Les ambassades du continent célèbrent la 60e Journée de l'Afrique à Riyad

Les ambassadeurs africains ont célébré le 60e anniversaire de la Journée de l'Afrique à Riyad. (Fourni)
Les ambassadeurs africains ont célébré le 60e anniversaire de la Journée de l'Afrique à Riyad. (Fourni)
Les ambassadeurs africains ont célébré le 60e anniversaire de la Journée de l'Afrique à Riyad. (Fourni)
Les ambassadeurs africains ont célébré le 60e anniversaire de la Journée de l'Afrique à Riyad. (Fourni)
Les ambassadeurs africains ont célébré le 60e anniversaire de la Journée de l'Afrique à Riyad. (Fourni)
Les ambassadeurs africains ont célébré le 60e anniversaire de la Journée de l'Afrique à Riyad. (Fourni)
Le doyen du corps diplomatique et ambassadeur de Djibouti en Arabie saoudite, Dya-Eddine Saïd Bamakhrama, lors de la réception organisée à l'occasion de la Journée de l'Afrique. (Fourni)
Le doyen du corps diplomatique et ambassadeur de Djibouti en Arabie saoudite, Dya-Eddine Saïd Bamakhrama, lors de la réception organisée à l'occasion de la Journée de l'Afrique. (Fourni)
L'ambassadeur du Cameroun, Iya Tidjani, qui est également le doyen du Groupe des ambassadeurs africains, lors de la réception organisée à l'occasion de la Journée de l'Afrique. (AN Photo/Rashid Hassan)
L'ambassadeur du Cameroun, Iya Tidjani, qui est également le doyen du Groupe des ambassadeurs africains, lors de la réception organisée à l'occasion de la Journée de l'Afrique. (AN Photo/Rashid Hassan)
Les ambassadeurs africains ont célébré le 60e anniversaire de la Journée de l'Afrique à Riyad. (Fourni). (AN Photo/Rashid Hassan)
Les ambassadeurs africains ont célébré le 60e anniversaire de la Journée de l'Afrique à Riyad. (Fourni). (AN Photo/Rashid Hassan)
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Publié le Vendredi 26 mai 2023

Les ambassades du continent célèbrent la 60e Journée de l'Afrique à Riyad

  • Le 60e anniversaire de la Journée de l'Afrique a été célébré en grande pompe par les ambassades du continent à Riyad jeudi dernier
  • Depuis leur arrivée au pouvoir, le roi Salmane et le prince héritier, Mohammed ben Salmane, ont reçu plus de quarante chefs d'État africains

RIYAD: Le 60e anniversaire de la Journée de l'Afrique a été célébré en grande pompe par les ambassades du continent à Riyad jeudi dernier.

La Journée de l'Afrique est la commémoration annuelle de la formation de l'Organisation de l'unité africaine (OUA), le 25 mai 1963. L'Union africaine (UA) est le successeur de l'OUA.

Une réception organisée par le groupe des ambassadeurs d'Afrique a eu lieu au Palais culturel du quartier diplomatique mercredi dernier. Elle proposait également une exposition culturelle, cuisine et musique.

C'est cette même année, en 1963, que les chefs des États africains indépendants se sont réunis à Addis-Abeba, en Éthiopie, avec les dirigeants des mouvements de libération du continent, afin d'élaborer une solution pour sortir de l'impérialisme, du colonialisme et de l'apartheid.

Cette réunion a débouché sur la création de la première institution continentale africaine postindépendance, l'OUA. Destinée à concrétiser la vision panafricaine d'une région libre, elle a été consacrée par la charte de l'OUA, adoptée le 25 mai 1963.

Sami al-Saleh, ministre d'État adjoint aux affaires africaines, au nom du ministre des Affaires étrangères, le prince Faisal ben Farhane, de hauts fonctionnaires saoudiens, des chefs de missions étrangères et des diplomates ont assisté à la réception organisée au palais de la culture.

À cette occasion, le doyen du corps diplomatique et ambassadeur de Djibouti en Arabie saoudite, Dya-Eddine Saïd Bamakhrama, a déclaré que «les relations entre l'Arabie saoudite et l'Afrique ont une longue histoire en raison de la proximité géographique de la péninsule Arabique et du continent africain».

«Ces relations se sont développées avec une quarantaine d'ambassades africaines représentées à Riyad, sur les cinquante-cinq États membres de l'Union africaine. L'Arabie saoudite possède également trente-cinq ambassades dans les capitales des pays africains, ce qui atteste de la profondeur des liens, de la communication, de l'importance de ces relations et des intérêts communs», a-t-il ajouté.

