Le Fonds de la mer Rouge d’Arabie saoudite révèle les 36 bénéficiaires de subventions

Photo de groupe de la cérémonie de clôture du deuxième tour du Festival du film de la mer Rouge, qui s’est tenu en décembre 2022 à Djeddah. (Photo fournie)
Photo de groupe de la cérémonie de clôture du deuxième tour du Festival du film de la mer Rouge, qui s’est tenu en décembre 2022 à Djeddah. (Photo fournie)
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Publié le Lundi 23 janvier 2023

Le Fonds de la mer Rouge d’Arabie saoudite révèle les 36 bénéficiaires de subventions

  • Deux des films sélectionnés avaient auparavant été soutenus au stade du développement par le Fonds de la mer Rouge: Capitaine Mbaye de Joel Karekezi et Aïcha de Mehdi Barsaoui
  • Le festival offre une plate-forme aux cinéastes arabes et aux professionnels de l’industrie du monde entier pour organiser des compétitions de longs et courts métrages

DJEDDAH: La Fondation du festival du film de la mer Rouge a récemment annoncé les bénéficiaires des cycles de financement de production et de postproduction 2022 du Fonds de la mer Rouge.
Trente-six films gagnants ont été sélectionnés dans différents pays, dont l’Arabie saoudite, et à travers le Moyen-Orient et l’Afrique.
Les cinéastes recevront des subventions qui les aideront à tourner des films mettant en lumière des récits importants et de nouveaux talents émergents de la région seront reconnus.

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Le Fonds de la mer Rouge a révélé les trente-six bénéficiaires des subventions de production et de postproduction. (Photo fournie)

Le cycle de production 2022 du Fonds de la mer Rouge a reçu un très grand nombre de candidatures. Cent cinquante d’entre elles ont été examinées par une équipe de lecteurs professionnels. Ces derniers ont sélectionné une liste restreinte de cinquante-trois films avant d’en retenir vingt-cinq pour le fonds final. Il s’agit de longs métrages de fiction, de documentaires, des films d’animation, de séries, de courts métrages et de films immersifs.
Deux des films sélectionnés avaient auparavant été soutenus au stade du développement par le Fonds de la mer Rouge: Capitaine Mbaye de Joël Karekezi et Aïcha de Mehdi Barsaoui.

 

EN BREF

Deux des films sélectionnés avaient auparavant été soutenus au stade du développement par le Fonds de la mer Rouge: Capitaine Mbaye de Joël Karekezi, et Aïcha de Mehdi Barsaoui.
Le film Yunan a également été sélectionné pour recevoir un financement. Son réalisateur, Ameer Fakher Eldin, a participé au marché des projets du Festival du film de la mer Rouge, conçu pour mettre en relation les producteurs de nouveaux projets cinématographiques avec des bailleurs de fonds internationaux du secteur.

 

Le film Yunan a également été sélectionné pour recevoir un financement. Son réalisateur, Ameer Fakher Eldin, a participé au marché des projets du Festival du film de la mer Rouge, conçu pour mettre en relation les producteurs de nouveaux projets cinématographiques avec des bailleurs de fonds internationaux du secteur.

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Le Fonds de la mer Rouge a révélé les trente-six bénéficiaires des subventions de production et de postproduction. (Photo fournie)

Des cinéastes acclamés par la critique, comme la Saoudienne Haifaa al-Mansour, avec son film d’animation Miss Camel, Annemarie Jacir, Kaouther ben Hania et Cherien Dabis ont reçu ces fonds indispensables pour porter à l’écran leurs nouveaux récits.
Cette initiative soutient la mission du Festival du film de la mer Rouge qui consiste à défendre les réalisatrices qui ouvrent la voie et inspirent une nouvelle génération de créateurs, à l’image de la cinéaste saoudienne Sara Mesfer, dont le premier long métrage a également reçu un financement.
Mohammed al-Turki, PDG de la Fondation du festival du film de la mer Rouge, confie: «Nous avons été impressionnés par la qualité des candidatures reçues cette année, ce qui a rendu difficile le fait de n’en retenir que vingt-cinq. Nous sommes convaincus que le Fonds de la mer Rouge soutiendra les gagnants tout au long du processus de création afin d’aider à faire connaître ces histoires importantes et présenter une multitude de talents saoudiens, arabes et africains passionnants, qu’ils soient nouveaux ou établis.»

