Le «Wall of Fame» de la saison de Riyad expose des empreintes de mains de stars

Les visiteurs affluent pour voir le «mur de la renommée» de la saison de Riyad qui présente des empreintes de mains de leurs célébrités régionales et internationales. préférées (Photo, AN/Rachid Hassan)
Les visiteurs affluent pour voir le «mur de la renommée» de la saison de Riyad qui présente des empreintes de mains de leurs célébrités régionales et internationales. préférées (Photo, AN/Rachid Hassan)
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Publié le Vendredi 18 février 2022

Le «Wall of Fame» de la saison de Riyad expose des empreintes de mains de stars

  • L'acteur bollywoodien Salman Khan et la chanteuse syrienne Assala Nasri figurent parmi les stars présentées
  • «Il y a un Hollywood Walk of Fame aux États-Unis, mais maintenant que nous l'avons ici, je suis heureux de pouvoir le voir. C'est un bon endroit à visiter»

RIYADH: Les empreintes de mains de stars régionales et internationales figurant sur le «Wall of Fame» (Mur de la renommée) de la saison de Riyad ont attiré des visiteurs qui souhaitent se rapprocher de leurs célébrités et personnalités préférées.

Tous ceux qui se produisent à la saison de Riyad ont la possibilité de laisser une empreinte de main dans un plateau de ciment, le produit final étant exposé à la vue de tous. Le Mur de la renommée s’inspire du Walk of Fame d'Hollywood, qui est un point de repère internationalement reconnu et compte plus de 2 700 étoiles honorant les plus grands noms de l'industrie du divertissement.

Le Mur de la renommée porte les empreintes de grandes célébrités telles que l'acteur bollywoodien Salman Khan, la chanteuse syrienne Assala Nasri, les comédiens égyptiens Mohammed Henedy et Bayoumi Fouad, l'acteur koweïtien Hassan al-Balam, le chanteur saoudien Abdel Majid Abdallah, l'artiste libanaise Elissa et le chanteur algérien Cheb Khaled.

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Le chanteur saoudien Abdelmajid Abdallah ajoute son empreinte de main au «Mur de la renommée» à la saison de Riyad. (Photo fournie)

Ayman al-Hadi a trouvé l'idée «brillante» parce que les gens visiteraient au Mur de la renommée pour prendre une photo avec leurs vedettes préférées et se sentir proches d'elles.

«Je m'attends à ce que le chanteur saoudien Rached al-Majid ait bientôt son empreinte ici car il donne bientôt un concert et je suis impatient de le voir», a-t-il déclaré à Arab News.

Un autre visiteur, Ahmed Mohammed, a révélé: «Je suis un fan de l'icône de la comédie Tariq al-Ali. Il est une source de bonheur, il fait sourire tout le monde dans la région du Golfe, et je suis venu voir et prendre une photo de l'empreinte de ma star préférée ici. C'est une excellente idée de collecter des empreintes de mains des célébrités, et d'offrir un moment mémorable aux fans qui visitent ce magnifique site.»

Faisal Mohammed Youssef s'est dit heureux de voir les empreintes de mains de tant de célébrités réunies sur le Mur de la renommée. «Il y a un Hollywood Walk of Fame aux États-Unis, mais maintenant que nous l'avons ici, je suis heureux de pouvoir le voir. C'est un bon endroit à visiter.»

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L'empreinte de la main de la superstar bollywoodienne Salman Khan au mur de la célébrité. (Photo fournie)

Hennan Mohammed s'est décrite comme une «grande fan» de Khan et a indiqué qu'elle avait visité la saison de Riyad pour voir son empreinte sur le Mur de la renommée. «Je serai plus heureuse de le voir en personne. J'ai vu tous ses films. Ce qui est plus significatif ici, au Mur de la renommée, c'est qu'il réunit des stars de nombreuses nationalités avec leurs empreintes de mains sur un seul mur, ce qui est une idée unique.»

Ibrahim al-Haïti a indiqué qu'il admirait Nasri depuis longtemps et qu'il était un de ses plus grands fans. «Je l'écoute beaucoup. Je veux la rencontrer, donc la chose la plus proche de cette rencontre est l'empreinte de sa main ici. Je suis heureux d'être ici et de prendre des photos. J'aime l'idée que le Mur de la renommée réunit des stars de différentes nationalités. Cela signifie la présence de ces stars qui brillent ici avec leur empreinte de main, et de leur présence lorsqu'elles sont venues ici.»

