L'exposition de Dhahran présente 32 œuvres d'artistes saoudiens exprimant leur interprétation de la planète

Une nouvelle exposition a ouvert ses portes jeudi à Dhahran avec 32 artistes saoudiens présentant leur interprétation et exprimant leurs liens avec la Terre en utilisant divers moyens et styles (Photo, Ahmed al-Thani).
Une nouvelle exposition a ouvert ses portes jeudi à Dhahran avec 32 artistes saoudiens présentant leur interprétation et exprimant leurs liens avec la Terre en utilisant divers moyens et styles (Photo, Ahmed al-Thani).
La responsable des musées d’Ithra, Farah Abushullaih (Photo, Ahmed al-Thani).
La responsable des musées d’Ithra, Farah Abushullaih (Photo, Ahmed al-Thani).
Le directeur de la Dammam Culture and Arts Association, Yousef al-Harbi (Photo, Ahmed al-Thani).
Le directeur de la Dammam Culture and Arts Association, Yousef al-Harbi (Photo, Ahmed al-Thani).
Une nouvelle exposition a ouvert ses portes jeudi à Dhahran avec 32 artistes saoudiens présentant leur interprétation et exprimant leurs liens avec la Terre en utilisant divers moyens et styles (Photo, Ahmed al-Thani).
Une nouvelle exposition a ouvert ses portes jeudi à Dhahran avec 32 artistes saoudiens présentant leur interprétation et exprimant leurs liens avec la Terre en utilisant divers moyens et styles (Photo, Ahmed al-Thani).
Une nouvelle exposition a ouvert ses portes jeudi à Dhahran avec 32 artistes saoudiens présentant leur interprétation et exprimant leurs liens avec la Terre en utilisant divers moyens et styles (Photo, Ahmed al-Thani).
Une nouvelle exposition a ouvert ses portes jeudi à Dhahran avec 32 artistes saoudiens présentant leur interprétation et exprimant leurs liens avec la Terre en utilisant divers moyens et styles (Photo, Ahmed al-Thani).
Une nouvelle exposition a ouvert ses portes jeudi à Dhahran avec 32 artistes saoudiens présentant leur interprétation et exprimant leurs liens avec la Terre en utilisant divers moyens et styles (Photo, Ahmed al-Thani).
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Une nouvelle exposition a ouvert ses portes jeudi à Dhahran avec 32 artistes saoudiens présentant leur interprétation et exprimant leurs liens avec la Terre en utilisant divers moyens et styles (Photo, Ahmed al-Thani).
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Une nouvelle exposition a ouvert ses portes jeudi à Dhahran avec 32 artistes saoudiens présentant leur interprétation et exprimant leurs liens avec la Terre en utilisant divers moyens et styles (Photo, Ahmed al-Thani).
Une nouvelle exposition a ouvert ses portes jeudi à Dhahran avec 32 artistes saoudiens présentant leur interprétation et exprimant leurs liens avec la Terre en utilisant divers moyens et styles (Photo, Ahmed al-Thani).
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Publié le Samedi 18 février 2023

L'exposition de Dhahran présente 32 œuvres d'artistes saoudiens exprimant leur interprétation de la planète

  • L’exposition est axée sur le patrimoine et le paysage varié du Royaume
  • Elle comprend la calligraphie arabe, la photographie, et la sculpture

DHAHRAN: Une nouvelle exposition a ouvert ses portes jeudi à Dhahran avec 32 artistes saoudiens présentant leur interprétation et exprimant leurs liens avec la Terre, en utilisant divers moyens et styles.

Présentée en collaboration avec la Dammam Culture and Arts Association, une section de la Saudi Arabian Society for Culture and Arts, l'exposition From Earth («De la Terre») d'Ithra est axée sur la relation de chaque artiste avec le patrimoine naturel et le paysage varié de l'Arabie saoudite.

Elle comprend des œuvres multimédias, des œuvres d’art en plastique, des montages, des sculptures, des œuvres en série, des photographies et de la calligraphie arabe.

