AlUla impressionne avec les célébrations inaugurales de la Semaine du léopard d’Arabie

La campagne mondiale de sensibilisation qui se déroule à AlUla a illuminé le Piccadilly Square à Londres et le Nasdaq à New York pour célébrer le léopard d’Arabie, une espèce en voie de disparition, le 10 février, officiellement connu sous le nom de Journée du léopard d’Arabie. (Photo fournie/Commission royale pour AlUla)
La campagne mondiale de sensibilisation qui se déroule à AlUla a illuminé le Piccadilly Square à Londres et le Nasdaq à New York pour célébrer le léopard d’Arabie, une espèce en voie de disparition, le 10 février, officiellement connu sous le nom de Journée du léopard d’Arabie. (Photo fournie/Commission royale pour AlUla)
Une campagne mondiale a illuminé des coins du monde pour créer une dynamique autour de l’état désastreux de l’animal, y compris le Nasdaq de New York, pour célébrer la deuxième Journée annuelle du léopard d’Arabie le 10 février. (Photo fournie/Commission royale pour AlUla)
Une campagne mondiale a illuminé des coins du monde pour créer une dynamique autour de l’état désastreux de l’animal, y compris le Nasdaq de New York, pour célébrer la deuxième Journée annuelle du léopard d’Arabie le 10 février. (Photo fournie/Commission royale pour AlUla)
Sur le majestueux terrain montagneux de la vallée d’Ashar, une histoire se déroule au moment où un rawi, ou conteur, raconte sa longue aventure au sein de la région au moyen d’une expérience en cinq parties, dans le cadre de la Semaine du léopard d’Arabie. (Photo AN)
Sur le majestueux terrain montagneux de la vallée d’Ashar, une histoire se déroule au moment où un rawi, ou conteur, raconte sa longue aventure au sein de la région au moyen d’une expérience en cinq parties, dans le cadre de la Semaine du léopard d’Arabie. (Photo AN)
AlUla célèbre l’inauguration de la Semaine du léopard d’Arabie au moyen d’activités immersives et imposantes en vue de sensibiliser l’opinion sur le grand félin en voie de disparition grâce à la participation du public, renforçant ainsi les efforts que la région déploie déjà pour la conservation de l'espèce. (Photo AN)
AlUla célèbre l’inauguration de la Semaine du léopard d’Arabie au moyen d’activités immersives et imposantes en vue de sensibiliser l’opinion sur le grand félin en voie de disparition grâce à la participation du public, renforçant ainsi les efforts que la région déploie déjà pour la conservation de l'espèce. (Photo AN)
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Publié le Dimanche 12 février 2023

AlUla impressionne avec les célébrations inaugurales de la Semaine du léopard d’Arabie

  • La toute première semaine du léopard d’Arabie à AlUla propose un éventail d’activités, comme une exposition numérique qui se déroulera du 10 au 11 février en collaboration avec la fondation Catmosphere
  • Il y a moins de 200 animaux vivant en liberté dans la péninsule Arabique, ce qui constitue une excellente motivation pour s’appuyer sur la Journée du léopard d’Arabie en vue de promouvoir les objectifs de conservation aux niveaux local et mondial

ALULA: AlUla célèbre l’inauguration de la Semaine du léopard d’Arabie au moyen d’activités immersives et imposantes en vue de sensibiliser l’opinion sur le grand félin en voie de disparition grâce à la participation du public, renforçant ainsi les efforts que la région déploie déjà pour la conservation de l'espèce.

Le 10 février est officiellement connu sous le nom de Journée du léopard d’Arabie. Une campagne mondiale a donc été lancée pour sensibiliser l’opinion publique sur l’état désastreux de l’animal – des célébrations populaires en Arabie saoudite aux panneaux d’affichage statiques au Piccadilly de Londres et au Nasdaq de New York.

Le Dr Stephen Browne, directeur exécutif de la faune et du patrimoine naturel à la Commission royale pour AlUla, déclare à Arab News: «La conservation du léopard combine les aspects naturels et culturels de la régénération du comté d’AlUla par la Commission royale d’AlUla en tant que destination principale du patrimoine mondial. Les événements organisés par la commission pour la Journée du léopard d’Arabie en 2023 inciteront la communauté à célébrer le léopard d’Arabie en tant que symbole culturel que nous réintroduirons un jour dans son habitat naturel.

