Le groupe égyptien Cairokee et Namira à Djeddah: le public en demande encore!

La soirée a débuté par une performance puissante de deux heures de Hamzah Namira qui possède des compétences exceptionnelles en guitare et en oud, aux côtés d’un groupe de musique composé de 10 membres. (Photo, AN par Abdullah Alfaleh)
La soirée a débuté par une performance puissante de deux heures de Hamzah Namira qui possède des compétences exceptionnelles en guitare et en oud, aux côtés d’un groupe de musique composé de 10 membres. (Photo, AN par Abdullah Alfaleh)
La soirée a débuté par une performance puissante de deux heures de Hamzah Namira qui possède des compétences exceptionnelles en guitare et en oud, aux côtés d’un groupe de musique composé de 10 membres. (Photo, AN par Abdullah Alfaleh)
La soirée a débuté par une performance puissante de deux heures de Hamzah Namira qui possède des compétences exceptionnelles en guitare et en oud, aux côtés d’un groupe de musique composé de 10 membres. (Photo, AN par Abdullah Alfaleh)
La soirée a débuté par une performance puissante de deux heures de Hamzah Namira qui possède des compétences exceptionnelles en guitare et en oud, aux côtés d’un groupe de musique composé de 10 membres. (Photo, AN par Abdullah Alfaleh)
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La soirée a débuté par une performance puissante de deux heures de Hamzah Namira qui possède des compétences exceptionnelles en guitare et en oud, aux côtés d’un groupe de musique composé de 10 membres. (Photo, AN par Abdullah Alfaleh)
La soirée a débuté par une performance puissante de deux heures de Hamzah Namira qui possède des compétences exceptionnelles en guitare et en oud, aux côtés d’un groupe de musique composé de 10 membres. (Photo, AN par Abdullah Alfaleh)
La soirée a débuté par une performance puissante de deux heures de Hamzah Namira qui possède des compétences exceptionnelles en guitare et en oud, aux côtés d’un groupe de musique composé de 10 membres. (Photo, AN par Abdullah Alfaleh)
La soirée a débuté par une performance puissante de deux heures de Hamzah Namira qui possède des compétences exceptionnelles en guitare et en oud, aux côtés d’un groupe de musique composé de 10 membres. (Photo, AN par Abdullah Alfaleh)
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Publié le Lundi 13 juin 2022

Le groupe égyptien Cairokee et Namira à Djeddah: le public en demande encore!

  • Le concert a été organisé par Benchmark, sous le patronage de l’Autorité générale pour le divertissement (GEA) dans le cadre de la saison Djeddah 2022
  • Les artistes avaient donné un concert similaire le 10 juin à Riyad sur la scène Abu Baker Salem, pour la première fois dans le Royaume

DJEDDAH: La scène de Benchmark Layalina à Djeddah a été illuminée par les rythmes irrésistibles du groupe de rock égyptien légendaire Cairokee et du chanteur Hamzah Namira le samedi ; il s’agit en effet de leur toute première performance dans la ville côtière.

Le concert a été organisé par Benchmark, sous le patronage de l’Autorité générale pour le divertissement (GEA) dans le cadre de la saison Djeddah 2022. 

Les artistes avaient donné un concert similaire le 10 juin à Riyad sur la scène Abu Baker Salem, pour la première fois dans le Royaume. 

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Lors d’une interview télévisée en direct, le PDG de Benchmark, Mohammed Hasanain, a déclaré que près de 12 000 billets avaient été immédiatement vendus dès leur mise en vente. 

La soirée a débuté par une performance puissante de deux heures de Namira, auteur-compositeur-interprète et multi-instrumentiste égyptien d’origine saoudienne, qui possède des compétences exceptionnelles en guitare et en oud. Un groupe de musique composé de 10 membres l’a accompagné.

«Peuple de Djeddah, comment allez-vous? Je suis tellement heureux d’être parmi vous aujourd’hui. Amusons-nous ! Chantons les chansons que vous désirez», déclare-t-il au public. 

La foule entière s’est déchainée lorsque le chanteur a entonné son hit de 2020 «Fadhi Showaya» ainsi que d’autres singles populaires comme «Ehlam Maya» et «Insaan».

Namira a redéfini les chansons folkloriques et la pop arabe en ajoutant une touche de guitare électrique à plusieurs de ses chansons arabes. Il a une énorme base de fans, non seulement en Arabie saoudite mais dans le monde entier. 

