Comment succéder à Diana? Kate, nouvelle princesse de Galles

Kate, 40 ans, et roturière avant de connaître William, sera-t-elle à la hauteur de sa défunte belle-mère ? (Photo, AFP).
Kate, 40 ans, et roturière avant de connaître William, sera-t-elle à la hauteur de sa défunte belle-mère ? (Photo, AFP).
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Publié le Mercredi 14 septembre 2022

Comment succéder à Diana? Kate, nouvelle princesse de Galles

  • L'accession au trône de Charles III après la mort d'Elizabeth II jeudi, et ses 70 ans de règne, s'est accompagnée d'une autre ascension
  • William, désormais héritier du trône, est devenu prince de Galles et son épouse Kate, adorée des Britanniques et admirée des tabloïds, princesse de Galles, la première depuis la mort de Diana en 1997

LONDRES: "On se souviendra toujours de Diana, mais je suis sûre qu'elle reprendra le flambeau". Pour Keith Lowing, nul doute que Kate, première princesse de Galles nommée depuis Lady Di, sera à la hauteur de sa si populaire belle-mère, décédée il y a 25 ans.

En cette matinée maussade, Keith et sa femme Kathleen se reposent sur un banc des jardins du palais de Kensington, l'ancienne résidence où vivaient Diana et le désormais roi Charles III... et là où ont grandi leurs deux fils William et Harry.

L'accession au trône de Charles III après la mort d'Elizabeth II jeudi, et ses 70 ans de règne, s'est accompagnée d'une autre ascension: William, désormais héritier du trône, est devenu prince de Galles et son épouse Kate, adorée des Britanniques et admirée des tabloïds, princesse de Galles, la première depuis la mort de Diana en 1997.

Cette dernière était vénérée. Le public se souvient des révélations, lors d'une interview explosive à la BBC en 1995, sur les infidélités de Charles avec l'actuelle reine consort Camilla, sur ses propres aventures et sur ses doutes sur la capacité à régner de l'actuel monarque.

Sa mort tragique dans un accident de voiture à Paris l'a porté au rang d'icône, tandis que la réticence initiale d'Elizabeth II à interrompre ses vacances à Balmoral a porté un coup à la monarchie.

Non loin du mémorial érigé en l'honneur de Diana en 2021, Rebecca Brunswig, une Américaine de 74 ans évoque ses "nombreuses visites humanitaires", son engagement envers "les malades du sida" et "sa compassion incroyable envers les plus malheureux".

Le titre de princesse de Galles est octroyé à l'épouse de l'héritier de la couronne britannique et consiste principalement à se consacrer à des causes sociales.

Son propre chemin

Kate, 40 ans, et roturière avant de connaître William, sera-t-elle à la hauteur de sa défunte belle-mère ?

Elle "apprécie l'histoire qui vient avec la fonction" de la princesse de Galles, mais elle tracera "son propre chemin", indiquait vendredi une source au palais de Buckingham.

"C'est une princesse incroyable et je suis impatiente de la voir à l'œuvre comme reine. Je trouve qu'elle est très élégante, belle, et qu'elle représente très bien la monarchie depuis le début", affirme Selma White, une avocate de 40 ans: "J'aime Diana, mais j'aime aussi Kate".

Dès l'arrivée de Kate Middleton dans la famille royale au moment de son mariage avec William en 2011, ont fusé les critiques sur son ignorance des bonnes manières. Mais très vite, elle s'est convertie en un modèle de bienséance, montrant son aplomb et son habileté à diffuser l'image d'une famille parfaite.

Kate s'est engagée sur la petite enfance avec une fondation, espérant imprimer sa propre marque dans les causes sociales de la Couronne.

Sa popularité était déjà assise quand sa belle-sœur, l'ancienne actrice américaine Meghan Markle, l'a accusée de l'avoir fait pleurer. Ces révélations, au cours d'une interview explosive avec Oprah Winfrey en 2021, avaient mis de la distance entre les deux fils de Diana.

Bouée de sauvetage

Les observateurs estiment que Kate, membre le plus populaire de la famille royale avec 68% d'approbation juste après la reine Elizabeth II (75%), selon un sondage YouGov publié au printemps, pourrait être une "bouée de sauvetage" pour la popularité de la famille royale avec Charles et Camilla, moins populaires, aux manettes.

"L'attention est fixée sur William et Kate", juge sur la chaîne Channel 4 Ed Owens, historien de la famille royale, selon qui Charles a besoin de son fils dans une monarchie sans Elizabeth II.

