Notes de paix et d’harmonie pour la 29e édition du Festival de musique Al-Bustan

Le festival n’a jamais arrêté de se produire malgré les nombreuses crises que traverse le pays du Cèdre, à l’exception des deux années de fermeture obligatoire en raison de la pandémie de Covid-19. (Photo fournie)
Le festival n’a jamais arrêté de se produire malgré les nombreuses crises que traverse le pays du Cèdre, à l’exception des deux années de fermeture obligatoire en raison de la pandémie de Covid-19. (Photo fournie)
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Publié le Mardi 14 mars 2023

Notes de paix et d’harmonie pour la 29e édition du Festival de musique Al-Bustan

  • «Nous sommes déterminés, plus que jamais, à résister à l’adversité à travers la culture et la musique», confie Laura Lahoud, vice-présidente du festival
  • Le festival tient à mettre à promouvoir l’aspect éducatif: des cours gratuits donnés par de grands musiciens internationaux sont proposés à de jeunes musiciens

PARIS: «Harmonies and Peace» («Musiques pour la paix»): c’est le thème de la 29e édition du Festival Al-Bustan, qui se tient au Liban jusqu’au 19 mars 2023. Au programme, pas moins de dix-neuf prestations musicales qui apporteront la paix, la sérénité et le réconfort... «Ce thème a justement été choisi pour faire face aux crises multiples auxquelles notre pays se trouve confronté. Nous sommes déterminés, plus que jamais, à résister à l’adversité à travers la culture et la musique», confie Laura Lahoud, vice-présidente du festival, à Arab News en français. 

Le festival n’a jamais arrêté de se produire malgré les nombreuses crises que traverse le pays du Cèdre, à l’exception des deux années de fermeture obligatoire en raison de la pandémie de Covid-19. Il est devenu au fil des années le rendez-vous annuel de tous les amateurs de musique classique. Cette édition propose un programme particulièrement éclectique.

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Le festival n’a jamais arrêté de se produire malgré les nombreuses crises que traverse le pays du Cèdre, à l’exception des deux années de fermeture obligatoire en raison de la pandémie de Covid-19. (Photo fournie)

«Plus d’une trentaine de musiciens et de chanteurs venus des quatre coins du monde sont au rendez-vous et présentent un vaste répertoire du patrimoine classique européen», précise la vice-présidente du festival. Parmi eux, «l’Orchestra della Magna Grecia, placé sous la direction de la talentueuse Italienne Gianna Fratta, et la violoniste coréo-américaine Elly Suh en ouverture, Renaud Capuçon, Abdel Rahman El Bacha, Natalie Clein, Elena Stikhina, et bien d’autres…» Les artistes locaux ne sont pas en reste et se succèdent également sur scène, comme Georges Khabbaz avec Better Days to come (جايي الإيام), un titre qui résonne comme un véritable message à l’intention des Libanais.

Cette année encore, le festival a choisi d’organiser certains de ses concerts «hors les murs» de l’hôtel Al-Bustan. «Le premier concert a eu lieu en plein air dans la région d’Aïn el-Mreisseh, à Beyrouth, et le second a lieu le 14 mars sur les marches de l’escalier Saint-Nicolas, dans le quartier de Gemmayzé, toujours dans la capitale libanaise, avec l’accordéoniste français Félicien Brut», explique Laura Lahoud. «Des concerts gratuits ont été aussi donnés dans des hôpitaux pour les enfants qui souffrent du cancer, en partenariat avec le Children Cancer Center, avec la pianiste ukrainienne Valentina Lisitsa; un autre a été organisé à l’hôpital de l’université américaine de Beyrouth à destination du corps médical et des adultes atteints également touchés par la maladie», précise-t-elle. 

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Le festival n’a jamais arrêté de se produire malgré les nombreuses crises que traverse le pays du Cèdre, à l’exception des deux années de fermeture obligatoire en raison de la pandémie de Covid-19. (Photo fournie)

Le festival tient à mettre à promouvoir l’aspect éducatif: des cours gratuits donnés par de grands musiciens internationaux sont proposés à de jeunes musiciens. «On organise aussi des répétitions auxquelles on invite des aveugles, des malentendants, des orphelins, des jeunes de SOS-Enfants, par exemple. Il y a une grande répétition qui aura lieu le 15 mars, ainsi qu’un très beau concert auquel nous invitons cinq cents enfants issus d'écoles défavorisées. Certains d’entre eux n'ont jamais entendu un concert de musique classique de leur vie. Il y a donc aussi une mission éducative et sociale. Depuis l’effondrement financier que connaît le Liban, nous avons par ailleurs tenu à réduire le prix des billets. L’objectif est de permettre au maximum de personnes d’assister aux concerts. La musique doit être accessible au plus grand nombre», conclut Laura Lahoud.