«Chaque chanson que nous a proposée Namira aujourd’hui est une œuvre d’art. Chaque chanson se distingue des autres. Je suis abasourdi», raconte Abdullah Shaheen, un ingénieur de 31 ans originaire d’Umluj à Arab News

Tout au long du concert, Namira a chanté des chansons inspirées des traditions et des dialectes arabes, notamment l’égyptien, le palestinien, le marocain et celui du Najran. 

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Muzna Daftar Dar agée de 22 ans est une fan de Namira et de Cairokee. Elle est vénue de Médine afin d’assister au concert. Selon elle, il s’agissait du «jour le plus doux de sa vie».

«J’admire Hamzah Namira. Mes sœurs et moi avons obtenu nos billets dans la toute première heure après l’annonce du concert». Elle a jouté : «S’il vous plait, apportez-nous plus de concerts de Namira».

Le chanteur a remercié Benchmark et le président de GEA, Turki al-Sheikh, de l’avoir invité à jouer dans le Royaume.

Des chants enthousiastes de «Cairokee, cairokee, cairokee» ont rempli l’air alors que le public attendait impatiemment le groupe de rock indie.

Cairokee, composé de cinq membres, a débuté sa carrière musicale en 2003. Le groupe est célèbre pour sa musique alternative. 

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Chaque membre a un rôle très important dans le groupe ; Amir Eid chante et joue de la guitare rythmique, Tamer Hashem joue de la batterie, Sherif Hawary est le guitariste principal, Adam el-Alfy le bassiste et Sherif Mostafa est au clavier. 

Le public a crié: «nous vous aimons» et Eid leur a répondu: «Je vous aime aussi». 

Inspiré par leur amour pour leur pays, le nom du groupe est un amalgame de Cairo (Caire en anglais) et du mot karaoké. 

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Leurs chansons mettent en relief la vie et les problèmes communs qui sont importants pour leur communauté et pour le monde arabe en général. Cela les a aidés à attirer un énorme public à travers la région. 

Sami Alharbi, un jeune de 28 ans originaire de Djeddah a déclaré : «Je suis fan de ce groupe depuis mes années universitaires. J’ai assisté à de nombreux concerts en Égypte».

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Le concert du groupe de rock égyptien Cairokee a eu lieu samedi à Djeddah. Il a été organisé par Benchmark, sous le patronage de l’Autorité générale pour le divertissement (GEA) dans le cadre de la saison Djeddah 2022. (Photo, AN par Abdullah Alfaleh) 

Selon Cairokee.com, le premier grand hit du groupe a été «Sout el-Horeya», comptant des millions de vues sur YouTube et détenant un record mondial comme l’une des vidéos les plus regardées durant la période la plus courte en 2011. 

Les artistes auraient dû participer au premier festival Waslah du Royaume qui accueille des légendes de la musique arabe en mars de cette année. Cependant, l’événement a été reporté en raison du mauvais temps. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L’équipe australienne d’ABC dénonce une couverture biaisée du conflit en faveur d’Israël

Selon certaines informations, des tensions persisteraient au sein d’ABC quant au conflit à Gaza, bien des mois après la première réunion du personnel. (AFP)
Selon certaines informations, des tensions persisteraient au sein d’ABC quant au conflit à Gaza, bien des mois après la première réunion du personnel. (AFP)
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  • Le personnel mentionne «une dépendance excessive aux sources israéliennes et une méfiance flagrante à l’égard des sources palestiniennes»
  • Il dénonce par ailleurs un langage qui «favorise le récit israélien par rapport au journalisme objectif»

LONDRES: Le personnel d’Australian Broadcasting Corporation (ABC) se montre inquiet face à ce qu'il considère comme une couverture biaisée du conflit à Gaza en faveur d’Israël

Dans un document obtenu par Al-Jazeera grâce à une demande d’accès à l’information, le personnel mentionne «une dépendance excessive aux sources israéliennes et une méfiance flagrante à l’égard des sources palestiniennes», ainsi qu’un langage qui «favorise le récit israélien par rapport au journalisme objectif».  

Le résumé de trois pages détaille une réunion de novembre dernier durant laquelle 200 membres du personnel ont exprimé leurs inquiétudes concernant la couverture médiatique du diffuseur. 

«Nous craignons que le langage que nous utilisons dans notre couverture soit biaisé, privilégiant le récit israélien au détriment du journalisme objectif», peut-on lire sur le document. 

