Star Wars, «Retour vers le Futur» et un rare Gizmo au menu d'une grande vente aux enchères

Pièce maîtresse de cette vente organisée du 21 au 24 juin, un modèle réduit de chasseur X-Wing utilisé pour les effets spéciaux du tout premier épisode de Star Wars, sorti en 1977, estimé entre 500 000 et un million de dollars. (Photo, AFP)
Pièce maîtresse de cette vente organisée du 21 au 24 juin, un modèle réduit de chasseur X-Wing utilisé pour les effets spéciaux du tout premier épisode de Star Wars, sorti en 1977, estimé entre 500 000 et un million de dollars. (Photo, AFP)
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Publié le Mardi 10 mai 2022

Star Wars, «Retour vers le Futur» et un rare Gizmo au menu d'une grande vente aux enchères

Pièce maîtresse de cette vente organisée du 21 au 24 juin, un modèle réduit de chasseur X-Wing utilisé pour les effets spéciaux du tout premier épisode de Star Wars, sorti en 1977, estimé entre 500 000 et un million de dollars. (Photo, AFP)
  • 1 800 objets emblématiques des plus grands films hollywoodiens seront mis aux enchères le mois prochain à Los Angeles par la société spécialisée Propstore
  • L'objet le plus mignon mis aux enchères est incontestablement la très rare poupée robotisée du mogwai Gizmo utilisée pour le tournage de «Gremlins 2»

VALENCIA: La saga Star Wars, les films de Quentin Tarantino, « Retour vers le Futur » ou « Gremlins »: 1 800 objets emblématiques des plus grands films hollywoodiens seront mis aux enchères le mois prochain à Los Angeles par la société spécialisée Propstore. 

Pièce maîtresse de cette vente organisée du 21 au 24 juin, un modèle réduit de chasseur X-Wing utilisé pour les effets spéciaux du tout premier épisode de Star Wars, sorti en 1977, estimé entre 500 000 et un million de dollars. 

« Ce X-Wing est sans doute l'objet phare qu'un fan de Star Wars pourrait vouloir car non seulement tout le monde se souvient du X-Wing mais en plus il a été utilisé pour une vraie scène du film », selon Chuck Costas, vice-président de Propstore. 

Grâce aux technologies modernes, « nous avons pu le relier à la scène où est abattu Red Leader », le chef de l'escadrille de Luke Skywalker qui tente de détruire l'Etoile Noire, explique-t-il. 

Ce modèle réduit avait été acheté par un collectionneur voici une vingtaine d'années et n'avait plus été exposé en public depuis lors. 

« Beaucoup des objets proviennent de collectionneurs mais aussi des studios eux-mêmes, ou ils peuvent avoir appartenu à des gens qui ont effectivement travaillé sur le tournage des films à l'époque », poursuit M. Costas. 

C'est le cas par exemple du carnet d'Indiana Jones utilisé par les accessoiristes dans « Indiana Jones et la Dernière Croisade », estimé entre 60 000 et 80 000 dollars.

Les amateurs de « Retour vers le Futur » sont également gâtés avec une réplique de la célèbre voiture à voyager dans le temps DeLorean. Utilisée uniquement pour la promotion du film, elle a toutefois tous les cadrans, lumières et « réacteur de fusion » nécessaires, et elle roule pour de vrai ! Elle est estimée par Propstore entre 150 et 200 000 dollars. 

Légèrement plus abordable mais moins véloce, l'hoverboard de Marty McFly est tout de même estimé entre 80 000 et 120 000 dollars. 

L'objet le plus mignon mis aux enchères est incontestablement la très rare poupée robotisée du mogwai Gizmo utilisée pour le tournage de « Gremlins 2 » (80 à 120 000 dollars). 

Les fétichistes des acteurs hollywoodiens auront l'embarras du choix entre le marteau manié par Chris Hemsworth dans « Thor » (100 à 150 000 dollars), la combinaison portée par Dan Aykroyd dans « Ghostbusters 2 » (25 à 35 000), les bottes de Michael Keaton dans le « Batman » de Tim Burton, le costume d'Elvis Presley dans « Blondes, brunes, rousses » (20 à 30.000) et le short porté par Will Smith dans « Ali », estimé seulement entre 1 500 et 2.500 dollars. 