Au milieu d’une diversité d'artistes invités et à travers un appel ouvert d'Ithra, les participants ont présenté leurs œuvres à un jury d'experts qui a fait une sélection.

L'exposition est présentée dans un labyrinthe soigneusement organisé, sur un long chemin, à partir de l'entrée et dans la galerie 2 du musée.

«L'exposition a pour objet de représenter un large éventail de perspectives, à faire écho aux aspects tangibles et intangibles du vécu des artistes, et à mettre en valeur leurs interactions avec l'environnement saoudien – reflétées à travers des œuvres d'art originales et uniques», selon un communiqué d’Ithra.

Farah Abushullaih, responsable des musées d’Ithra, a confié à Arab News qu'elle était ravie d'avoir fait la connaissance de tant d'artistes en devenir. C'était une opportunité pour toute personne intéressée de se joindre à l’exposition.

«C’est la première exposition de ce genre à Ithra – la première fois que nous collaborons avec une entité locale pour créer une invitation ouverte aux nouveaux artistes plutôt qu’aux artistes connus.

«C'est un mélange particulier entre les artistes de cet appel et quelques artistes de haut niveau déjà célèbres. Nous voulions créer un dialogue entre ces nouveaux artistes et les artistes connus», a-t-elle affirmé à Arab News.

«En raison de la variété du thème, la curation et le déroulement de cette exposition sont plus ouverts aux différents sujets que nous abordons concernant ce que nous pouvons obtenir ‘de la Terre’.»

«Chaque artiste aborde le thème «De la Terre» sous un angle spécifique et le représente selon ce que cela signifie pour lui. Il y a des artistes qui utilisent différents matériaux de notre terre, des artistes de l’audiovisuel qui créent des montages audiovisuels liés à la terre. Nous avons également des artistes qui expriment dans cette exposition leurs sentiments à travers des peintures et autres moyens», a-t-elle précisé.

Farah Abuhullaih a indiqué que la qualité et le professionnalisme des artistes avaient dépassé leurs attentes.

«Par rapport à ce que nous avons vu quelques années auparavant en termes d'artistes émergents, on peut dire qu'ils ont fait leurs devoirs. Ils ont extrêmement bien étudié les sujets. La qualité de la production du travail est à un niveau très élevé. Et puis, heureusement, nous n'avons eu aucun problème d’aucune sorte avec la qualité des montages», a-t-elle déclaré.

Youssef al-Harbi, directeur de la Dammam Culture and Arts Association, qui a travaillé en collaboration avec Ithra pour cette exposition, a fait écho à l’avis de Farah Abushullaih.

Il a félicité les artistes présents lors de la soirée d'ouverture et a été impressionné par leur détermination et leur talent.

«L'exposition comporte de nombreux concepts, symboles et sensations qui ont des éléments importants et motivants. La Terre est le concept, l'idée et le symbole que les artistes choisissent de découvrir, car elle les encourage à exceller avec passion dans la créativité, ainsi qu'à rendre hommage à leurs propres racines pour progresser. Les artistes utilisent la Terre comme source d'inspiration pour promouvoir un sentiment d'appartenance à cette Terre et aux détails qui s'y reflètent et qu'ils emportent partout où ils vont», a soutenu Youssef Al-Harbi.

L'exposition prévoit de proposer des ateliers, des rencontres, des masterclasses et des conférences en vue d’élargir davantage le dialogue et la collaboration.

Les visiteurs peuvent avoir accès à l’exposition de 9h à 22h, et ce jusqu'au 9 août.

Les prix des billets se vendent à partir de 35 riyals saoudiens (9 dollars) et peuvent être réservés via le site Web ou l'application Ithra. Les billets sont gratuits pour ceux qui ont les abonnements arts et préférentiels.

