Valéry Giscard d'Estaing, une vie politique en images

Ministre des Finances et candidat présidentiel Valery Giscard d'Estaing et l'accordéoniste Yvette Horner jouent de l'accordéon à Montmorency lors du deuxième festival mondial d'accordéon, le 24 juin 1973 (Photo, AFP/ Archives)
Ministre des Finances et candidat présidentiel Valery Giscard d'Estaing et l'accordéoniste Yvette Horner jouent de l'accordéon à Montmorency lors du deuxième festival mondial d'accordéon, le 24 juin 1973 (Photo, AFP/ Archives)
Short Url
Publié le Jeudi 03 décembre 2020

Valéry Giscard d'Estaing, une vie politique en images

  • Le président de l'Assemblée nationale, Richard Ferrand a considéré que «l’idéal européen perd l’un de ses fondateurs»
  • Né à Coblence (Allemagne) en 1926, Valéry Giscard d'Estaing, pur produit de l'élite française, diplômé de Polytechnique et de l'ENA
Le président français François Mitterrand serrant la main de Valery Giscard d'Estaing, lors d'une réunion à l'Elysée, le 26 mai 1983 (Photo, AFP/ Archives)
Le président français François Mitterrand serrant la main de Valery Giscard d'Estaing, lors d'une réunion à l'Elysée, le 26 mai 1983 (Photo, AFP/ Archives)

 

Le pape Jean-Paul II agitant à côté du président français Valery Giscard d'Estaing alors qu'ils descendent l'avenue des Champs-Élysées à Paris lors de la visite du pape en France,  le 30 mai 1980 (Photo, AFP/ Archives)
Le pape Jean-Paul II à côté du président français Valery Giscard d'Estaing alors qu'ils descendent l'avenue des Champs-Élysées à Paris lors de la visite du pape en France,  le 30 mai 1980 (Photo, AFP/ Archives)

 

3
Le président de la République Georges Pompidou (C) et son Premier ministre Jacques Chaban-Delmas, posent à l'Elysée, avec des membres du gouvernement (première rangée) Bernard Pons, Robert-André Vivien, Olivier Guichard, Jacques Chirac, Maurice Schuman, Joseph Fontanet, Roger Frey, Henri Duvillard, René Pleven, Albin Chalandon, Jacques Chaban-Delmas, Henry Rey, Georges Pompidou, François-Xavier Ortoli, Michel Debre, Alain Peyrefitte, Raymond Marcellin, Valery Giscard d'Estaing, André Bettencourt.

 

L'ancien président français Valery Giscard d'Estaing et son épouse Anne-Aymone après avoir assisté aux funérailles de l'héritière de L'Oréal, Liliane Bettencourt, à l'église Saint-Pierre à Neuilly-sur-Seine, près de Paris, le 26 septembre 2017 (Photo, AFP/ Archives)
L'ancien président français Valery Giscard d'Estaing et son épouse Anne-Aymone après avoir assisté aux funérailles de l'héritière de L'Oréal, Liliane Bettencourt, à l'église Saint-Pierre à Neuilly-sur-Seine, près de Paris, le 26 septembre 2017 (Photo, AFP/ Archives)

 

Le Premier ministre français Raymond Barre (à droite) rencontre le président français Valery Giscard d'Estaing à l'Elysée, à Paris, le 15 avril 1981(Photo, AFP/ Archives)
Le Premier ministre français Raymond Barre (à droite) rencontre le président français Valery Giscard d'Estaing à l'Elysée, à Paris, le 15 avril 1981(Photo, AFP/ Archives)

 

Ministre de l'Économie et des Finances et candidat à la présidentielle Valery Giscard d'Estaing joue au football à Chamalières pendant la campagne présidentielle, le 4 juin 1973 (Photo, AFP/ Archives)
Ministre de l'Économie et des Finances et candidat à la présidentielle, Valery Giscard d'Estaing joue au football à Chamalières pendant la campagne présidentielle, le 4 juin 1973 (Photo, AFP/ Archives)

 

Simone Veil (ministre française de la Santé) reçue par le président français Valery Giscard d'Estaing à l'Elysée à Paris après l'adoption de la loi sur l'avortement par le Parlement français, le 29 novembre 1974 (Photo, AFP/ Archives)
Simone Veil (ministre de la Santé) reçue par le président français Valery Giscard d'Estaing à l'Elysée à Paris après l'adoption de la loi sur l'avortement par le Parlement, le 29 novembre 1974 (Photo, AFP/ Archives)  