«C’est mis en évidence par notre réticence à utiliser des mots tels que “crimes de guerre, génocide, nettoyage ethnique, apartheid et occupation” pour décrire divers aspects des pratiques israéliennes à Gaza et en Cisjordanie, même lorsque ces termes ont été utilisés par des organisations et sources respectables.» 

Même si ABC a reconnu ne pas pouvoir porter d’accusations pour génocide ou crimes de guerre, le personnel fait valoir que la chaîne «devrait être plus proactive dans sa couverture afin de remettre en contexte le conflit», insistant sur le fait que l’agression israélienne dans la région n’est pas décrite avec les «bons mots». 

En réponse à ces accusations, un porte-parole d’ABC déclare: «Tous les événements majeurs font l’objet de discussions internes approfondies. Nous écoutons et respectons les commentaires du personnel.» 

Le porte-parole s’est refusé à tout autre commentaire sur les questions internes, mais il affirme que le bureau du médiateur d’ABC a examiné la couverture du conflit à Gaza et l’a trouvée «professionnelle, de grande envergure et reflétant des événements dignes d’intérêt». 

Ces dernières nouvelles font suite à de précédentes controverses au sein d’ABC, notamment le licenciement prétendument illégal de la journaliste libano-australienne Antoinette Lattouf après qu’elle a partagé sur les réseaux sociaux un rapport de Human Rights Watch alléguant qu’Israël utilisait la famine comme arme de guerre à Gaza. 

Le personnel a menacé d’organiser une grève à moins que la direction de l’organisation ne réponde à ses préoccupations concernant une ingérence extérieure. 

Selon certaines informations, des tensions persisteraient au sein d’ABC quant au conflit à Gaza, bien des mois après la première réunion du personnel. 

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


Abullatef Alrashoudi, le boulanger saoudien qui fait sensation à Paris

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  • Aujourd’hui âgé de 34 ans, Abullatef Alrashoudi gère son propre café dans l’un des quartiers les plus branchés de Paris
  • Abullatef Alrashoudi est déjà connu dans le quartier comme «le chef saoudien» et ses clients lui demandent toujours des nouvelles de son pays natal

LONDRES: Cinq ans après le début de sa carrière médicale, le chirurgien saoudien Abullatef Alrashoudi s’est séparé définitivement de son stéthoscope. 

Le jour de son 30e anniversaire, il reçoit une offre du Cordon Bleu, la prestigieuse école culinaire parisienne qui a formé des sommités – de la chef américaine Julia Child à Mary Berry, l’une des premières juges de «The Great British Bake Off». 

Aujourd’hui âgé de 34 ans, M. Alrashoudi, qui gère son propre café dans l’un des quartiers les plus branchés de Paris, considère ce courriel comme un tournant dans sa vie. 

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(Photo fournie) 

«C’était le plus grand des cadeaux», déclare-t-il. «La pâtisserie a toujours été mon rêve et la médecine me montrait que ce n’était pas la bonne voie.» 

Après ce changement, qui, selon lui, a énormément surpris ses collègues à l’hôpital, la carrière d’Abullatef Alrashoudi a connu un essor remarquable. Neuf mois exténuants à étudier les techniques de la pâte à pain et de la boulangerie qui lui ont permis de travailler dans les plus grands restaurants parisiens – et finalement d’ouvrir son propre café. 

LÂM – qui combine le surnom d’Abullatef Alrashoudi, «Latif», et «âme» – est ouvert depuis un peu plus de six mois, mais il accueille déjà un flux constant d’habitués. 

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(Photo fournie) 

Cet espace aéré et minéral à la façade verte se trouve en face d’une boutique de Bubble Tea et d’une galerie d’art dans un quartier «branché et en plein essor», juste à côté de la place de la République, dans la capitale française. 

Dans la vitrine, une machine italienne La Marzocco fabriquée à la main, dans le même vert vibrant que le drapeau saoudien, produit du café onctueux de la marque parisienne haut de gamme Coutume

Ces préparations aromatiques sont accompagnées de viennoiseries fines qui combinent les techniques françaises traditionnelles avec des saveurs alléchantes du Moyen-Orient: la richesse du tahini, le goût sucré des pistaches croustillantes et le parfum de la rose. 

Abullatef Alrashoudi est originaire de la province riche en dattes d’Al-Qassim, mais il a grandi dans le nord de Riyad. Il explique qu’à la place du roulé à la cannelle, sa boutique en sert une version au citron noir inspirée du dessert saoudien klēja, à base de pâte briochée moelleuse, de miel et de biscuits. 