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Le Fonds de la mer Rouge a révélé les trente-six bénéficiaires des subventions de production et de postproduction. (Photo fournie)

Tout au long du cycle de postproduction, vingt-huit projets ont été présélectionnés et onze ont reçu des subventions de postproduction, dont Norah, un film saoudien tourné à AlUla, réalisé par Tawfik Alzaidi et produit par Paul Miller, et Blacklight, un film réalisé par Karim Bensalah et produit par Oualid Baha, qui a remporté le prix Final Cut à la Mostra de Venise.
M. Al-Turki ajoute: «Les onze films sélectionnés révèlent des possibilités immenses. Ces histoires révolutionnaires susceptibles de stimuler l’imagination du public international sont celles qui bénéficieront le plus de ce dernier coup de pouce financier qui permettra à ces films d’atteindre leur plein potentiel.»
Shivani Pandya, directrice générale du Festival international du film de la mer Rouge, s’exprime en ces termes: «La qualité des propositions de films que nous recevons s’améliore de façon exponentielle d’année en année. C’est pour nous un privilège et un plaisir de pouvoir soutenir ces cinéastes d’Arabie saoudite, d’Afrique et de la région arabe en faisant connaître leur travail à un public plus large à travers les diverses initiatives soutenues par le festival.»
Le festival se tient chaque année à Djeddah. Il offre une plate-forme aux cinéastes arabes et aux professionnels de l’industrie du monde entier pour organiser des compétitions de longs et courts métrages. Il propose en outre une série d’événements et d’ateliers destinés à soutenir les talents émergents.
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Des artistes français présentent une expérience artistique envoûtante à Djeddah

Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
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  • «C’est un réel plaisir d’être ici, en particulier à Hayy Jameel, où nous mêlons l’art et la science pour créer une expérience sensorielle sans équivalent»
  • «Nous abordons les données non comme de simples codes, mais comme des sensations, ce qui nous permet de caractériser l’expérience et de la partager»

DJEDDAH: L’artiste Paul Marlier et la danseuse Jeanne Morel présentent une exposition d’art numérique interactive baptisée «ETH3R» au centre culturel de Djeddah, Hayy Jameel.

Les deux créateurs français exposent des œuvres immersives réalisées à partir des données biométriques de Jeanne Morel recueillies pendant qu’elle effectue des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur.

Ce mélange unique de technologie et de créativité a captivé le public en raison de la réflexion qu’il offre sur la réalité et du contraste saisissant qu’il présente avec la nature souvent banale de la vie quotidienne.

Dans une interview accordée à Arab News, Paul Marlier évoque le processus créatif qui est à l’origine de cette œuvre numérique. Il explique également comment ces productions sont inspirées par les données humaines et scientifiques qu’il a recueillies.

«C’est un réel plaisir d’être ici, en particulier à Hayy Jameel, où nous mêlons l’art et la science pour créer une expérience sensorielle sans équivalent», déclare-t-il. «Cette expérience représente l’ADN du monde, la danse de nos âmes.»

«ETH3R présente des tableaux, mais aussi des installations dynamiques qui sont dérivées des données biométriques de ma femme, Jeanne Morel, qui danse dans des environnements divers et extrêmes, des profondeurs de l’océan jusque dans les hautes altitudes où s’entraînent les astronautes», poursuit-il.

Paul Marlier a fusionné ces données scientifiques sur la physiologie humaine avec d’autres informations comme la qualité de l’air, l’imagerie satellite et même des faits relatifs à la mer Rouge. «Ces œuvres d’art sont des empreintes émotionnelles qui rappellent des moments de grâce. Il s’agit d’un véritable travail de collaboration.»

Expliquant le processus, il précise: «Jeanne, équipée de capteurs semblables à un pinceau, est le catalyseur. Ses émotions lorsqu’elle danse sont traduites grâce à des codes en art numérique tel qu’on peut le voir dans les peintures. Nous explorons les thèmes de la fragilité, de la spiritualité et de l’unité inhérente entre l’homme et la nature – la danse universelle.»

«Nous abordons les données non comme de simples codes, mais comme des sensations, ce qui nous permet de caractériser l’expérience et de la partager. En recueillant une multitude d’informations de cette danseuse singulière, nous nous efforçons de matérialiser l’essence de la grâce», souligne Paul Marlier.