Tory Burch fait appel à Loli Bahia pour son défilé à New York

Loli Bahia a participé au défilé de Tory Burch. (Getty Images)
Loli Bahia a participé au défilé de Tory Burch. (Getty Images)
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  • La styliste américaine Tory Burch a dévoilé une collection imprégnée de l'esprit du sport, mais sans s'aventurer dans les vêtements de sport
  • La mannequin franco-algérienne Loli Bahiaa a présenté l'un des looks, portant un ensemble noir élégant et structuré avec des coupes asymétriques

DUBAÏ: La styliste américaine Tory Burch a dévoilé une collection imprégnée de l'esprit du sport - mais sans s'aventurer dans les vêtements de sport - lors de la Semaine de la mode de New York cette semaine, avec la mannequin franco-algérienne Loli Bahia qui a défilé.

La liberté et le mouvement étaient reflétés dans les pantalons de laine amples et les robes enveloppantes, tandis que la puissance transparaissait dans l'assemblage de différentes pièces, tissus et coupes sur les mannequins défilant sur le podium, a rapporté l'AFP.

Bahia a présenté l'un de ces looks, portant un ensemble noir élégant et structuré avec des coupes asymétriques et des panneaux superposés qui lui donnaient un aspect moderne et déconstruit. Le haut avait une structure enveloppante avec des liens subtils sur le devant, tandis que la jupe présentait une fente haute.

La tenue, issue de la collection printemps-été 2025, était complétée par des boucles d'oreilles audacieuses et surdimensionnées et des talons classiques noirs à bouts pointus.

Bahia a été rejointe par Mona Tougaard, qui a des origines danoises, turques, somaliennes et éthiopiennes.

Tougaard a défilé vêtue d'un haut noir sans manches et décolleté en V, associé à une jupe blanche volumineuse et fluide à volants superposés. La jupe présentait un drapé délicat et des plis doux. Elle portait des talons ouverts de couleur neutre et avait les cheveux lissés.

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Tougaard a défilé vêtue d'un haut noir sans manches et décolleté en V, associé à une jupe blanche volumineuse et fluide à volants superposés. (Getty Images)

Parmi les autres looks marquants du défilé, citons un ensemble de pantalons en daim ultra légers avec une ceinture en corde et un pull moulant à motifs rouges et blancs.

Une chemise transparente en jersey blanc avec des volants et des manches trop longues était associée à son pendant formel, un pantalon en laine marron.

Avec cette collection, la native de Pennsylvanie rompt avec le style qui l'a rendue célèbre, une combinaison de Nouvelle-Angleterre preppy avec une touche de bohème.

"Il s'agit davantage de l'esprit et de l'essence du sport", a expliqué à l'AFP Burch, dont les défilés sont devenus un incontournable de la semaine de la mode new-yorkaise.

Cela signifie qu'il s'agit de "mouvement, de liberté, de précision" comme point de départ, a-t-elle expliqué, ajoutant: "Le mot 'synchronicité' est quelque chose auquel j'ai pensé".

"Je voulais faire attention à ne pas avoir trop d'imprimés différents, mais je voulais que cela se traduise par des textures, des tissus et des couleurs", a expliqué Burch, qui a célébré cette année le 20e anniversaire de sa maison de couture éponyme.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Les lauréats des prix culturels nationaux récompensés à Riyad

Pour marquer cet événement, le prince Badr a déclaré que les prix constituaient un cadre de soutien et d'encouragement pour le talent et la créativité. (SPA)
Pour marquer cet événement, le prince Badr a déclaré que les prix constituaient un cadre de soutien et d'encouragement pour le talent et la créativité. (SPA)
Pour marquer cet événement, le prince Badr a déclaré que les prix constituaient un cadre de soutien et d'encouragement pour le talent et la créativité. (SPA)
Pour marquer cet événement, le prince Badr a déclaré que les prix constituaient un cadre de soutien et d'encouragement pour le talent et la créativité. (SPA)
Pour marquer cet événement, le prince Badr a déclaré que les prix constituaient un cadre de soutien et d'encouragement pour le talent et la créativité. (SPA)
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Pour marquer cet événement, le prince Badr a déclaré que les prix constituaient un cadre de soutien et d'encouragement pour le talent et la créativité. (Ministère de la Culture)
Pour marquer cet événement, le prince Badr a déclaré que les prix constituaient un cadre de soutien et d'encouragement pour le talent et la créativité. (Ministère de la Culture)
Pour marquer cet événement, le prince Badr a déclaré que les prix constituaient un cadre de soutien et d'encouragement pour le talent et la créativité. (Ministère de la Culture)
Pour marquer cet événement, le prince Badr a déclaré que les prix constituaient un cadre de soutien et d'encouragement pour le talent et la créativité. (Ministère de la Culture)
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  • Le ministre saoudien de la Culture, le prince Badr ben Abdallah, a rendu hommage, lundi soir, à Riyad, aux lauréats de la quatrième édition du Prix national de la culture
  • Deux nouveaux prix pour les médias culturels et l'artisanat ont été remis lors de cet événement, qui s'est tenu sous le patronage du prince héritier Mohammed ben Salmane

RIYAD : Le ministre saoudien de la Culture, le prince Badr ben Abdallah, a rendu hommage, lundi soir, à Riyad, aux lauréats de la quatrième édition du Prix national de la culture.