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(Photo fournie) 

D’autres options novatrices incluent des petits pains au zaatar et à la feta, des pâtisseries mélangeant chocolat et cardamome, ainsi qu’un biscuit au tahini, pour lequel il utilise la technique française classique du beurre fondu pour ajouter «une saveur plus profonde». 

Depuis son ouverture en septembre, LÂM est rapidement devenu un lieu prisé. Alors que la plupart des clients sont «des habitants du quartier», M. Alrashoudi, qui parle couramment le français, espère que les mois à venir attireront davantage de visiteurs originaires du Golfe, en particulier à l’approche des jeux Olympiques, qui se tiendront dans la ville cet été. 

Mais avant que des millions de visiteurs du monde entier ne se rendent à Paris pour un mois d’épreuves sportives, Abullatef Alrashoudi se concentre sur le ramadan, avec des heures de jeûne dans la capitale française allant de 5 h 30 à 19 h cette année. 

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(Photo fournie) 

Pour marquer le mois sacré, il sert des dattes saoudiennes avec chaque café et il prévoit de perpétuer cette habitude après la fin du ramadan parce que les clients «apprécient vraiment cela». 

Impossible d’ôter à un Saoudien sa générosité. Conformément aux principes de la hafawa («hospitalité»), M. Alrashoudi réserve chaque soir une tasse de café à son voisin tunisien, un restaurateur qui fait le ramadan. 

Abullatef Alrashoudi est déjà connu dans le quartier comme «le chef saoudien» et ses clients lui demandent toujours des nouvelles de son pays natal – en particulier sur la transformation culturelle que connaît le Royaume ces dernières années dans le cadre de l’initiative Vision 2030 du prince héritier, Mohammed ben Salmane. 

Le jeune boulanger attribue une grande partie de son succès à ces changements. C’est la fondation Misk du prince héritier qui lui a accordé une bourse pour étudier au Cordon Bleu avec un groupe d’autres jeunes Saoudiens, qui depuis dirigent des restaurants dans le Royaume et au-delà. 

«Quand j'étais jeune, nombre de gens ne connaissaient pas l’Arabie saoudite, mais ces dernières années, cela a changé», explique M. Alrashoudi, qui reconnaît que LÂM est l’un des rares lieux culinaires du Golfe à travers le monde à avoir une incidence positive sur la perception que les gens ont de la région. 

Mais malgré la représentation croissante de la culture du Golfe sur la scène mondiale, pour la plupart des gens, la cuisine arabe évoque encore principalement des images de plats levantins comme le chawarma, le houmous et le falafel. 

Cela se reflète dans le paysage culinaire des grandes villes. Les statistiques de TripAdvisor révèlent que Londres et New York ne comptent, à elles deux, qu’un seul restaurant saoudien, bien qu’elles abritent des centaines de restaurants libanais et égyptiens. 

Abullatef Alrashoudi estime qu’il est temps de changer la donne, en particulier à une époque où les convives souhaitent de plus en plus élargir leurs horizons. 

«Le gouvernement déploie des efforts considérables pour inciter les gens à visiter l’Arabie saoudite et pour exporter notre culture», souligne-t-il. «C’est mon pays natal et je l’adore. Il est nécessaire que le reste du monde se familiarise avec notre culture.» 

 

Muffins à l’orange et au safran d’Abullatef Alrashoudi 

Ingrédients: 

200 g de sucre; zeste de 2 oranges; 2 œufs moyens; 105 ml d’huile d’olive; 2 cuillères à café d’essence de vanille; 300 g de farine tout usage; 1/2 cuillère à café de bicarbonate de soude; une généreuse pincée de sel; 60 g de farine d’amande; 120 g de babeurre; 120 ml de jus d’orange; 20 g de sucre; une pincée de safran 

Instructions: 

1. Mélangez 200 g de sucre avec le zeste d’orange jusqu'à ce que le mélange soit parfumé et que le sucre soit légèrement humide – cela aide à libérer les huiles du zeste, apportant une touche de saveur d’orange. 

2. Cassez les œufs dans le mélange sucre-zeste. Fouettez énergiquement jusqu’à ce que le tout soit bien mélangé. Ajoutez ensuite l’huile d’olive en fouettant. Il faut que le tout soit émulsifié, donnant à vos muffins une belle texture légère. Ajoutez ensuite l’essence de vanille. 

