et ont commencé l'aventure de leur vie.

«Après notre voyage à AlUla, nous avons acheté du matériel et remplacé notre voiture par un véritable véhicule d'exploration tout-terrain, un Nissan Patrol Super Safari, et nous avons lentement commencé à explorer le Royaume», raconte-t-il.

«Nous sommes tombés amoureux des paysages, du musée d'histoire à ciel ouvert que vous trouvez ici et de l'hospitalité et de la gentillesse des personnes de toutes les régions. Nous sommes devenus naturellement curieux de voir et d'en savoir plus.»

S'aventurer dans l’étendue sauvage du désert n'est pas facile et nécessite un investissement financier. Alors que leurs vidéos gagnaient en popularité, les Shannon ont rejoint l'année dernière Patreon, une plate-forme qui fournit aux créateurs de contenu les outils nécessaires pour créer un service d'abonnement pour les fans. Autrement dit, les personnes qui apprécient leurs vidéos peuvent contribuer aux coûts de création du contenu futur. Le couple précise que 70 % environ de leurs sympathisants sur Patreon étaient saoudiens.

«Nous sommes très reconnaissants pour leur soutien et espérons faire grandir notre petite famille Patreon, afin de poursuivre ces aventures», lance Dale.

«Faire autant de voyages coûte cher. Nous n'avons pas de sponsors ou quoi que ce soit du genre, et donc jusqu'à récemment, nous financions nos propres aventures afin de pouvoir continuer à partager nos expériences.»

Il y a eu des moments difficiles au cours des aventures de la famille, notamment un incident inquiétant lors d'un voyage à travers Al-Nafoud al-Kabir («Le grand désert») en janvier, alors qu'ils étaient accompagnés d'autres membres de leur équipe.

«Nous avions préparé ce voyage six mois à l'avance», raconte Dale. «C'était la dernière étape de notre voyage. Le terrain était difficile et plein de dunes de sable. Nous sommes entrés dans le désert juste au nord de Haïl et avons parcouru environ 230 km dans le désert à travers les dunes. Il n'y avait pas de connexion de téléphone cellulaire», se remémore-t-il.

«Nous avons campé trois nuits et roulé trois jours. Le voyage dans le désert a consommé la majeure partie de notre carburant et pour certains, la totalité», explique-t-il. Le stress auquel nous avons été confronté et les décisions rapides que nous avons du prendre ont vraiment été difficiles, mais en fin de compte, c'est tellement gratifiant. Je suis heureux que notre équipe sur le terrain m'ait suffisamment fait confiance pour me laisser mener l'expédition.»

Sa famille a tellement voyagé dans le Royaume au cours des deux dernières années que Shannon a déclaré qu'il était difficile de compter les destinations qu’ils ont découvertes.

«Je ne suis pas exactement sûr du nombre d'endroits que nous avons visités, mais nous conduisons partout où nous allons, et nous avons conduit de Haql au nord-ouest jusqu'à Fayfa au sud, et partout entre les deux», affirme-t-il. «Nous sommes allés de Haïl à Riyad, ainsi qu’entre les deux villes. Nous espérons avoir suffisamment de temps à l'avenir pour nous rendre au nord et dans l'est du Royaume.»

Partout où ils ont voyagé en Arabie saoudite, Shannon assure qu'il ne s'était jamais senti préoccupé par la sécurité de sa famille. «Je le mentionne à plusieurs reprises dans nos vidéos parce que par rapport à la plupart des endroits où j'ai été dans le monde, c'est extrêmement sûr ici, et c'est en partie la raison pour laquelle nous nous sentons aussi à l'aise en faisant nos explorations», insiste-t-il.

Le plus dur pour la petite famille a été la barrière de la langue. «Ce serait vraiment formidable de pouvoir apprendre l'arabe», ajoute-t-il.

Shannon et sa femme ont tous deux affirmé s'être adaptés facilement à la vie en Arabie saoudite après avoir quitté leurs pays d'origine.

«Nous avons trouvé qu'il était assez facile de faire ce changement de vie dans un pays étranger», indique-t-il. «Je pense que c’est en grande partie parce que c’était un choix personnel, mais aussi parce que nous sommes tous les deux vraiment tombés amoureux des gens et de la culture ici. Ces deux facteurs ont rendu le changement extrêmement facile.»

Lorsqu'on lui demande des conseils à donner aux nouveaux arrivants dans le Royaume ou aux personnes envisageant de s'y installer, Shannon n’hésite pas. «Je conseille de venir en Arabie saoudite avec un esprit ouvert et d'adopter la culture et les habitants. Une fois que vous serez installés, allez à la rencontre des gens et apprenez à connaître le peuple saoudien. Ce sera l'une des meilleures choses que vous ayez jamais faites.»