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Vol au Louvre: "les bijoux seront retrouvés", réaffirme Macron

Le président français Emmanuel Macron prononce un discours lors d'une réunion avec la communauté française à la résidence de l'ambassadeur de France à Mexico, le 7 novembre 2025. (AFP)
Le président français Emmanuel Macron prononce un discours lors d'une réunion avec la communauté française à la résidence de l'ambassadeur de France à Mexico, le 7 novembre 2025. (AFP)
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  • Emmanuel Macron a assuré depuis le Mexique que les joyaux de la Couronne volés au Louvre seraient retrouvés et que la sécurité du musée serait entièrement repensée
  • Après des critiques sévères de la Cour des comptes, le Louvre lance des mesures d’urgence, dont un coordonnateur sûreté et davantage de caméras de surveillance

MEXICO: Le président français Emmanuel Macron a répété vendredi lors d'un déplacement au Mexique que les joyaux de la Couronne dérobés au Louvre seraient retrouvés et a promis que la sécurité du musée parisien serait revue.

"Nous avons commencé à interpeller une partie de la bande qui a mené ce vol. Les bijoux seront retrouvés, ils seront arrêtés, ils seront jugés", s'est engagé le chef de l'Etat auprès de la chaîne Televisa au cours d'une tournée en Amérique latine.

"De ce qui s'est passé et qui a été un choc pour tout le monde", c'est "l'occasion de sortir encore plus fort", a déclaré Emmanuel Macron.

Le 19 octobre, des malfaiteurs ont réussi à s'introduire dans le musée et dérober en quelques minutes des joyaux d'une valeur de 88 millions d'euros. Les bijoux restent introuvables et quatre suspects ont été mis en examen et écroués.

Parmi les huit pièces "d'une valeur patrimoniale inestimable", selon les autorités, se trouve le diadème de l'impératrice Eugénie (épouse de Napoléon III), qui compte près de 2.000 diamants.

La Cour des comptes a vivement critiqué la gestion du musée de ces dernières années, affirmant jeudi dans un rapport que l'institution avait négligé la sécurité au profit de l'attractivité.

"La sécurité du Louvre sera totalement repensée", a assuré Emmanuel Macron vendredi, évoquant le plan de "Nouvelle Renaissance du Louvre" annoncé en janvier qui doit aboutir à une nouvelle grande porte d'accès ou encore une salle dédiée à la Joconde de Léonard de Vinci.

La Cour des comptes a revu à la hausse son coût à 1,15 milliard d'euros, contre 700 à 800 millions évoqués par l'entourage du chef de l'État. Elle a jugé le projet "pas financé" en l'état.

En attendant, la direction du musée le plus visité au monde a présenté vendredi des "mesures d'urgence" lors d'un conseil d'administration extraordinaire, parmi lesquelles la création d'un "coordonnateur sûreté" et le déploiement de caméras de surveillance supplémentaires. Leur manque aux abords du musée avait été pointé du doigt.


Le Salon des Arts met en lumière l’échange culturel à la Résidence de France à Djeddah

La première édition du Salon des Arts s'est déroulée à la résidence française à Djeddah. (Fourni)
La première édition du Salon des Arts s'est déroulée à la résidence française à Djeddah. (Fourni)
La première édition du Salon des Arts s'est déroulée à la résidence française à Djeddah. (Fourni)
La première édition du Salon des Arts s'est déroulée à la résidence française à Djeddah. (Fourni)
La première édition du Salon des Arts s'est déroulée à la résidence française à Djeddah. (Fourni)
La première édition du Salon des Arts s'est déroulée à la résidence française à Djeddah. (Fourni)
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  • Le programme a présenté des performances live et des études visuelles reflétant l’esprit de l’échange culturel et mettant en avant la coopération culturelle croissante entre la France et l’Arabie Saoudite
  • Le Consulat de France à Djeddah a annoncé la création d’une nouvelle communauté d’anciens artistes en résidence à la Cité Internationale des Arts à Paris

​​​​​​DJEDDAH : La première édition du Salon des Arts s’est tenue mercredi soir à la Résidence de France à Djeddah, réunissant art, musique et échanges entre artistes saoudiens et français.