3. Dans un autre bol, fouettez ensemble la farine tout usage, le bicarbonate de soude, le sel et la farine d’amande. 

4. Creusez un puits au centre de vos ingrédients secs. Versez le mélange d’œufs, d’huile et de zeste. Mélangez le tout. 

5. Ajoutez le jus d’orange et le babeurre. Le mélange devrait maintenant être doré. Dans un autre bol, mélangez 20 g de sucre avec le safran pour saupoudrer les muffins. 

6. Versez la pâte dans des moules à muffins. Saupoudrez avec le mélange safran-sucre. Cuire au four préchauffé à 200°C pendant dix à quinze minutes, ou jusqu’à ce que les muffins soient dorés et qu’un cure-dents en ressorte propre. 

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


Versace et Carolina Herrera collaborent avec Jessica Kahawaty pour les campagnes du ramadan

Jessica Kahawaty pose dans une robe longue à manches évasées signée Versace. (Instagram)
Jessica Kahawaty pose dans une robe longue à manches évasées signée Versace. (Instagram)
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  • Jessica Kahawaty a travaillé avec des marques de luxe comme Tod’s, Prada, Boucheron, Chloé, Gucci et bien d’autres
  • Elle a également été sollicitée par Boss pour une nouvelle campagne ce mois-ci

DUBAÏ: Le mannequin australo-libanais Jessica Kahawaty a diffusé, sur les réseaux sociaux, des images de sa collaboration avec la marque de luxe italienne Versace pour le mois du ramadan, quelques jours après que l’influenceuse a participé à une campagne pour le ramadan avec la marque new-yorkaise Carolina Herrera. 

Mannequin et restauratrice – elle a fondé le restaurant Mama Rita à Dubaï aux côtés de sa mère – Jessica Kahawaty a diffusé une série d’images faisant la promotion de l’édition du ramadan de Versace auprès de ses 1,5 million d’abonnés sur Instagram. Elle apparaît dans une robe longue de couleur rose. Elle se distingue par des manches évasées et un décolleté orné de perles et de cristaux roses, blancs et argentés très élaborés. Pour compléter le look, Jessica Kahawaty porte un minisac à main orné de rose assorti, tandis que sa coiffure rappelle le style des années 1990. 

 

«Ramadan avec Versace», a-t-elle écrit, en publiant des images de son look en plan rapproché. 

Ce n’est pas la première fois que le mannequin travaille avec Versace. L’année dernière, elle s’est associée à la marque à l’occasion d’une campagne pour l’Aïd al-Fitr. 

«Je suis enfin une “Versace girl”», écrivait-elle à l’époque. «Cela fait des années que j’ai envie de travailler avec Versace.» 

«C’est une marque qui me rappelle l’enfant que j’étais dans les années 1990. C’est une marque qui n’a jamais cédé aux modes ou aux tendances, une marque qui est restée fidèle à sa philosophie italienne de famille, de convivialité, d’héritage et d’authenticité», avait-elle ajouté. 

Inaugurée au début du ramadan, la campagne de Carolina Herrera met en vedette Jessica Kahawaty. Elle y présente une sélection de vêtements sobres de la marque, combinant motifs caractéristiques et couleurs vives. Sur les photographies, elle porte plusieurs tenues, notamment des combinaisons et des robes longues. 

Jessica Kahawaty a travaillé avec des marques de luxe comme Tod’s, Prada, Boucheron, Chloé, Gucci et bien d’autres. 

Elle a également été sollicitée par Boss pour une nouvelle campagne ce mois-ci. Dans les images de type Polaroid qu’elle a publiées sur Instagram, Jessica Kahawaty porte un blouson aviateur marron associé à une chemise blanche. Ce look est complété par un sac noir orné d’une grosse boucle et d’une chaîne en or. 

Boss a publié des images similaires avec d’autres vedettes, notamment la superstar américaine Demi Lovato, le mannequin britannique Jourdan Dunn, la star de Bollywood Sonam Kapoor, le chanteur et compositeur colombien Maluma, l’acteur sud-coréen Jeon Changha et le pilote automobile belgo-canadien Lance Stroll. 

La campagne numérique, qui a commencé en janvier 2023, mettait initialement en vedette le producteur palestino-américain DJ Khaled; le mannequin américain d’origine néerlando-palestinienne, Gigi Hadid; la nageuse olympique syrienne, Yusra Mardini; l’influenceuse et entrepreneuse libanaise, Karen Wazen; l’animateur émirati, Anas Bukhash, et la para-athlète irakienne, Zainab al-Eqabi. 

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com