La mégastar de la pop Harry Styles s'installe sur grand écran avec «Don't Worry Darling»

Cette photo d'archives prise le 5 septembre 2022 montre le chanteur et acteur britannique Harry Styles (à gauche), l'actrice britannique Gemma Chan (2e à gauche), l'acteur américain Chris Pine (2e à droite) et la réalisatrice et actrice américaine Olivia Wilde posant lors d'un photocall pour le film "Don't Worry darling" présenté hors compétition dans le cadre du 79e Festival international du film de Venise au Lido di Venezia à Venise, le 5 septembre 2022. (Photo par Tiziana FABI / AFP)
Cette photo d'archives prise le 5 septembre 2022 montre le chanteur et acteur britannique Harry Styles (à gauche), l'actrice britannique Gemma Chan (2e à gauche), l'acteur américain Chris Pine (2e à droite) et la réalisatrice et actrice américaine Olivia Wilde posant lors d'un photocall pour le film "Don't Worry darling" présenté hors compétition dans le cadre du 79e Festival international du film de Venise au Lido di Venezia à Venise, le 5 septembre 2022. (Photo par Tiziana FABI / AFP)
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Publié le Vendredi 16 septembre 2022

La mégastar de la pop Harry Styles s'installe sur grand écran avec «Don't Worry Darling»

  • Ce deuxième long-métrage de la réalisatrice Olivia Wilde, dont Styles est le compagnon, était l'un des films-événement de la Mostra début septembre
  • En échange du bien-être matériel qu’elle leur fournit, la ville de Victory n'a qu'une seule règle: ses habitants ne doivent jamais sortir des limites de son territoire

PARIS: Thriller dystopique dans l'Amérique des années 1950, «Don't Worry Darling» arrive mercredi dans les salles françaises, avec la mégastar de la pop Harry Styles à l'écran et précédé de rumeurs et polémiques ayant émaillé la production.

Ce deuxième long-métrage de la réalisatrice Olivia Wilde, dont Styles est le compagnon, était l'un des films-événement de la Mostra début septembre.

Présenté hors compétition, «Don't Worry Darling» est une sorte de «Truman Show», remis au goût du jour et influencé par le cinéma de M. Night Shyamalan ou «Black Mirror», série cauchemardesque sur le futur et la technologie.

Florence Pugh («Les filles du Dr March», «Black widow») y incarne Alice, une jeune femme bien sous tous rapports vivant à Victory, une petite ville modèle construite en plein désert par un mystérieux homme d'affaires, joué par Chris Pine.

Comme toutes ses voisines, Alice a une vie réglée comme du papier à musique, et, a priori, tout pour être heureuse aux côtés de Jack (Harry Styles), son compagnon, qui part chaque matin pour un travail dont elle ignore tout.

- Beau et sinistre -

En échange de ce bien-être matériel, Victory n'a qu'une seule règle: ses habitants ne doivent jamais sortir des limites de la ville. Un tabou qu'Alice ne va pas tarder à briser, à ses risques et périls...

«Tout est une métaphore, le paradoxe de Victory c'est que tout ce qui est beau, est aussi sinistre», avait expliqué Olivia Wilde lors du festival de Venise.

Ce divertissement «est comme un cheval de Troie» qui doit faire réfléchir les spectateurs, avait ajouté la réalisatrice, qui a voulu aborder la question du pouvoir et de son abus, des relations de domination des hommes sur les femmes ou encore des conséquences du confort matériel des uns sur la vie des autres...

Son acteur et compagnon Harry Styles n'est pas totalement novice au cinéma, et avait notamment tenu l'un des rôles de soldat dans «Dunkerque» de Christopher Nolan (2017).

Mais celui qui aura prochainement le premier rôle dans «My Policeman», sur Amazon Prime Video, entend certainement gravir un échelon avec ce nouveau film. «Je ne veux pas trop penser au futur», avait-il déclaré, interrogé sur la possibilité de combiner musique et cinéma.

«Faire de la musique c'est très personnel», tandis qu'au contraire, au cinéma «on fait semblant de jouer quelqu'un d'autre, et c'est ce qui est amusant», a-t-il poursuivi.

Florence Pugh, elle, n'avait pas pris part à la conférence de presse du film, dont la production a été entourée de nombreuses rumeurs et polémiques: le premier rôle masculin avait notamment été attribué à Shia Labeouf avant d'échoir à Harry Styles.