 

Le président français Valery Giscard d'Estaing s'entretenant avec le premier ministre de l'époque Jacques Chirac, le 24 décembre 1974, après que ce dernier ait reçu la Grand-Croix de l'Ordre National du Mérite, le 24 décembre 1974 (Photo, AFP/ Archives)
Le président français Valery Giscard d'Estaing s'entretient avec le premier ministre de l'époque Jacques Chirac, le 24 décembre 1974, après que ce dernier ait reçu la Grand-Croix de l'Ordre National du Mérite (Photo, AFP/ Archives)

 


Un homme tué par balles près de Grenoble

Un homme non identifié et porteur de deux impacts de balles a été retrouvé mort dans la nuit de mardi à mercredi à Echirolles, en périphérie de Grenoble, a indiqué la police. (AFP)
Un homme non identifié et porteur de deux impacts de balles a été retrouvé mort dans la nuit de mardi à mercredi à Echirolles, en périphérie de Grenoble, a indiqué la police. (AFP)
Short Url
  • L'homme a été retrouvé par une passante, vers 02H00, gisant inanimé au sol dans une mare de sang
  • La Division de la criminalité organisée et spécialisée (DCOS, ex-PJ) a été saisie de l'enquête

GRENOBLE: Un homme non identifié et porteur de deux impacts de balles a été retrouvé mort dans la nuit de mardi à mercredi à Echirolles, en périphérie de Grenoble, a indiqué la police.

L'homme a été retrouvé par une passante, vers 02H00, gisant inanimé au sol dans une mare de sang, la mâchoire brisée, avec une trottinette à ses pieds. En arrêt cardio-respiratoire, il a été déclaré décédé sur place par le SAMU.

Deux impacts de balles dans son dos et dans sa mâchoire ont été relevés par la suite par le médecin légiste, selon même la source.

La Division de la criminalité organisée et spécialisée (DCOS, ex-PJ) a été saisie de l'enquête.


«Mieux vaut être un homme en politique»: quand les députés testent le programme Evars

En plein débat budgétaire, les associations veulent convaincre les élus de débloquer des moyens pour ces séances, qu'elles évaluent à 620 millions d’euros par an. (AFP)
En plein débat budgétaire, les associations veulent convaincre les élus de débloquer des moyens pour ces séances, qu'elles évaluent à 620 millions d’euros par an. (AFP)
Short Url
  • Prévu dans la loi depuis 2001 et doté d'un contenu depuis la rentrée, le programme d'Education à la vie affective, relationnelle et sexuelle (Evars) aborde, de façon adaptée à chaque âge, la santé reproductive, la prévention, l’égalité filles-garçons
  • A l'Assemblée, une petite vingtaine de députés, sur 577, ont répondu mardi après-midi à l'invitation de Marie-Charlotte Garin (écologiste), Véronique Riotton (EPR) et le Collectif pour une véritable éducation à la sexualité

PARIS: "Mieux vaut être un homme, en politique, qu’une femme". Comme des collégiens ou des lycéens, des députés ont suivi une séance d'Evars, un programme proposé aux élèves pour notamment remettre en cause les stéréotypes sexistes.

Prévu dans la loi depuis 2001 et doté d'un contenu depuis la rentrée, le programme d'Education à la vie affective, relationnelle et sexuelle (Evars) aborde, de façon adaptée à chaque âge, la santé reproductive, la prévention, l’égalité filles-garçons, la lutte contre les violences sexistes et sexuelles, ainsi que les questions d’orientation et d’identité sexuelles.

A l'Assemblée, une petite vingtaine de députés, sur 577, - principalement de la gauche au centre-droit - ont répondu mardi après-midi à l'invitation de Marie-Charlotte Garin (écologiste), Véronique Riotton (EPR) et le Collectif pour une véritable éducation à la sexualité (Planning familial, Sidaction, Fédération des centres d' information sur les droits des femmes et des familles...) qui milite depuis 2023 pour la généralisation de ces séances.

"Nous voulons faire de la pédagogie auprès des députés pour qu’ils deviennent nos ambassadeurs dans les territoires", explique Marie-Charlotte Garin, en signalant que les députés reçoivent des courriers de parents opposés au programme, notamment de l'association Parents vigilants.