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


La réalisatrice marocaine Asmae El-Moudir rejoint le jury Un Certain Regard à Cannes

Asmae El-Moudir est la réalisatrice du film « La Mère de tous les mensonges » (AFP)
Asmae El-Moudir est la réalisatrice du film « La Mère de tous les mensonges » (AFP)
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  • Le Festival de Cannes a annoncé jeudi que Asmae El-Moudir fera partie du jury Un Certain Regard lors de la 77e édition de l'événement
  • Un Certain Regard met en valeur les films d'art et de découverte d'auteurs émergents

DUBAÏ: Le Festival de Cannes a annoncé jeudi que la réalisatrice, scénariste et productrice marocaine Asmae El-Moudir fera partie du jury Un Certain Regard lors de la 77e édition de l'événement, qui se tiendra du 14 au 25 mai.

Elle sera accompagnée de la scénariste et réalisatrice sénégalaise Maïmouna Doucouré, de l'actrice luxembourgeoise Vicky Krieps et du critique de cinéma, réalisateur et écrivain américain Todd McCarthy.

Xavier Dolan sera le président du jury Un Certain Regard.

L'équipe supervisera l'attribution des prix de la section Un Certain Regard, qui met en valeur les films d'art et de découverte d'auteurs émergents, à partir d'une sélection de 18 œuvres, dont huit premiers films.

Asmae El-Moudir est la réalisatrice du film « La Mère de tous les mensonges », acclamé par la critique.

Le film a remporté les honneurs de la section Un Certain Regard, ainsi que le prestigieux prix L'œil d'Or du meilleur documentaire au festival de 2023. Le film explore le parcours personnel de la réalisatrice, élucidant les mystères de l'histoire de sa famille avec pour toile de fond les émeutes du pain de 1981 à Casablanca.

Asmae El-Moudir n'est pas la seule Arabe à rejoindre l'équipe de Cannes. 

L'actrice maroco-belge Lubna Azabal a été nommée cette semaine présidente du jury des courts-métrages et de La Cinef lors du festival. Les prix La Cinef sont la sélection du festival dédiée aux écoles de cinéma.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


Le plus grand projet de restauration corallienne au monde dévoilé en mer Rouge

La pépinière, construite sur la côte de Neom, dans le nord-ouest de l’Arabie saoudite, devrait transformer les efforts de restauration corallienne grâce à une capacité de production de 40 000 coraux par an. (SPA)
La pépinière, construite sur la côte de Neom, dans le nord-ouest de l’Arabie saoudite, devrait transformer les efforts de restauration corallienne grâce à une capacité de production de 40 000 coraux par an. (SPA)
La pépinière, construite sur la côte de Neom, dans le nord-ouest de l’Arabie saoudite, devrait transformer les efforts de restauration corallienne grâce à une capacité de production de 40 000 coraux par an. (SPA)
La pépinière, construite sur la côte de Neom, dans le nord-ouest de l’Arabie saoudite, devrait transformer les efforts de restauration corallienne grâce à une capacité de production de 40 000 coraux par an. (SPA)
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  • «KCRI est le plus grand projet de restauration corallienne du monde et constitue une étape importante vers la restauration des récifs à l’échelle mondiale»
  • «Les événements récents nous rappellent brutalement la crise mondiale à laquelle sont confrontés les récifs coralliens»

RIYAD: Des scientifiques de l’université des sciences et technologies du roi Abdallah (Kaust), en collaboration avec Neom, ont inauguré la première pépinière de l’Initiative de restauration corallienne de la Kaust (KCRI).

«KCRI est le plus grand projet de restauration corallienne du monde et constitue une étape importante vers la restauration des récifs à l’échelle mondiale. Une première pépinière est officiellement opérationnelle et une seconde est en cours de construction. Elles sont toutes deux situées en mer Rouge», indique un communiqué publié jeudi.

La pépinière, construite sur la côte de Neom, dans le nord-ouest de l’Arabie saoudite, devrait transformer les efforts de restauration corallienne grâce à une capacité de production de 40 000 coraux par an.

Les chercheurs se serviront de cette installation pilote pour lancer des initiatives de restauration corallienne à grande échelle, avec notamment la pépinière de coraux terrestre la plus grande et la plus avancée au monde.

Située sur le même site, cette dernière aura une capacité décuplée et pourra produire 400 000 coraux par an. Le projet devrait être achevé en décembre 2025.

Abritant 25% des espèces marines connues, bien qu’ils couvrent moins d’1% des fonds marins, les récifs coralliens sont le fondement de nombreux écosystèmes marins. Les experts estiment que jusqu’à 90% des récifs coralliens de la planète subiront un stress thermique grave d’ici à 2050.