Robert Hazell, expert constitutionnel à l'University College London, indique à l'AFP que Kate pourrait devenir en privé une conseillère de son époux, et aider en public à maintenir la popularité de la Couronne "auprès des plus jeunes", plus critiques que leurs aînés sur l'institution.


« I like it hot ! » : J. Lo fait sensation à Abou Dhabi

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  • Jennifer Lopez, 56 ans, prouve qu’elle reste l’une des artistes les plus enflammées au monde

ABOU DHABI: De retour à Abou Dhabi après son spectacle magistral en février, Jennifer Lopez a dansé toute la soirée mardi à l’Etihad Arena sur l’île de Yas dans le cadre de sa tournée mondiale « Up All Night ».

En interprétant ses tubes cultes comme « On the Floor », « Ain’t Your Mama » et « Dance Again », Lopez a fait monter la température avec son énergie débordante et ses chorégraphies percutantes.

Même si j’ai regretté que « Jenny From the Block » n’ait pas bénéficié d’un moment à elle, Lopez l’a tout de même interprétée en medley avec « We Will Rock You » de Queen.

Pour célébrer ses 56 ans, elle a chanté « Birthday », le single sorti le 24 juillet, très applaudi par le public.

La superstar a remercié ses fans et les a encouragés à s’aimer les uns les autres et à suivre ce qu’ils aiment.

Elle a également plaisanté sur la chaleur intense des Émirats. « I like it hot ! », a-t-elle lancé en se ventilant.

Avec plusieurs changements de tenues et des plages musicales bien calibrées, le show a alterné entre titres dynamiques, ballades lentes et medleys.

Lopez a rendu hommage à sa culture latino en interprétant quelques-uns de ses succès en espagnol, notamment « Qué Hiciste » et « Si Una Vez ».

Elle a chanté en dansant le flamenco, vêtue d’une tenue inspirée du traje de flamenca, la robe traditionnelle des femmes aux festivals andalous.

L’artiste n’est pas étrangère au Golfe : elle avait déjà fait sensation en avril lors du Grand Prix d’Arabie saoudite de F1 à Djeddah, puis en novembre dernier à Riyad pour l’événement « 1001 Seasons of Elie Saab ».

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L’artiste saoudienne met en lumière le riche paysage culturel de l’Asir à travers ses œuvres

L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
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  • Arafat Al-Asimi a surmonté de nombreux défis pour s’imposer comme artiste en tant que femme

MAKKAH : Les montagnes verdoyantes de la région d’Asir en Arabie saoudite ont nourri la vision artistique d’Arafat Al-Asimi.

En évoquant ses débuts, Al-Asimi confie qu’elle aime utiliser des couleurs pastel pour représenter des paysages naturels et patrimoniaux. Les montagnes, les vallées, les nuances des forêts et le climat unique de la région ont nourri son imagination artistique.

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L’artiste Arafat Al-Asimi affirme se sentir chez elle au cœur de la nature et des paysages traditionnels. (Fournie)

Elle explique se sentir profondément liée à la nature et aux dessins de paysages traditionnels, en particulier ceux inspirés de l’Asir, car ils traduisent son fort sentiment d’appartenance et lui procurent un équilibre et un confort psychologique.

Elle partage également sa passion pour l’intégration de la calligraphie arabe dans ses œuvres, soulignant combien cette pratique allie esthétique visuelle et identité culturelle.


Le programme Saudi Game Champions soutient les talents locaux pour une portée mondiale

Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
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  • Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux
  • L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme

RIYAD : Le Centre de l'entrepreneuriat numérique du ministère des communications et des technologies de l'information a conclu le programme Saudi Game Champions, une initiative de neuf mois visant à soutenir la croissance des studios de développement du pays.

Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux.

L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme.

Elle a offert plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux d'Arabie saoudite.

Lors de la cérémonie de clôture, Hussain Al-Safwan de LIMELESS Studio a remporté le prix du changement audacieux, tandis que Fahad Al-Jumaan de Hero Galaxy Studio a reçu le prix de l'inspiration.

Mostafa Fares a reçu le prix de la créativité et son collègue Ali Aseeri le prix du choix du public, tous deux représentant SYMMETRIC STUDIO.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre des efforts plus vastes déployés par le centre pour renforcer le rôle du Royaume dans l'industrie mondiale du jeu.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com