Le léopard d’Arabie est actuellement l’un des animaux les plus rares de la planète. Il est classé par l’Union internationale pour la conservation de la nature comme étant en danger critique d’extinction et un déclin croissant pourrait entraîner son extinction définitive. (Photo fournie/Commission royale pour AlUla)
Le léopard d’Arabie est actuellement l’un des animaux les plus rares de la planète. Il est classé par l’Union internationale pour la conservation de la nature comme étant en danger critique d’extinction et un déclin croissant pourrait entraîner son extinction définitive. (Photo fournie/Commission royale pour AlUla)

La toute première semaine du léopard d’Arabie à AlUla propose un éventail d’activités, comme une exposition numérique qui se déroulera du 10 au 11 février en collaboration avec la fondation Catmosphere. Elle propose aux visiteurs de remonter le temps pour découvrir l’histoire de l’espèce en voie de disparition.

Sur le majestueux terrain montagneux de la vallée d’Ashar, une histoire se déroule au moment où un rawi, ou conteur, raconte sa longue aventure dans la région dans une expérience en cinq parties qui utilise des projections vives et animées sur les crevasses de la vallée.

«L’idée est de montrer la majesté du léopard d’Arabie dans l’habitat naturel qu’il réintègrera un jour», dit le Dr Browne.

 

«Le retour du léopard d’Arabie sera la dernière pièce d’un puzzle sensible et compliqué.»- Dr Stephen Browne, directeur exécutif de la faune et du patrimoine naturel à la Commission royale pour AlUla

 

«Le retour du léopard d’Arabie sera la dernière pièce d’un puzzle sensible et compliqué.»

Quatre nouveaux petits ont été accueillis au centre de reproduction de léopards arabes de la Commission royale pour AlUla à Taïf au cours des vingt-deux derniers mois, poursuivant l’objectif de la commission d’augmenter la population de grands félins en captivité. Une femelle a même été nommée Amal pour symboliser l’espoir de protéger l’avenir de l’espèce dans la région.

Le léopard d’Arabie est actuellement l’un des animaux les plus rares de la planète. Il est classé par l’Union internationale pour la conservation de la nature comme étant en danger critique d’extinction et un déclin croissant pourrait entraîner son extinction définitive.

Il y a moins de 200 animaux vivant en liberté dans la péninsule Arabique, ce qui constitue une excellente motivation pour s’appuyer sur la Journée du léopard d’Arabie en vue de promouvoir les objectifs de conservation aux niveaux local et mondial.

«Il reste moins de léopards arabes à l’état sauvage qu’il n’y a de taches sur le pelage d’un léopard. Préserver l’avenir du léopard d’Arabie est un objectif étroitement lié à la fierté et à l’identité de la région. Au moment où de plus en plus de gens prennent conscience du sort de l’espèce et de son rôle dans notre histoire commune, le soutien aux efforts de conservation s’est intensifié dans toute la région», conclut le Dr Browne.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Le prince Faiçal, ministre saoudien des Affaires étrangères, accueille à Riyad une réunion ministérielle arabe sur Gaza

Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
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  • Les ministres ont mis en garde contre la poursuite des mesures israéliennes illégales en Cisjordanie et à Jérusalem-Est occupée, qui compromettent la solution des deux États, notamment l'expansion des colonies,
  • Les ministres ont souligné la nécessité d'un État de Palestine basé sur les frontières du 4 juin 1967, avec Jérusalem-Est comme capitale, conformément aux résolutions internationales pertinentes

RIYAD : Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza, a rapporté l'agence de presse saoudienne.

Ont participé à cette réunion Ayman Al-Safadi (Jordanie), Sameh Shoukry (Égypte), Hussein Al-Sheikh (Palestine), secrétaire du comité exécutif de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), Anwar ben Mohammed Gargash, conseiller diplomatique du président des Émirats arabes unis, et Mohammed ben Abdelaziz Al-Khulaifi, ministre d'État au ministère qatari des Affaires étrangères.

