Infinity des Lumières révolutionne les lieux culturels et célèbre la conquête de l’espace

L’Infinity des Lumières propose un mariage parfait entre la technologie et l’art pour créer l’impression d’une complète immersion. (Fournie)
L’Infinity des Lumières propose un mariage parfait entre la technologie et l’art pour créer l’impression d’une complète immersion. (Fournie)
Short Url
Publié le Vendredi 25 février 2022

Infinity des Lumières révolutionne les lieux culturels et célèbre la conquête de l’espace

  • L’Infinity des Lumières est un lieu impressionnant de 2700 m2 au sein de Dubai Mall, équipé de 130 projecteurs et 58 haut-parleurs
  • Jusqu’au 2 avril, le théâtre d’art numérique de Dubaï accueille l’installation Destination Cosmos, l’ultime défi, qui raconte une autre histoire de l’Homme

DUBAÏ: Le savoir-faire français dans le domaine culturel est connu à travers le monde et en voici encore une belle démonstration. L’Infinity des Lumières propose un mariage parfait entre la technologie et l’art pour créer l’impression d’une complète immersion. Et il fallait y penser: dans un premier temps, on adapte ou on crée un endroit très spacieux, souvent un lieu atypique tel qu’un bunker, une usine, ou des carrières désaffectées. Ensuite, on y projette un spectacle onirique à partir des toiles de grands maîtres numérisées.

Accompagnées de musique, les images dansent et plongent le spectateur dans le monde poétique et artistique. Ainsi, l’art est non seulement vu, mais il est aussi vécu, par le plus grand nombre de personnes. Succès assuré.

Ce concept a été développé par l’acteur culturel français Culturespaces, pionnier mondial de centres d'arts numériques et d'expositions immersives. La PME, fondée par Bruno Monnier il y a plus de trente ans (en 1990), est devenue le premier opérateur privé en France, spécialisé dans la gestion globale des monuments, musées et centres d’art physique et numérique (Musée Jacquemart-André, Théâtre antique d’Orange, Hôtel de Caumont Centre d’art…). Elle se donne pour objectif de proposer un modèle novateur, centré sur l’expérience du visiteur et compte aujourd’hui 4,6 millions de visiteurs par an avec plus de 400 employés.

Jusqu'ici détenue à 86 % par Engie, l'entreprise a été récemment rachetée par deux fonds d'investissement, IDI et Chevrillon. Bruno Monnier, reste lui actionnaire des parts restantes.

 

Expansion à l’international

photo
Ici, depuis quelques mois, les spectacles donnent vie aux œuvres de Van Gogh à travers 3 000 images en haute définition ou plongent le public dans le monde rêvé du Japon avec l’exposition Dreamed Japan. (Fournie)

En France, Culturespaces a créé des centres d’art numérique comme l’Atelier des Lumières à Paris. Les amoureux du sud de la France et de l’art connaissent sans doute les Carrières des Lumières aux Baux-de-Provence, ou encore les Bassins des Lumières, le plus grand centre d'art numérique au monde, situé dans la base sous-marine de Bordeaux depuis juin 2020.

Fort du succès de ces expériences multisensorielles, des centres d’art numérique se multiplient aujourd’hui à l’international avec de nouvelles ouvertures de lieux en Hollande, en Corée du Sud, ou encore à New York, aux États Unis. Le concept a également été importé l’an dernier à Dubaï, sous le nom d’Infinity des Lumières, un lieu impressionnant de 2700 m2 au sein de Dubai Mall, équipé de 130 projecteurs et 58 haut-parleurs. 

Ici, depuis quelques mois, les spectacles donnent vie aux œuvres de Van Gogh à travers 3 000 images en haute définition ou plongent le public dans le monde rêvé du Japon avec l’exposition Dreamed Japan.

 

Destination Cosmos, quand la France et les États arabes unis collaborent

Mais dans notre époque, où art et sciences font de plus en plus bon ménage, le plus grand centre d’art numérique du Moyen-Orient a décidé d’ouvrir ses portes aussi à l’Espace.