Le programme a proposé des performances live et des études visuelles reflétant l’esprit de l’échange culturel et mettant en avant la coopération culturelle croissante entre la France et l’Arabie Saoudite.

Au cours de la soirée, le Consulat de France à Djeddah a annoncé la création d’une nouvelle communauté d’anciens artistes en résidence à la Cité Internationale des Arts à Paris, initiative soutenue par les artistes saoudiennes Zahra Bundakji et Danah Qari. L’événement a également présenté des artistes saoudiens tels que Joud Fahmy, Zahiyah Al-Raddadi, Bricklab et Nour Gary.

Le Consul général de France à Djeddah, Mohamed Nehad, a déclaré : « Beaucoup d’artistes saoudiens présents ont déjà séjourné en France dans le cadre du programme de résidence, que j’aime comparer à un cocon de startup, un espace qui équipe les artistes de nouveaux outils, les connecte avec d’autres à travers le monde et les aide à développer et affiner leurs compétences.

« Des rencontres comme celle-ci sont essentielles pour renouer avec ces artistes, présenter leurs travaux à la Résidence de France et renforcer leurs liens. L’esprit de la France a toujours été de connecter les artistes français aux talents locaux pour créer ensemble, mêler saveurs françaises et saoudiennes, et construire quelque chose de significatif reflétant les deux cultures. »

Il a ajouté : « La scène artistique saoudienne est aujourd’hui incroyablement jeune et pleine d’énergie. Ces artistes nous inspirent et nous dynamisent avec leurs idées brillantes, rechargeant notre énergie créative à chaque rencontre. »

L’attaché culturel Quentin Richard a décrit l’événement comme un reflet du dialogue artistique continu entre les deux pays, déclarant : « Les résidences artistiques à la Cité Internationale des Arts à Paris et ici à Djeddah illustrent la vitalité du dialogue entre artistes français et saoudiens. Elles favorisent une dynamique d’échange basée sur la créativité, le respect mutuel et la découverte partagée de nos cultures. »

Le groupe français Oriki, dont les membres incluent Woz Kaly, Yann Saletes, Mourad Baitiche, Michel Teyssier et Khaled Baitiche, actuellement en résidence à Hayy Cinema en collaboration avec l’artiste saoudienne Salma Murad, a également participé à l’événement.

De nouvelles résidences artistiques débuteront en décembre en partenariat avec le Musée Tariq Abdulhakim et la galerie Athr.

Le chanteur d’Oriki, Woz Kaly, a déclaré : « Entre la première visite et aujourd’hui, il y a un lien émotionnel avec le territoire, la communauté et les artistes. Tant que ce lien existe, tout peut se créer à travers l’art. Lors de l’événement, nous avons interprété trois chansons faisant partie de notre projet de ciné-concert, chacune inspirée d’une scène de film différente.

« Même sans l’écran, l’idée est que le public imagine l’histoire à travers la musique et ressente son émotion. C’est un aperçu de ce que nous développons depuis notre arrivée à Djeddah. »

Pour Bundakji, le Salon des Arts a offert au public une rare plongée dans le processus créatif lui-même.

« Les gens connaissent l’artiste dans son atelier, mais ils ne voient jamais ce qui s’y passe. Ils ne voient pas les recherches, les idées, les expérimentations, les échecs », a-t-elle expliqué, ajoutant que l’événement permettait aux visiteurs d’interagir directement avec le processus artistique.

« Entre l’atelier et l’œuvre finale, il y a un grand espace où nous pouvons nous rencontrer, partager nos idées, où naissent les amitiés et la communauté. Je crois que c’est la vie elle-même, où les gens se connectent, parlent d’art et apprennent à se connaître face à face, pas seulement en voyant mon travail et mon nom sur un titre », a-t-elle poursuivi.

Elle a décrit la soirée comme un espace permettant aux visiteurs de toucher et d’expérimenter les recherches derrière chaque œuvre, « une tranche de la pratique de chacun dans son atelier ».