«Les événements récents nous rappellent brutalement la crise mondiale à laquelle sont confrontés les récifs coralliens. Nous avons donc pour ambition de trouver un moyen de faire passer les efforts de restauration actuels, à forte intensité de main-d’œuvre, à des processus industriels afin d’inverser le rythme actuel de dégradation des récifs coralliens», a expliqué le professeur Tony Chan, président de la Kaust.

Cette initiative s’aligne sur la Vision 2030 de l’Arabie saoudite et sur ses efforts pour renforcer la conservation marine en tirant parti des recherches réalisées par la Kaust sur les écosystèmes marins et en servant de plate-forme pour tester des méthodes de restauration innovantes.

«Grâce à notre partenariat de longue date avec la Kaust, nous mettrons également en lumière le rôle des récifs coralliens, qui comptent parmi les systèmes environnementaux marins les plus importants, ainsi que l’importance de leur préservation pour les générations futures», a confié le PDG de Neom, Nadhmi al-Nasr.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L’Istituto Marangoni de Milan va ouvrir un campus à Riyad

Au centre, Stefania Valenti, directrice générale mondiale de l’Istituto Marangoni, et Burak Cakmak, directeur général de la Commission saoudienne de la mode. (Photo fournie)
Au centre, Stefania Valenti, directrice générale mondiale de l’Istituto Marangoni, et Burak Cakmak, directeur général de la Commission saoudienne de la mode. (Photo fournie)
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  • La mission de l’institut en Arabie saoudite sera d’explorer de nouvelles voies pour l’accompagnement des talents locaux et de générer des possibilités d’emploi
  • L’institut possède des campus à Milan, à Florence, à Dubaï, à Paris, à Londres et à Miami

RIYAD: L’Istituto Marangoni, basé à Milan, en collaboration avec la Commission saoudienne de la mode, ouvrira à Riyad un institut de formation supérieure proposant des cours spécialisés dans la mode et le luxe, avec l’intention de l’inaugurer en 2025. 

Selon un communiqué, la mission de l’institut en Arabie saoudite sera d’explorer de nouvelles voies pour l’accompagnement des talents locaux et de générer des possibilités d’emploi dans les secteurs concernés. 

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Le nouvel institut de Riyad proposera des diplômes de niveau avancé d’une durée de trois ans, dans des domaines spécifiques, comme la création de mode, la gestion de la mode, les produits de mode, le stylisme de mode et la direction créative, ainsi que la gestion des parfums et cosmétiques et le design d’intérieur. (Photo fournie) 

«Nous sommes très heureux d’établir un partenariat avec l’Istituto Marangoni. Il s’agit de l’un des principaux établissements d’enseignement mondiaux axés sur la mode et le design. Il possède de nombreux campus à travers le monde, mais c’est la première fois qu’il en ouvre un en Arabie saoudite. Il s’agit également du premier établissement d’enseignement au Royaume en tant que destination d’investissement direct étranger, ce qui montre son engagement vis-à-vis du potentiel du marché saoudien, en particulier pour les créateurs et les entreprises. Grâce à ce partenariat, nous serons en mesure de former tous les créateurs locaux en Arabie saoudite et de leur proposer des emplois», déclare à Arab News Burak Cakmak, directeur général de la Commission de la mode du ministère de la Culture d’Arabie saoudite. 

Le nouvel institut de Riyad proposera des diplômes de niveau avancé d’une durée de trois ans, dans des domaines spécifiques, comme la création de mode, la gestion de la mode, les produits de mode, le stylisme de mode et la direction créative, ainsi que la gestion des parfums et cosmétiques et le design d’intérieur. Les étudiants pourront choisir de suivre leurs études à Riyad, avec la possibilité d’intégrer le marché de la mode grâce à un stage de six mois au cours de la dernière année d’études, ou de poursuivre leurs études de licence dans n’importe quel campus international de l’Istituto Marangoni. 

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La mission de l’institut en Arabie saoudite sera d’explorer de nouvelles voies pour l’accompagnement des talents locaux et de générer des possibilités d’emploi dans les secteurs concernés. (Photo fournie) 

L’institut possède des campus à Milan, à Florence, à Dubaï, à Paris, à Londres et à Miami. 

Dans un communiqué, Stefania Valenti, directrice générale mondiale de l’Istituto Marangoni, déclare: «Nous avons établi cet important partenariat avec la Commission saoudienne de la mode parce que nous sommes convaincus qu’elle élaborera un programme solide en vue de créer un système de luxe et de mode en Arabie saoudite.» 

«Nous voulons mettre nos connaissances et nos compétences à la disposition de la nouvelle génération. Les jeunes générations – notamment les femmes – veulent pouvoir suivre des études en Arabie saoudite et non pas seulement à l’étranger», ajoute-t-elle. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com