Un an après que la sonde émiratie Al-Amal a envoyé les premières images de Mars, c’est un autre spectacle de nébuleuses et de supernovas, de galaxies lointaines qui s’offre désormais au public de Dubaï. Cette fois, sans cimaises colorées sur les murs hauts de sept mètres. Jusqu’au 2 avril, le théâtre d’art numérique de Dubaï accueille en effet l’installation Destination Cosmos, l’ultime défi, qui raconte une autre histoire de l’Homme, une histoire de passion, de courage et de fascination pour l’univers. L’histoire de l’exploration spatiale.

Créé en partenariat avec le Centre spatial Mohamed bin Rashid (MBRSC) de Dubaï, l’Agence spatiale française, le Cnes, et Culturespaces, l’expérience immersive célèbre à la fois le 60ᵉ anniversaire de l’institution française et rend hommage aux récentes réalisations des Émirats arabes unis (EAU) en matière d'exploration spatiale. 

«Nous voulions montrer les avancements des EAU sur la route de l’espace et raconter la collaboration avec la France dans ce domaine», explique Wael Soueid, directeur d’Infinity des Lumières. Le centre d’art numérique embarque les visiteurs dans un voyage unique en treize séquences avec un prologue, qui débute au cœur de la forêt tropicale guyanaise et prend fin aux confins de l’univers, sans quitter la Terre. Ou presque…

 

Un voyage aux confins de l’univers

Destination Cosmos commence dans le noir. Un ciel étoilé remplit le centre d’art, des lignes sont tracées pour dessiner les constellations. Une fois les lignes apparues, les figures mythologiques dont elles portent les noms apparaissent.

Vient ensuite une succession de sites antiques, construits par les civilisations pionnières de l'astronomie. Les gigantesques images s’emparent des murs et du sol, les inondent et dansent sous les yeux du visiteur.

Le voyage se poursuit avec des représentations d'observation des étoiles de différentes époques et peuples. Commence ensuite la course à l’espace et en particulier celle de la Lune, centre d’enjeux et des tensions politiques importantes entre les États-Unis et l’URSS au XXᵉ siècle. Le spectateur est plongé dans des archives devenues cultes. Des images fournies par la Nasa et par le Cnes.

De là, on arrive dans la forêt tropicale de Guyane française et à la base spatiale de Kourou. Soudain, le compte à rebours démarre… une fusée est propulsée, laissant le spectateur comme enveloppé dans un nuage de fumée et de rugissement intense… et direction les étoiles.

photo
«Nous avons inclus ces images de Dubaï pour personnaliser l’exposition et l’adapter aux Émirats», précise  Wael Soueid. (Fournie)

Les visiteurs, après avoir quitté la Terre, découvrent les images de la planète bleue vue de l’espace. Ils voient entre autres les images du quartier de Palm Jumeirah de Dubaï. «Nous avons inclus ces images de Dubaï pour personnaliser l’exposition et l’adapter aux Émirats», précise  Wael Soueid. «Ce sont des images exceptionnelles, très fortes, comme celles des sites antiques, des pionniers de l’exploration spatiale – y compris des astronautes émiratis –, ou encore d’éruptions solaires. Tout comme les images envoyées par la sonde Al-Amal, fournies par MBRSC, une véritable réussite des EAU, premier pays arabe à être allé dans l’espace», ajoute-t-il.

«Destination Cosmos est un voyage à travers soixante ans de découvertes et une immersion dans la beauté de notre univers, du premier lancement d’une fusée française au vol d’Hazza al-Mansouri vers la Station spatiale internationale (ISS) ou l’arrivée de la sonde Al-Amal en orbite autour de la planète Mars», a déclaré pour sa part Philippe Baptiste, PDG du Cnes, dans un message vidéo, lors de la soirée de lancement de Destination Cosmos

Grâce aux images de la planète rouge, de ses canyons, montagnes et reliefs, sondes, robots et rovers, premiers explorateurs de Mars, sont aussi à l’honneur. Car Destination cosmos rend hommage aux hommes et raconte les défis technologiques. Le public peut ainsi découvrir l’ISS, un véritable laboratoire en orbite, où scientifiques de l'espace, astronautes et cosmonautes coopèrent pour faire avancer la science.