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


La Saudi League en passe de rejoindre le top 3 mondial, selon le patron de la FIFA

La ligue est en passe de devenir l'une des trois meilleures au monde, a-t-il ajouté.  (Fourni)
La ligue est en passe de devenir l'une des trois meilleures au monde, a-t-il ajouté. (Fourni)
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  • Gianni Infantino souligne qu’un championnat national au rayonnement mondial attire plusieurs des meilleurs joueurs de la planète
  • Le football féminin dans le Royaume est également promis à une croissance accrue

DOHA : Gianni Infantino, président de la Fédération internationale de football association (FIFA), a déclaré que l’Arabie saoudite est devenue un pôle majeur sur la scène mondiale du football.

Il a salué les évolutions dynamiques observées ces dernières années, qui ont permis au Royaume d’acquérir une présence internationale significative et de développer un championnat national à la dimension mondiale, réunissant certaines des plus grandes stars du football, au premier rang desquelles Cristiano Ronaldo.

La ligue est en passe de devenir l'une des trois meilleures au monde, a-t-il ajouté. 

Dans un entretien exclusif accordé à Asharq Al-Awsat, publication sœur d’Arab News, le président de la FIFA a affirmé que l’équipe nationale saoudienne, après son exploit retentissant face à l’Argentine lors de la Coupe du monde 2022, demeure capable de rééditer de telles performances, potentiellement face à l’Espagne lors du Mondial 2026.

Il a souligné que le football saoudien a réalisé des progrès remarquables, non seulement au niveau de l’équipe nationale senior, mais également dans les catégories de jeunes. Il a également indiqué que le football féminin dans le Royaume est appelé à se développer davantage, grâce à l’attention croissante que lui portent les instances dirigeantes du football ces dernières années.

Gianni Infantino a par ailleurs exprimé sa satisfaction personnelle quant à l’organisation de la Coupe du monde 2034 en Arabie saoudite, décrivant le Royaume comme un pays accueillant, doté d’une culture riche, d’une cuisine savoureuse et d’un peuple remarquable — autant d’éléments qui, selon lui, contribueront au succès de ce grand événement footballistique.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Le festival Winter at Tantora revient à AlUla et célèbre un riche patrimoine culturel

Le festival tire son nom du Tantora, un cadran solaire antique situé au centre de la vieille ville. (SPA)
Le festival tire son nom du Tantora, un cadran solaire antique situé au centre de la vieille ville. (SPA)
Le festival tire son nom du Tantora, un cadran solaire antique situé au centre de la vieille ville. (SPA)
Le festival tire son nom du Tantora, un cadran solaire antique situé au centre de la vieille ville. (SPA)
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AlUla : Le festival Winter at Tantora a été lancé jeudi à AlUla. Il se déroulera jusqu’au 10 janvier et propose une saison culturelle célébrant le riche héritage civilisationnel, culturel et historique de la région.

Le programme du festival comprend une large palette d’activités culturelles, artistiques et traditionnelles, a rapporté l’Agence de presse saoudienne (SPA).

Parmi les attractions figurent Old Town Nights, Shorfat Tantora, When Shadow Tracks Us et le Carnaval d’Al-Manshiyah.


Le Forum d’Asilah distingué par le Prix du Sultan Qaboos pour la culture

Hatim Betioui, secrétaire général du Forum d’Asilah, reçoit le Prix et la Médaille du Sultan Qaboos pour la culture, les sciences, les arts et les lettres. (Photo: fournie)
Hatim Betioui, secrétaire général du Forum d’Asilah, reçoit le Prix et la Médaille du Sultan Qaboos pour la culture, les sciences, les arts et les lettres. (Photo: fournie)
Les lauréats du Prix du Sultan Qaboos avec le Dr Mohammed bin Saïd Al-Maamari, ministre omanais des Awqaf et des Affaires religieuses, et Habib bin Mohammed Al-Riyami, président du Centre supérieur du Sultan Qaboos pour la culture et les sciences. (Photo: fournie)
Les lauréats du Prix du Sultan Qaboos avec le Dr Mohammed bin Saïd Al-Maamari, ministre omanais des Awqaf et des Affaires religieuses, et Habib bin Mohammed Al-Riyami, président du Centre supérieur du Sultan Qaboos pour la culture et les sciences. (Photo: fournie)
Le prix est décerné en alternance : une année réservée aux Omanais, et l’année suivante ouverte à l’ensemble du monde arabe. (Photo: fournie)
Le prix est décerné en alternance : une année réservée aux Omanais, et l’année suivante ouverte à l’ensemble du monde arabe. (Photo: fournie)
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  • Hatim Betioui, secrétaire général du Forum d’Asilah, a été récompensé à Mascate par le Prix du Sultan Qaboos 2025 dans la catégorie des institutions culturelles privées
  • Cette distinction prestigieuse célèbre l’excellence culturelle arabe et souligne le rôle d’Oman dans la promotion de la pensée, des arts et des lettres