«La danse est le moyen d’exprimer ses émotions les plus profondes, de manière parfois plus simple qu’avec des mots», explique pour sa part Jeanne Morel.

«C’est l’allégorie de la vie. Elle me permet de rester vivante, connectée aux mouvements du monde. Nos corps sont constamment en train de danser, de bouger, sur cette terre qui elle-même danse autour du soleil et reste en équilibre grâce à la gravité», ajoute la danseuse.

À propos de leur première visite dans le Royaume, Paul Marlier livre cette observation: «Les gens sont très accueillants ici. La spiritualité et la poésie sont très présentes.»

«Nous admirons la spiritualité et l’ouverture d’esprit de ce pays pour tout ce qui touche l’art, notamment l’art numérique», ajoute son épouse.

«Observer des œuvres d’art qui dépassent les frontières a été un voyage envoûtant qui a captivé nos sens et a suscité l’émerveillement face à la fusion de l’art et de la technologie. Les démonstrations en direct et la danse ont été incroyablement relaxantes. Cela nous a permis de nous évader sereinement dans un autre monde, imaginaire», confie Walid Harthi, un passionné d’art.

L’exposition se tient jusqu’au 11 mai.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


A la Fondation Vuitton, «  L'Atelier Rouge  » de Matisse comme un manifeste

L'exposition s'ouvre par une phrase de Matisse expliquant à son mécène russe, Sergueï Chtchoukine, qu'il a fait "quelque chose de nouveau". (AFP).
L'exposition s'ouvre par une phrase de Matisse expliquant à son mécène russe, Sergueï Chtchoukine, qu'il a fait "quelque chose de nouveau". (AFP).
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  • "L'Atelier rouge" (1911) est exposé à partir de samedi à la Fondation Vuitton à Paris, où il pourrait livrer quelques-uns de ses secrets
  • L'assiette peinte par Matisse en 1907 figurant à l'avant-plan de "L'Atelier rouge" provient, elle, de la collection du MoMA comme le tableau lui-même, acquis par le musée new-yorkais en 1949

PARIS: Comme un manifeste, il a inspiré d'innombrables peintres abstraits américains, ce qu'Henri Matisse ne savait pas lorsqu'il l'a peint: "L'Atelier rouge" (1911) est exposé à partir de samedi à la Fondation Vuitton à Paris, où il pourrait livrer quelques-uns de ses secrets.

L'exposition réunit en effet pour la première fois toutes les œuvres présentes dans ce tableau, une quinzaine de toiles et de sculptures qui se trouvaient dans l'atelier de l'artiste à Issy-les-Moulineaux, en région parisienne.

Certaines sont célèbres, comme "Le Jeune Marin II" (1906), exposé en France pour la première fois depuis 31 ans. D'autres moins, comme "La Corse, le vieux moulin" (1898).

L'assiette peinte par Matisse en 1907 figurant à l'avant-plan de "L'Atelier rouge" provient, elle, de la collection du MoMA comme le tableau lui-même, acquis par le musée new-yorkais en 1949 et qui fait partie de ses œuvres les plus prestigieuses, selon Ann Temkin, sa conservatrice en chef.

Des documents d'archives inédits et d'autres œuvres éclairent le contexte de création de ce "tableau-énigme", selon l'expression de la commissaire générale Suzanne Pagé, telles que "La Fenêtre bleue" (1913) du MoMA et "Grand Intérieur rouge" (1948) du Musée d'art moderne du Centre Pompidou.

Révélation

L'exposition s'ouvre par une phrase de Matisse expliquant à son mécène russe, Sergueï Chtchoukine, qu'il a fait "quelque chose de nouveau".

"Chtchoukine lui a passé commande, a acheté d'innombrables tableaux, dont +La Danse+ et +L'Atelier rose+, mais, cette fois, il refuse", raconte Mme Pagé.

"Dans sa première phase, les murs de l'atelier étaient bleus avec des rayures vertes, le sol rose et le mobilier ocre, représentant un intérieur avec une perspective traditionnelle".

"Matisse l'a laissé reposer pendant un mois et il va le recouvrir entièrement de rouge vénitien très rapidement avec une technique très fébrile", développe-t-elle.