Le public est saisi visuellement par les enchaînements et survole aussi Uranus, Neptune, Jupiter et les anneaux de Saturne, avant de franchir les frontières de notre système solaire pour explorer l’immensité de l’univers.

 

Objectif éducatif

«Nous sommes fiers d’avoir coproduit l’exposition avec Culturespaces et d’avoir pu l’adapter pour Infinity des Lumières, en partenariat avec le Mohammed bin Rashid Space Centre de Dubaï. En effet, Destination Cosmos n'est pas seulement une célébration des soixante ans du Cnes et des succès de l'aventure spatiale du MBRSC et des EAU, mais surtout un signe du lien fort et stratégique qui existe entre la France et les Émirats, entre le Cnes et le MBRSC», a ajouté  Philippe Baptiste.

Mais au-delà de sa dimension spectaculaire, le show a un objectif éducatif car la technologie joue un rôle important dans la diffusion de contenu à des publics massifs et diversifiés, grâce notamment à ces expériences plus immersives.

«Nous croyons que le programme améliorera la compréhension et la passion de la communauté pour l'exploration et les études spatiales. Grâce à cette nouvelle exposition numérique, les résidents et les visiteurs auront une nouvelle façon de découvrir et d'apprendre l'espace de manière immersive et agréable», a déclaré Humaid Almarri, directeur général du MBRSC.

Et c’est déjà le cas pour le public le plus jeune. Depuis l'inauguration de l’exposition, Infinity des Lumières organise des conférences et des visites pour les écoles. «Nous recevons des écoliers et ils montrent un grand intérêt pour l’espace, ils posent plein de questions», s’enthousiasme Wael Soueid. Car c’est «le rêve de tout un chacun d’aller un jour dans l’espace».


Kehlani réagit à l'annulation de son concert en raison de sentiments «anti-Israël»

Kehlani, connue pour ses positions pro-palestiniennes, a réagi sur les réseaux sociaux cette semaine à l'annulation de son concert à l'université de Cornell. (Getty Images)
Kehlani, connue pour ses positions pro-palestiniennes, a réagi sur les réseaux sociaux cette semaine à l'annulation de son concert à l'université de Cornell. (Getty Images)
Short Url
  • La semaine dernière, le président de Cornell, Michael Kotlikoff, a annoncé qu'il retirait l'invitation de la chanteuse R&B à se produire lors de l'événement en raison de ce qu'il a qualifié de "sentiments antisémites et anti-Israël"
  • "Malheureusement, même si ce n'était pas l'intention, le choix de Kehlani comme tête d'affiche de cette année a semé la division et la discorde au Slope Day", a écrit M. Kotlikoff la semaine dernière, en faisant référence au concert

DUBAI : La chanteuse américaine Kehlani s'est exprimée sur les médias sociaux après l'annulation de sa participation au concert annuel de l'université de Cornell en raison de sa position pro-palestinienne.

La semaine dernière, le président de Cornell, Michael Kotlikoff, a annoncé qu'il retirait l'invitation de la chanteuse R&B à se produire lors de l'événement en raison de ce qu'il a qualifié de "sentiments antisémites et anti-Israël".

"Malheureusement, même si ce n'était pas l'intention, le choix de Kehlani comme tête d'affiche de cette année a semé la division et la discorde au Slope Day", a écrit M. Kotlikoff la semaine dernière, en faisant référence au concert.

"Pour cette raison, j'annule l'invitation de Kehlani et je m'attends à ce qu'une nouvelle programmation pour un grand Slope Day 2025 soit annoncée sous peu".

Il poursuit : "Dans les jours qui ont suivi l'annonce de Kehlani, j'ai entendu de graves préoccupations de la part de notre communauté : beaucoup sont en colère, blessés et confus que le Slope Day présente un artiste qui a épousé des sentiments antisémites et anti-israéliens dans ses spectacles, ses vidéos et sur les médias sociaux. Dans notre pays, tout artiste a le droit d'exprimer des opinions haineuses, mais le Slope Day a pour but d'unir notre communauté, et non de la diviser.