MASCATE: Lors d’une cérémonie organisée dans la capitale omanaise, Mascate, Hatim Betioui, secrétaire général du Forum d’Asilah, a reçu le Prix du Sultan Qaboos pour les institutions culturelles privées.

Hatim Betioui, secrétaire général de la Fondation du Forum d’Asilah, a été distingué mercredi soir à Mascate par le Prix des institutions culturelles privées (catégorie Culture), à l’occasion de la cérémonie de remise du Prix du Sultan Qaboos pour la culture, les arts et les lettres, dans sa douzième édition (2025). La cérémonie s’est tenue sous le patronage du Dr Mohammed bin Saïd Al-Maamari, ministre omanais des Awqaf et des Affaires religieuses, agissant par délégation de Sa Majesté le Sultan Haitham bin Tariq.

Lors de cette édition, le prix a également été attribué, aux côtés de la Fondation du Forum d’Asilah, à l’artiste égyptien Essam Mohammed Sayed Darwish dans le domaine de la sculpture (catégorie Arts), ainsi qu’à Hikmat Al-Sabbagh, connue sous le nom de Yumna Al-Eid, dans le domaine de l’autobiographie (catégorie Lettres).

Au cours de la cérémonie, Habib bin Mohammed Al-Riyami, président du Centre supérieur du Sultan Qaboos pour la culture et les sciences, a prononcé un discours dans lequel il a souligné le rôle et l’importance de ce prix, affirmant que cette célébration constitue une reconnaissance du mérite des lauréats, appelés à devenir des modèles d’engagement et de générosité intellectuelle.

Al-Riyami a également indiqué que l’extension géographique atteinte par le prix, ainsi que l’élargissement constant de la participation des créateurs arabes à chaque édition, résultent de la réputation dont il jouit et de la vision ambitieuse qui sous-tend son avenir. Il a mis en avant le soin apporté à la sélection des commissions de présélection et des jurys finaux, composés de personnalités académiques, artistiques et littéraires de haut niveau, spécialisées dans les domaines concernés, selon des critères rigoureux garantissant le choix de lauréats et d’œuvres prestigieux.

La cérémonie a également été marquée par la projection d’un film retraçant le parcours du prix lors de sa douzième édition, ainsi que par une prestation artistique du Centre omanais de musique.

En clôture de la cérémonie, le ministre des Awqaf et des Affaires religieuses a annoncé les domaines retenus pour la treizième édition du prix, qui sera exclusivement réservée aux candidats omanais. Elle portera sur : la culture (études sur la famille et l’enfance au Sultanat d’Oman), les arts (calligraphie arabe) et les lettres (nouvelle).

Il convient de rappeler que ce prix vise à rendre hommage aux intellectuels, artistes et écrivains pour leurs contributions au renouvellement de la pensée et à l’élévation de la sensibilité humaine, tout en mettant en valeur la contribution omanaise — passée, présente et future — à l’enrichissement de la civilisation humaine.

Le prix est décerné en alternance : une année réservée aux Omanais, et l’année suivante ouverte à l’ensemble du monde arabe. Chaque lauréat de l’édition arabe reçoit la Médaille du Sultan Qaboos pour la culture, les sciences, les arts et les lettres, assortie d’une dotation de 100 000 rials omanais. Pour l’édition omanaise, chaque lauréat reçoit la Médaille du mérite, accompagnée d’une dotation de 50 000 rials omanais.

Le prix a été institué par le décret royal n° 18/2011 du 27 février 2011, afin de reconnaître la production intellectuelle et cognitive et d’affirmer le rôle historique du Sultanat d’Oman dans l’ancrage de la conscience culturelle, considérée comme un pilier fondamental du progrès civilisationnel.