Matisse "ne l'explique pas très bien lui-même. Il a eu une révélation". Le tableau fera "fonction de manifeste pour tous les artistes américains expressionnistes et la génération suivante, du type Mark Rothko puis Ellsworth Kelly. La représentation y est abolie au profit de l'abstraction", ajoute Mme Pagé.

A l'époque, souligne-t-elle, "tout le monde a pensé que Matisse tombait dans une espèce d'errance".

Montré à Londres, il y reçoit un accueil très froid, comme à New York, Boston et Chicago plus tard, au prestigieux Armory Show. Il finira dans un club privé londonien avant d'être revendu à un galeriste new-yorkais en 1940, puis d'entrer au MoMA en 1949.

Tableau « osé »

"L'histoire de l'art n'aurait pas été la même sans lui. C'est l'un des tableaux les plus osés de Matisse, qu'il a fait à l'aube de ses 40 ans, et c'est un moment d'expérimentation dans son travail qui a le plus influencé l'histoire de l'art du reste du XXe siècle", assure Mme Temkin.

"Lorsqu'il est arrivé au MoMA en 1949, c'était au moment où les artistes commençaient à utiliser de très grands formats avec des tableaux plein de couleurs. On raconte que la femme de Rothko se plaignait de le voir aller tout le temps voir +L'Atelier rouge+ au MoMA, ce à quoi il aurait répondu que, sans lui, elle n'aurait pas la maison dans laquelle elle vivait, façon de dire qu'il n'aurait pas eu lui-même la carrière qu'il a eue", confie-t-elle.

Parallèlement à Matisse, la fondation présente une exposition consacrée justement à un artiste américain de l'abstraction, Ellsworth Kelly (1923-2015), la plus grande de cette ampleur organisée à Paris où il vécut plusieurs années, intitulée "Formes et Couleurs", en collaboration avec le Glenstone Museum (Potomac, Maryland).

Connu pour ses œuvres monochromes, à mi-chemin entre peinture et sculpture, Ellsworth Kelly a aussi conçu pour la Fondation Vuitton le décor de son auditorium, juste avant de mourir.


La French touch pour un voyage de renouveau et de bien-être à Dubaï

Le Retreat Palm Dubai MGallery vous propose une expérience unique (fournie)
Le Retreat Palm Dubai MGallery vous propose une expérience unique (fournie)
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  • La journée commence par un petit déjeuner et une activité de poterie; c’est le point de départ d’une journée entièrement consacrée au bien-être holistique
  • Situé sur les rives de Palm Jumeirah, à Dubaï, l’hôtel bénéficie d'une vue imprenable sur le golfe Arabique

DUBAÏ: Le Retreat Palm Dubai MGallery propose à ses clients un véritable voyage avec le programme intitulé «MGallery Memorable Moments», récemment dévoilé.

Le MGallery fait partie de la chaîne hôtelière française Sofitel Hotels, basée à Paris.

Conçu pour offrir une journée inoubliable de relaxation et de rajeunissement, le MGallery offre aux touristes et aux résidents des Émirats arabes unis une expérience inoubliable de bien-être, loin de l'agitation de la ville et de la vie quotidienne.

La journée commence par un petit-déjeuner et une activité de poterie; c’est le point de départ d’une journée entièrement consacrée au bien-être holistique. Qu'il s'agisse de s'immerger dans le royaume de la thérapie «color and sound», de s'adonner à des expériences sportives ou de prendre soin de son visage, la chaîne française offre une expérience qui répond à tous les goûts.

«Ces rituels servent de marqueurs profonds dans votre voyage. Ils revigorent le corps, l'esprit et l'âme», confie ainsi Samir Arora, directeur général de MGallery.

«Chaque moment de ce séjour exceptionnel est soigneusement conçu pour vous laisser un sentiment d'équilibre intérieur et de renouveau», ajoute-t-il.

Le Retreat Palm Dubai MGallery est un hôtel de luxe marqué par la French touch.

Situé sur les rives de Palm Jumeirah, à Dubaï, l’hôtel bénéficie d'une vue imprenable sur le golfe Arabique et il offre à ses clients un espace serein où ils peuvent profiter d'un service personnalisé et d'expériences culinaires exquises.

Avec son mélange inimitable d'élégance contemporaine, le Retreat Palm Dubai MGallery offre une retraite inoubliable aux voyageurs exigeants qui sont à la recherche d'une expérience unique et enrichissante.