Qari a ajouté : « Je pense que c’est un bel espace pour que les gens se réunissent et aient réellement une conversation sur la vie qui imite l’art qui imite la vie. Nous voyons tous le travail des autres en exposition, mais nous ne connaissons pas vraiment les sentiments derrière ces œuvres. »

Elle a conclu : « Tout ce que nous créons provient de quelque chose dans nos vies : des histoires, des sentiments, des rêves, des peurs, des échecs. C’est une opportunité intime de créer un lien authentique entre les gens et de s’inspirer mutuellement. Utiliser la création d’autrui comme muse pour ce que nous vivons, pour savoir que nous ne sommes pas seuls. N’est-ce pas là le but de l’art et de la poésie, après tout ? »

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L’Opéra de Saint-Pétersbourg présente Rigoletto de Verdi à Dubaï et Abou Dhabi

Rigoletto de Verdi mis en scène par Yuri Alexandrov, présenté par l’Opéra d’État de Saint-Pétersbourg. (Fournie)
Rigoletto de Verdi mis en scène par Yuri Alexandrov, présenté par l’Opéra d’État de Saint-Pétersbourg. (Fournie)
Direction artistique signée par Yuri Alexandrov, nommé Artiste du Peuple de Russie et lauréat du Golden Mask. (Fournie)
Direction artistique signée par Yuri Alexandrov, nommé Artiste du Peuple de Russie et lauréat du Golden Mask. (Fournie)
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  • L’Opéra de Saint-Pétersbourg, dirigé par Yuri Alexandrov, présente Rigoletto de Verdi à Dubaï et Abou Dhabi du 19 au 23 novembre
  • La mise en scène d’Alexandrov revisite le mythe du bouffon tragique, dans une production somptueuse portée par une troupe d’excellence

Dubaï: Le public des Émirats arabes unis s’apprête à vivre une expérience lyrique exceptionnelle : le chef-d’œuvre de Giuseppe Verdi, Rigoletto, sera présenté par le Théâtre d’État de l’Opéra de Saint-Pétersbourg, sous la direction du célèbre metteur en scène russe Yuri Alexandrov, les 19 et 20 novembre au Zabeel Theatre de Dubaï, puis les 22 et 23 novembre au Cultural Foundation Theatre d’Abou Dhabi.

Organisé par Art For All, cet événement marque le grand retour de la troupe russe aux Émirats, après son succès lors du programme culturel russe de l’Expo 2020. Fondée en 1987, l’Opéra de Saint-Pétersbourg s’est imposée comme l’une des compagnies lyriques les plus respectées d’Europe.

Un metteur en scène au génie reconnu

Figure majeure du monde lyrique, Yuri Alexandrov, nommé Artiste du Peuple de Russie et lauréat des prestigieux prix Golden Mask et Golden Sofit, a signé plus de 300 productions dans des maisons d’opéra de renommée mondiale, parmi lesquelles La Scala, le Metropolitan Opera de New York, l’Arena di Verona et le Théâtre Mariinsky.

Sa mise en scène de Rigoletto se distingue par une approche audacieuse, psychologique et profondément humaine. Alexandrov y réinvente les clichés traditionnels : ici, le bouffon n’est plus un vieillard difforme, mais un homme rusé, sarcastique, habité par la douleur et les contradictions morales d’un monde corrompu.

“Notre version de Rigoletto a triomphé dans de nombreux pays. Nos chanteurs, formés à cette exigence musicale, offrent une interprétation puissante et sincère,” explique Yuri Alexandrov.

Un spectacle grandiose

Mêlant costumes somptueux, décors fastueux et orchestre d’exception, Rigoletto incarne la quintessence de l’opéra italien. Le spectacle, chanté en italien avec surtitres en anglais, dure 3h15 (avec deux entractes).

Avec cette nouvelle tournée, Yuri Alexandrov confirme son rôle de passeur culturel entre la tradition russe et les scènes internationales, offrant au public émirien une immersion dans la puissance émotionnelle du théâtre lyrique.

En savoir plus : rigoletto.platinumlist.net.