«En ce qui concerne les potins sans fin des tabloïds et tout le bruit qui nous entoure, internet se nourrit tout seul», avait auparavant évacué la réalisatrice. «Je n'ai pas besoin d'y contribuer».


« I like it hot ! » : J. Lo fait sensation à Abou Dhabi

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  • Jennifer Lopez, 56 ans, prouve qu’elle reste l’une des artistes les plus enflammées au monde

ABOU DHABI: De retour à Abou Dhabi après son spectacle magistral en février, Jennifer Lopez a dansé toute la soirée mardi à l’Etihad Arena sur l’île de Yas dans le cadre de sa tournée mondiale « Up All Night ».

En interprétant ses tubes cultes comme « On the Floor », « Ain’t Your Mama » et « Dance Again », Lopez a fait monter la température avec son énergie débordante et ses chorégraphies percutantes.

Même si j’ai regretté que « Jenny From the Block » n’ait pas bénéficié d’un moment à elle, Lopez l’a tout de même interprétée en medley avec « We Will Rock You » de Queen.

Pour célébrer ses 56 ans, elle a chanté « Birthday », le single sorti le 24 juillet, très applaudi par le public.

La superstar a remercié ses fans et les a encouragés à s’aimer les uns les autres et à suivre ce qu’ils aiment.

Elle a également plaisanté sur la chaleur intense des Émirats. « I like it hot ! », a-t-elle lancé en se ventilant.

Avec plusieurs changements de tenues et des plages musicales bien calibrées, le show a alterné entre titres dynamiques, ballades lentes et medleys.

Lopez a rendu hommage à sa culture latino en interprétant quelques-uns de ses succès en espagnol, notamment « Qué Hiciste » et « Si Una Vez ».

Elle a chanté en dansant le flamenco, vêtue d’une tenue inspirée du traje de flamenca, la robe traditionnelle des femmes aux festivals andalous.

L’artiste n’est pas étrangère au Golfe : elle avait déjà fait sensation en avril lors du Grand Prix d’Arabie saoudite de F1 à Djeddah, puis en novembre dernier à Riyad pour l’événement « 1001 Seasons of Elie Saab ».

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L’artiste saoudienne met en lumière le riche paysage culturel de l’Asir à travers ses œuvres

L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
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  • Arafat Al-Asimi a surmonté de nombreux défis pour s’imposer comme artiste en tant que femme

MAKKAH : Les montagnes verdoyantes de la région d’Asir en Arabie saoudite ont nourri la vision artistique d’Arafat Al-Asimi.

En évoquant ses débuts, Al-Asimi confie qu’elle aime utiliser des couleurs pastel pour représenter des paysages naturels et patrimoniaux. Les montagnes, les vallées, les nuances des forêts et le climat unique de la région ont nourri son imagination artistique.

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L’artiste Arafat Al-Asimi affirme se sentir chez elle au cœur de la nature et des paysages traditionnels. (Fournie)

Elle explique se sentir profondément liée à la nature et aux dessins de paysages traditionnels, en particulier ceux inspirés de l’Asir, car ils traduisent son fort sentiment d’appartenance et lui procurent un équilibre et un confort psychologique.

Elle partage également sa passion pour l’intégration de la calligraphie arabe dans ses œuvres, soulignant combien cette pratique allie esthétique visuelle et identité culturelle.


Le programme Saudi Game Champions soutient les talents locaux pour une portée mondiale

Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
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  • Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux
  • L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme

RIYAD : Le Centre de l'entrepreneuriat numérique du ministère des communications et des technologies de l'information a conclu le programme Saudi Game Champions, une initiative de neuf mois visant à soutenir la croissance des studios de développement du pays.

Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux.

L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme.

Elle a offert plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux d'Arabie saoudite.

Lors de la cérémonie de clôture, Hussain Al-Safwan de LIMELESS Studio a remporté le prix du changement audacieux, tandis que Fahad Al-Jumaan de Hero Galaxy Studio a reçu le prix de l'inspiration.

Mostafa Fares a reçu le prix de la créativité et son collègue Ali Aseeri le prix du choix du public, tous deux représentant SYMMETRIC STUDIO.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre des efforts plus vastes déployés par le centre pour renforcer le rôle du Royaume dans l'industrie mondiale du jeu.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com