Dans une nouvelle vidéo Instagram réagissant à l'annulation, Kehlani a déclaré : "On me demande et on m'appelle à clarifier et à faire une déclaration encore une fois pour la millionième fois, que je ne suis pas antisémite ni antijuive. Je suis contre le génocide, je suis contre les actions du gouvernement israélien, je suis contre l'extermination d'un peuple entier, je suis contre le bombardement d'enfants innocents, d'hommes, de femmes... c'est ce que je suis contre".

Le jeune homme de 30 ans, qui collabore fréquemment avec le groupe Jewish Voice for Peace, a ajouté une légende : "Je sais que vous avez vu que l'université Cornell a annulé mon spectacle, et maintenant il y a des tentatives d'autres annulations qui s'ajoutent à celles que j'ai déjà subies au cours de l'année écoulée. Si vous voulez me priver d'une opportunité, dites-vous que c'est à cause de votre sionisme. n'en faites pas une question antijuive. c'est un jeu joué. tout cela parce que nous voulons que les gens arrêtent de mourir. J'espère que cela vous aidera.


Comment Netflix fait voyager l'humour français d'Astérix et d'Alain Chabat

En Allemagne, deuxième marché d'Astérix derrière la France et où l'expression "Die spinnen, die Römer!" ("Ils sont fous ces Romains!") est passée dans le langage courant, les lecteurs du "Combat des Chefs" devraient ainsi s'y retrouver. (AFP)
En Allemagne, deuxième marché d'Astérix derrière la France et où l'expression "Die spinnen, die Römer!" ("Ils sont fous ces Romains!") est passée dans le langage courant, les lecteurs du "Combat des Chefs" devraient ainsi s'y retrouver. (AFP)
"C'est très très important que l'humour voyage": doublée dans près de 40 langues et diffusée dans 190 pays sur Netflix, la série animée du réalisateur français Alain Chabat, tirée d'Astérix, a nécessité "un énorme" travail de traduction, en collaboration avec les éditions Albert René. (AFP)
"C'est très très important que l'humour voyage": doublée dans près de 40 langues et diffusée dans 190 pays sur Netflix, la série animée du réalisateur français Alain Chabat, tirée d'Astérix, a nécessité "un énorme" travail de traduction, en collaboration avec les éditions Albert René. (AFP)
Short Url
  • Arabe, coréen, croate, hébreu ou encore mandarin... 38 versions seront proposées aux quelque 300 millions d'abonnés de la plateforme, où débarque mercredi "Astérix et Obélix: le combat des chefs", inspiré de l'album éponyme
  • Netflix a "fait un super boulot" pour ne "pas perdre l'humour à la traduction" et adapter les calembours et références indissociables de la saga

PARIS: "C'est très très important que l'humour voyage": doublée dans près de 40 langues et diffusée dans 190 pays sur Netflix, la série animée du réalisateur français Alain Chabat, tirée d'Astérix, a nécessité "un énorme" travail de traduction, en collaboration avec les éditions Albert René.

Arabe, coréen, croate, hébreu ou encore mandarin... 38 versions seront proposées aux quelque 300 millions d'abonnés de la plateforme, où débarque mercredi "Astérix et Obélix: le combat des chefs", inspiré de l'album éponyme.

Netflix a "fait un super boulot" pour ne "pas perdre l'humour à la traduction" et adapter les calembours et références indissociables de la saga, a assuré à l'AFP Céleste Surugue, le directeur général des Editions Albert René, qui détiennent les droits des albums.

Le géant du streaming, qui n'a pas répondu à l'AFP à ce sujet, s'est notamment appuyé sur les traductions existantes de l’œuvre originale, qui ne manquent pas: avec 120 langues et dialectes au compteur, "Astérix" est la bande dessinée la plus traduite au monde.

"On a travaillé main dans la main, que ce soit sur les noms des personnages (...) certaines phrases célèbres", l'éditeur ayant fait "relire et valider" les scripts avec une société spécialisée partenaire et donné accès à ses traducteurs "quand il y avait des interrogations, des difficultés", selon Céleste Surugue.

En Allemagne, deuxième marché d'Astérix derrière la France et où l'expression "Die spinnen, die Römer!" ("Ils sont fous ces Romains!") est passée dans le langage courant, les lecteurs du "Combat des Chefs" devraient ainsi s'y retrouver.