Ils ont discuté de la nécessité de mettre fin à la guerre dans la bande de Gaza, de parvenir à un cessez-le-feu immédiat et complet, d'assurer la protection des civils conformément au droit humanitaire international et de lever toutes les restrictions qui empêchent l'entrée de l'aide humanitaire dans l'enclave.

Ils ont également exprimé leur soutien à tous les efforts visant à la reconnaissance internationale d'un État palestinien indépendant, ce qui, selon eux, est essentiel pour que les Palestiniens puissent prendre des mesures irréversibles en vue de mettre en œuvre la solution des deux États.

Les ministres ont souligné la nécessité d'un État de Palestine basé sur les frontières du 4 juin 1967, avec Jérusalem-Est comme capitale, conformément aux résolutions internationales pertinentes.

Ils ont exprimé leur rejet catégorique de toute tentative de déplacer le peuple palestinien de sa terre et de toute opération militaire dans la ville palestinienne de Rafah.

Les ministres ont mis en garde contre la poursuite des mesures israéliennes illégales en Cisjordanie et à Jérusalem-Est occupée, qui compromettent la solution des deux États, notamment l'expansion des colonies, la confiscation de terres, les opérations militaires contre les Palestiniens, les attaques de colons et les atteintes à la liberté de culte des musulmans et des chrétiens.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com

 


Le Soudan demande une réunion d'urgence du Conseil de sécurité sur l'«agression» des Emirats

Le président du conseil de transition militaire du Soudan, Abdel Fattah Al-Burhan (Photo, AFP).
Le président du conseil de transition militaire du Soudan, Abdel Fattah Al-Burhan (Photo, AFP).
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  • Depuis avril 2023, le Soudan est le théâtre d'une guerre opposant l'armée du général Abdel Fattah al-Burhane aux paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR)
  • L'armée, appuyée par le gouvernement, accuse depuis des mois Abou Dhabi de soutenir le camp rival

PORT-SOUDAN: Le Soudan a réclamé une réunion d'urgence du Conseil de sécurité pour examiner ce qu'il qualifie "d'agression" des Emirats arabes unis "contre le peuple soudanais", via leur soutien présumé aux paramilitaires en guerre contre l'armée, a déclaré samedi à l'AFP une source diplomatique soudanaise.

Depuis avril 2023, le Soudan est le théâtre d'une guerre opposant l'armée du général Abdel Fattah al-Burhane aux paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR), sous le commandement du général Mohamed Hamdane Daglo.

L'armée, appuyée par le gouvernement, accuse depuis des mois Abou Dhabi de soutenir le camp rival.

"Notre représentant permanent auprès de l'ONU a demandé hier (vendredi) une session d'urgence du Conseil de sécurité pour discuter de l'agression des Emirats arabes unis contre le peuple soudanais et leur fourniture d'armes et d'équipements à la milice terroriste" des FSR, a affirmé ce responsable sous couvert d'anonymat.

Abou Dhabi réfute

L'agence de presse soudanaise (Suna) a confirmé que le représentant du Soudan, Al-Harith Idriss, avait soumis cette demande et souligné que "le soutien des Emirats arabes unis à la milice criminelle des FSR (...) fait des Emirats arabes unis les complices de tous ses crimes".

Dans une lettre adressée au Conseil de sécurité la semaine dernière, Abou Dhabi a réfuté les accusations sur son présumé soutien aux FSR.

"Toutes les allégations concernant l'implication des Emirats arabes unis dans toute forme d'agression ou de déstabilisation au Soudan, ou la fourniture d'un soutien militaire, logistique, financier ou politique à toute faction soudanaise sont sans fondement et ne sont pas étayées par des preuves crédibles", selon la lettre relayée par le ministère émirati des Affaires étrangères.

Dans un communiqué distinct, le Conseil de sécurité de l'ONU a exprimé "sa profonde inquiétude" concernant l'escalade des combats dans la province soudanaise du Darfour du Nord et mis en garde contre une possible offensive imminente des paramilitaires des FSR et milices alliées à el-Facher, capitale de l'Etat, qui n'est pas sous leur contrôle et abrite un grand nombre de réfugiés.

Les Nations unies ont déjà évoqué ce risque vendredi, le Haut-commissaire aux droits de l'homme Volker Türk exprimant "une grave crainte".