« Ce qui est super dans nos enchères, c'est qu'on a plus de 1 800 objets, certains pour quelques centaines de dollars, jusqu'à plusieurs centaines de milliers, donc il y a toujours quelque chose dans vos prix venant de votre film préféré », assure Chuck Costas. 


« I like it hot ! » : J. Lo fait sensation à Abou Dhabi

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  • Jennifer Lopez, 56 ans, prouve qu’elle reste l’une des artistes les plus enflammées au monde

ABOU DHABI: De retour à Abou Dhabi après son spectacle magistral en février, Jennifer Lopez a dansé toute la soirée mardi à l’Etihad Arena sur l’île de Yas dans le cadre de sa tournée mondiale « Up All Night ».

En interprétant ses tubes cultes comme « On the Floor », « Ain’t Your Mama » et « Dance Again », Lopez a fait monter la température avec son énergie débordante et ses chorégraphies percutantes.

Même si j’ai regretté que « Jenny From the Block » n’ait pas bénéficié d’un moment à elle, Lopez l’a tout de même interprétée en medley avec « We Will Rock You » de Queen.

Pour célébrer ses 56 ans, elle a chanté « Birthday », le single sorti le 24 juillet, très applaudi par le public.

La superstar a remercié ses fans et les a encouragés à s’aimer les uns les autres et à suivre ce qu’ils aiment.

Elle a également plaisanté sur la chaleur intense des Émirats. « I like it hot ! », a-t-elle lancé en se ventilant.

Avec plusieurs changements de tenues et des plages musicales bien calibrées, le show a alterné entre titres dynamiques, ballades lentes et medleys.

Lopez a rendu hommage à sa culture latino en interprétant quelques-uns de ses succès en espagnol, notamment « Qué Hiciste » et « Si Una Vez ».

Elle a chanté en dansant le flamenco, vêtue d’une tenue inspirée du traje de flamenca, la robe traditionnelle des femmes aux festivals andalous.

L’artiste n’est pas étrangère au Golfe : elle avait déjà fait sensation en avril lors du Grand Prix d’Arabie saoudite de F1 à Djeddah, puis en novembre dernier à Riyad pour l’événement « 1001 Seasons of Elie Saab ».

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L’artiste saoudienne met en lumière le riche paysage culturel de l’Asir à travers ses œuvres

L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
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  • Arafat Al-Asimi a surmonté de nombreux défis pour s’imposer comme artiste en tant que femme

MAKKAH : Les montagnes verdoyantes de la région d’Asir en Arabie saoudite ont nourri la vision artistique d’Arafat Al-Asimi.

En évoquant ses débuts, Al-Asimi confie qu’elle aime utiliser des couleurs pastel pour représenter des paysages naturels et patrimoniaux. Les montagnes, les vallées, les nuances des forêts et le climat unique de la région ont nourri son imagination artistique.

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L’artiste Arafat Al-Asimi affirme se sentir chez elle au cœur de la nature et des paysages traditionnels. (Fournie)

Elle explique se sentir profondément liée à la nature et aux dessins de paysages traditionnels, en particulier ceux inspirés de l’Asir, car ils traduisent son fort sentiment d’appartenance et lui procurent un équilibre et un confort psychologique.

Elle partage également sa passion pour l’intégration de la calligraphie arabe dans ses œuvres, soulignant combien cette pratique allie esthétique visuelle et identité culturelle.


Le programme Saudi Game Champions soutient les talents locaux pour une portée mondiale

Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
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  • Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux
  • L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme

RIYAD : Le Centre de l'entrepreneuriat numérique du ministère des communications et des technologies de l'information a conclu le programme Saudi Game Champions, une initiative de neuf mois visant à soutenir la croissance des studios de développement du pays.

Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux.

L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme.

Elle a offert plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux d'Arabie saoudite.

Lors de la cérémonie de clôture, Hussain Al-Safwan de LIMELESS Studio a remporté le prix du changement audacieux, tandis que Fahad Al-Jumaan de Hero Galaxy Studio a reçu le prix de l'inspiration.

Mostafa Fares a reçu le prix de la créativité et son collègue Ali Aseeri le prix du choix du public, tous deux représentant SYMMETRIC STUDIO.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre des efforts plus vastes déployés par le centre pour renforcer le rôle du Royaume dans l'industrie mondiale du jeu.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com