Fastanfurious 

De même, en anglais, Idéfix s'appelle toujours Dogmatix, comme l'a baptisé la traductrice britannique historique d'Astérix Anthea Bell, tout comme Abraracourcix conserve le nom Vitalstatistix.

Quid des ajouts d'Alain Chabat, connu pour son humour ultra-référencé? Sur "un certain nombre d'endroits", le réalisateur et scénariste "est très fidèle, voire très proche dans les dialogues à ce qu'on a dans l'album" sorti en 1966, souligne Céleste Surugue.

Pour les nouveaux personnages, "des noms fonctionnant dans plein de pays" ont souvent été choisis, comme Metadata, Potus (abréviation de "President of the United States") ou encore Fastanfurious (en référence à la franchise centrée sur les voitures).

Quant aux "références culturelles locales", les traducteurs "ont pris soin d'essayer de trouver des équivalents à chaque fois".

Pour autant, certaines blagues semblent impossibles à transposer, comme une allusion au duo français Omar et Fred (Omar Sy et Fred Testot) impliquant... homard et fraises.

Une "problématique" commune aux albums, relève Céleste Surugue, citant l'exemple des Romains "déplaçant des bornes" dans "Astérix et la Transitalique".

Connu dans le monde entier, avec plus de 400 millions d'exemplaires vendus, Astérix "est particulièrement fort en Europe continentale", et est, en langue anglaise, surtout prisé dans "les pays du Commonwealth" comme l'Afrique du Sud, la Nouvelle-Zélande, l'Australie ou l'Inde, selon M. Surugue.

Son adaptation sur Netflix devrait permettre de le faire découvrir à un public plus large que les films dédiés au cinéma, notamment aux Etats-Unis et en Angleterre, où ses aventures sont généralement cantonnées aux salles d'art et essai, en version originale, d'après M. Surugue.

Succès public en France en 2023 avec 4,6 millions d'entrées, le long-métrage de l'acteur et metteur en scène français Guillaume Canet, "L'empire du milieu", doublé dans "une petite trentaine de langues", avait bénéficié d'une sortie dans plus de 50 pays.


Le prince héritier jordanien célèbre le 31e anniversaire de la princesse Rajwa

Le prince héritier de Jordanie, Hussein ben Abdullah, a adressé lundi ses meilleurs vœux à son épouse d'origine saoudienne, la princesse Rajwa Al-Hussein, à l'occasion de son 31e anniversaire (Instagram).
Le prince héritier de Jordanie, Hussein ben Abdullah, a adressé lundi ses meilleurs vœux à son épouse d'origine saoudienne, la princesse Rajwa Al-Hussein, à l'occasion de son 31e anniversaire (Instagram).
Short Url
  • La famille royale partage un nouveau portrait officiel de la princesse.
  • La princesse Rajwa a donné naissance à Iman – la première petite-fille du roi Abdallah II de Jordanie et de la reine Rania – en août de l'année dernière

DUBAI : Le prince héritier de Jordanie, Hussein ben Abdullah, a adressé lundi sur les réseaux sociaux ses meilleurs vœux à son épouse d'origine saoudienne, la princesse Rajwa Al-Hussein, à l'occasion de son 31e anniversaire.

"Joyeux anniversaire Rajwa ! Reconnaissant pour l'amour, la gentillesse et la chaleur que tu apportes dans la vie d'Iman et la mienne", a-t-il écrit, faisant référence à leur petite fille, la Princesse Iman.

La princesse Rajwa a donné naissance à Iman – la première petite-fille du roi Abdallah II de Jordanie et de la reine Rania – en août de l'année dernière.

rajwa
La famille royale jordanienne a partagé un nouveau portrait officiel de la princesse Rajwa pour célébrer son anniversaire (Instagram).

La famille royale jordanienne a partagé un nouveau portrait officiel de la princesse Rajwa pour célébrer son anniversaire. On la voit porter un ensemble composé d'un haut à col bénitier et d'un pantalon à jambe large de la marque Simkhai, basée à Los Angeles. Elle a accessoirisé son look avec le collier lariat two letters de Joy Jewels, qui reprend les premières lettres arabes des noms du prince héritier et de la princesse Rajwa.