"Nous voulons faire vivre ces séances aux députés pour leur donner des arguments, il y a beaucoup de fantasmes autour de ce programme", observe Mme Riotton, présidente de la Délégation aux droits des femmes.

"On galère" 

Après une première partie sur des sujets à destination des CP (vocabulaire des parties intimes, prévention des violences sexuelles), le Planning familial propose ensuite aux élus de tester "la rivière du doute", outil utilisé cette fois au collège pour réfléchir aux stéréotypes sexistes.

"Je vais vous dire une affirmation et ceux qui sont d'accord se placent à gauche, ceux qui sont contre à droite: +Il vaut mieux être un homme en politique qu’une femme+, lance sa présidente Sarah Durocher.

Chez les députés présents, six sont d'accord. Et comme en classe, le dialogue s’engage.

"Je dis oui, mais c’est ce qu’il faut changer", commence Jean-Francois Rousset (EPR).

"C'est plus difficile d'être une femme, on galère, c'est difficile de se faire entendre", confirme Soumya Bourouaha (GDR). "Il y a beaucoup à changer et ça ne viendra pas des hommes" , renchérit une autre élue.

Second stéréotype: "Les hommes savent naturellement prendre la parole en public. D'accord ou pas?"

"Qu'ils soient compétents ou pas, la réalité montre qu’ils osent plus", remarque Anne-Cécile Violland (Horizons). "Tout à l'heure, j’ai pris spontanément la parole et je ne m’en suis même pas aperçu", constate Jean-Francois Rousset.

 "Sujet politique" 

"Nous voulons que ce programme devienne un sujet politique, dont s'emparent les députés. Il permet d'éviter les LGBTphobies, les féminicides, les maladies sexuellement transmissibles, c'est bénéfique pour les individus et collectivement", plaide Sarah Durocher.

En plein débat budgétaire, les associations veulent convaincre les élus de débloquer des moyens pour ces séances, qu'elles évaluent à 620 millions d’euros par an.

Depuis 2001, la loi impose trois séances annuelles d’information et d’éducation à la sexualité dans les écoles, collèges et lycées, mais elles n’ont jamais été généralisées.

Saisi par le Planning familial, Sidaction et SOS Homophobie, le tribunal administratif de Paris a reconnu mardi que l’État avait manqué à ses obligations, en tardant jusqu'en février dernier pour adopter le programme Evars. Dans son jugement, il écarte les arguments avancés par le ministère de l'Education qui avait fait valoir "la sensibilité du sujet et les controverses qu'il suscite" pour expliquer ce retard.

Les trois associations demandent "la reconnaissance" du "rôle central des associations" dans sa mise en œuvre". "Nous avons formé 150.000 jeunes dans 3.600 établissements, mais nous avons refusé autant de demandes faute de moyens", explique la présidente du Planning.

Pour Sandrine Josso (Horizons), "les députés devraient aussi suivre une formation sur les violences sexistes et sexuelles. Il en existe une depuis 2022 et personne n’y va".


Ukraine: Zelensky accueilli par Macron à Paris pour faire le point sur les négociations

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a été accueilli lundi par son homologue français Emmanuel Macron au palais présidentiel de l'Elysée pour faire le point sur les intenses négociations en cours pour tenter de mettre fin à la guerre en Ukraine. (AFP)
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a été accueilli lundi par son homologue français Emmanuel Macron au palais présidentiel de l'Elysée pour faire le point sur les intenses négociations en cours pour tenter de mettre fin à la guerre en Ukraine. (AFP)
Short Url
  • Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a été accueilli lundi par son homologue français Emmanuel Macron au palais présidentiel de l'Elysée
  • Cette nouvelle visite en France, la dixième depuis le début de l'invasion russe de l'Ukraine en février 2022, intervient au lendemain de discussions entre délégations américaine et ukrainienne en Floride

PARIS: Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a été accueilli lundi par son homologue français Emmanuel Macron au palais présidentiel de l'Elysée pour faire le point sur les intenses négociations en cours pour tenter de mettre fin à la guerre en Ukraine, a constaté un journaliste de l'AFP.

Cette nouvelle visite en France, la dixième depuis le début de l'invasion russe de l'Ukraine en février 2022, intervient au lendemain de discussions entre délégations américaine et ukrainienne en Floride, et à la veille d'une rencontre à Moscou entre l'émissaire de Donald Trump, Steve Witkoff, et le président russe Vladimir Poutine.