Deux nouveaux prix pour les médias culturels et l'artisanat ont été remis lors de cet événement, qui s'est tenu sous le patronage du prince héritier Mohammed ben Salmane.

Le prix du Pionnier culturel a été décerné au Dr Saad al-Suwaian, en reconnaissance de ses grandes contributions scientifiques, littéraires et culturelles au cours de nombreuses années dans ce domaine, tandis que l'auteur et artiste Diaa Youssef a remporté le prix culturel de la jeunesse.

Badr al-Buwardi a reçu le prix des Propriétaires d'entreprise, pour les efforts de sa famille dans la préservation du patrimoine culturel.

Le prix de l'Excellence culturelle internationale a été décerné à «Turquoise Mountain» pour son travail de protection du patrimoine et des communautés dans le monde entier.

En ce qui concerne les institutions, le groupe MBC a remporté le prix des Institutions culturelles (à but lucratif). La Fondation du roi Faisal a remporté le prix dans la catégorie des Organisations à but non lucratif.

Des lauréats d'autres secteurs culturels ont également été récompensés au cours de la cérémonie.

Pour marquer cet événement, le prince Badr a déclaré que les prix constituaient un cadre de soutien et d'encouragement pour le talent et la créativité.

«Le ministère de la Culture a tenu à adopter une stratégie visant à développer les capacités culturelles, dans le cadre d'un parcours étendu et intégré avec des partenaires de divers secteurs», a ajouté le ministre.

Les prix célèbrent chaque année les réalisations, les contributions et les productions culturelles d'intellectuels saoudiens dans divers secteurs culturels.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


« Beetlejuice Beetlejuice » n'arrive pas à la hauteur de l'original de 1988

Winona Ryder et Michael Keaton dans "Beetlejuice Beetlejuice". (Fourni)
Winona Ryder et Michael Keaton dans "Beetlejuice Beetlejuice". (Fourni)
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  • Le film commence de manière maladroite, les personnages étant disposés comme dans un jeu d'échecs, les pièces maîtresses étant dispersées
  • Cela résume en grande partie ce qui semble être le but du film - un retour nostalgique sur un film d'horreur de haut niveau pour les fans de Burton

CHENNAI: Il suffit souvent d'une seule œuvre pour qu'un réalisateur sorte de l'ombre et brille. C'est ce qui est arrivé à Tim Burton en 1988 avec "Beetlejuice", un film d'horreur à la limite de la comédie et du macabre.

Ce fut un tournant pour le jeune réalisateur de 26 ans, qui est entré directement dans la cour des grands et est revenu à la Mostra de Venise, qui vient de s'achever, avec la suite "Beetlejuice Beetlejuice", en septembre.

Avec des têtes d'affiche comme Michael Keaton, Winona Ryder et Jenna Ortega, l'une des premières scènes de la suite montre l'icône italienne Monica Bellucci dans le rôle de Delores, le fantôme coupé en morceaux et gisant dans plusieurs boîtes. Elle commence à se recoller avec une agrafeuse et aspire les âmes d'hommes et de femmes morts, le tout sur fond de "Tragedy" des Bee Gees. Gore mais amusant - et tout à fait dans l'esprit de Tim Burton.

Le film commence de manière maladroite, les personnages étant disposés comme dans un jeu d'échecs, les pièces maîtresses étant dispersées. La suite suit la Lydia Deetz de Winona Ryder, l'ancienne adolescente gothique devenue médiatrice psychique avec sa propre émission de télévision sur le paranormal.

Les capacités surnaturelles de Deetz sont balayées par sa fille, Astrid (Ortega), qui croit que les visions de sa mère sont de pures illusions, et Catherine O'Hara reprend bientôt son rôle de belle-mère artiste narcissique de Lydia.

Keaton reprend son rôle de fantôme, mais il était bien plus excentrique et attachant dans le premier film - sa performance ressemble ici à une version édulcorée de ce que nous avons vu précédemment.

Cela résume en grande partie ce qui semble être le but du film - un retour nostalgique sur un film d'horreur de haut niveau pour les fans de Burton, à apprécier pendant la saison d'Halloween.

Malheureusement, le film donne l'impression d'être léthargique, découragé et sans âme. On est loin de l'œuvre de 1988 qui était pleine d'entrain et digne d'éloges.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com