La guerre a déjà causé des milliers de morts, détruit les infrastructures déjà précaires du Soudan et provoqué le déplacement de plus de 8,5 millions de personnes, selon l'ONU.

En décembre, Khartoum a demandé à 15 diplomates émiratis de quitter le pays après qu'un haut commandant de l'armée a accusé Abou Dhabi de soutenir les paramilitaires.

Au même moment, des manifestations dans la ville de Port-Soudan (est) réclamaient l'expulsion de l'ambassadeur émirati.

En août 2023, The Wall Street Journal, citant des responsables ougandais, a rapporté que des armes avaient été découvertes dans un avion cargo émirati censé transporter de l'aide humanitaire aux réfugiés soudanais au Tchad. Les Emirats ont démenti.


Le chef de la diplomatie française au Liban pour désamorcer le conflit avec Israël

Le ministre français des Affaires étrangères, Stéphane Sejourne (à gauche), lors d'une réunion avec le Premier ministre libanais à Beyrouth, le 6 février 2024 (Photo Joseph Eid AFP)
Le ministre français des Affaires étrangères, Stéphane Sejourne (à gauche), lors d'une réunion avec le Premier ministre libanais à Beyrouth, le 6 février 2024 (Photo Joseph Eid AFP)
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  • Depuis le début de la guerre à Gaza le 7 octobre, le Hezbollah pro-iranien qui dit intervenir en soutien au mouvement islamiste palestinien Hamas échange quotidiennement avec Israël des tirs à la frontière libano-israélienne
  • Dès janvier, la France a soumis au Liban et à Israël une initiative pour désamorcer le conflit à leur frontière commune

BEYROUTH, Liban : Le ministre français des Affaires étrangères Stéphane Séjourné doit s'entretenir à Beyrouth dimanche avec les principaux responsables libanais pour tenter de désamorcer le conflit transfrontalier entre le Hezbollah et Israël et éviter une guerre de grande ampleur.

Depuis le début de la guerre à Gaza le 7 octobre, le Hezbollah pro-iranien qui dit intervenir en soutien au mouvement islamiste palestinien Hamas échange quotidiennement avec Israël des tirs à la frontière libano-israélienne.

Au fil des semaines, les violences se sont multipliées, Israël frappant le territoire libanais de plus en plus en profondeur et le Hezbollah répliquant en menant des attaques plus complexes contre des positions militaires israéliennes dans le nord du pays.

Dès janvier, la France a soumis au Liban et à Israël une initiative pour désamorcer le conflit à leur frontière commune.

Selon une source diplomatique française à l'AFP, M. Séjourné se rend au Liban pour «poursuivre les efforts» visant «à éviter une guerre», dans un contexte de «très forte augmentation des tensions depuis l'attaque iranienne contre Israël».

La source ajoute que le volume d'échanges de tirs entre Israël et le Hezbollah a été «multiplié par deux» depuis les 13 et 14 avril.

M. Séjourné entamera sa tournée en visitant le quartier général de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul). Après avoir rencontré les responsables libanais, il tiendra une conférence de presse en début de soirée.

En mars, le Liban avait remis à Paris sa réponse à l'initiative française qui, selon une autre source diplomatique, portait sur l'application de la résolution 1701 de l'ONU, qui stipule le déploiement seul de l'armée libanaise et des Casques bleus de l'ONU dans le sud du Liban.

Washington est également à la manoeuvre pour tenter de mettre fin aux violences et dans ce cadre, l'émissaire américain Amos Hochstein est en visite à Jérusalem.

Le Hezbollah a indiqué à plusieurs reprises qu'il ne mettra fin à ses attaques qu'en cas de cessez-le-feu à Gaza.

Il s'agit de la deuxième visite de M. Séjourné au Liban depuis sa nomination en janvier, dans le cadre d'une tournée au Proche-Orient qui l'emmènera également à Ryad pour un sommet sur le conflit à Gaza.

En près de sept mois de violences transfrontalières, au moins 385 personnes, dont 254 combattants du Hezbollah et 73 civils, ont été tuées au Liban, selon un décompte de l'AFP. Côté israélien, 20 personnes ont été tuées, selon l'armée.