Depuis leur arrivée au pouvoir, le roi Salmane et le prince héritier, Mohammed ben Salmane, ont reçu plus de quarante chefs d'État africains à l’occasion de leurs visites au Royaume, en plus des nombreux déplacements du ministre saoudien des Affaires étrangères dans les pays africains.

«Cela témoigne de l'important mouvement et de l'élan diplomatique entre l'Arabie saoudite et les pays africains», a déclaré M. Bamakhrama.

L'un éléments importants, qui tient lieu de modèle, de la coopération entre l'Arabie saoudite et l'Afrique est le Fonds de développement saoudien. Ce dernier réalise de vastes projets de développement dans les pays africains, a-t-il également indiqué, ajoutant que la Banque islamique de développement dispose de projets similaires.

«Nous ne pouvons pas ignorer le rôle du Centre d’aide humanitaire et de secours du roi Salmane [KSRelief] et ses efforts en Afrique. Le centre a fourni aide et assistance aux pays africains en temps de crise et de catastrophes naturelles et il a mis en œuvre divers projets humanitaires dans différentes parties du continent», a souligné l'envoyé.

«Nous attendons avec beaucoup d'espoir et d'optimisme le prochain sommet saoudo-africain, qui se tiendra à la fin de l'année à Riyad, car les ambitions de la coopération saoudo-africaine sont importantes», a-t-il poursuivi.

L'ambassadeur du Cameroun en Arabie saoudite, Iya Tidjani, qui est également le doyen du groupe des ambassadeurs africains, s’est pour sa part exprimé en ces termes: «Cette année, nous célébrons la Journée de l'Afrique sous le thème “Notre Afrique, notre avenir” avec l’objectif de façonner l'image de l'Afrique en racontant le parcours du continent depuis le 25 mai 1963, lorsque les dirigeants de trente États africains ont signé la charte fondatrice de l'Organisation de l’unité africaine. L’OUA s'est transformée avec la création de la Communauté économique africaine, en 1991 et, enfin, de l'Union africaine, en 2002.»

La zone de libre-échange continentale africaine (Zleca) a été établie en 2018 pour faciliter la libre circulation des biens, des services et des personnes à travers le continent en supprimant les barrières commerciales et en favorisant le commerce transfrontalier, a-t-il précisé.

Les relations commerciales entre l'Afrique et l'Arabie saoudite ont connu une croissance rapide pour atteindre 87 milliards de dollars (1 dollar = 0,93 euro) en 2019, a-t-il encore affirmé.

«Pour tirer parti de tout le potentiel des économies montantes du continent, nous appelons les milieux d'affaires saoudiens et les multinationales basées dans le Royaume et dans la région du Golfe à établir des liens solides avec leurs homologues africains», a ajouté M. Tidjani.

«Nous tenons également à remercier les autorités saoudiennes d'avoir entrepris une opération d'évacuation sans faille et d'avoir apporté une aide humanitaire rapide aux étrangers, aux expatriés et aux ressortissants soudanais qui fuient une guerre violente en passant par Port-Soudan jusqu'au port naval et à la base aérienne de Djeddah», a-t-il fait savoir.

«En tant que groupe d'ambassadeurs africains, nous saluons les efforts inlassables déployés par le gouvernement saoudien, en collaboration avec d'autres partenaires, en vue de parvenir à un cessez-le-feu durable et à une résolution pacifique du conflit au Soudan», a-t-il conclu.

 

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Le festival Balad Al-Fan de Djeddah est un havre pour les âmes créatives

Un spectacle musical régale le public du festival Balad Al-Fan à Jeddah. (Photo AN de Saleh Fareed)
Un spectacle musical régale le public du festival Balad Al-Fan à Jeddah. (Photo AN de Saleh Fareed)
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  • Le festival, qui a débuté le 5 avril est organisé par Zawiya 97 en coopération avec le ministère de la culture.
  • Le festival propose des concours artistiques, des ateliers, des débats culturels, des marchés de fin de semaine et des spectacles de musique en direct.

DJEDDAH : Le quartier historique d'Al-Balad à Jeddah s'est une fois de plus transformé en un centre artistique dynamique à l'occasion de la deuxième édition du festival Balad Al-Fan, qui se déroule jusqu'au 13 juin.

Le festival, qui a débuté le 5 avril est organisé par Zawiya 97 en coopération avec le ministère de la culture, propose plus de 90 événements, dont des concours artistiques, des ateliers créatifs, des conférences culturelles, des ateliers scolaires, des spectacles en direct et des marchés de fin de semaine. 

Hashem Al-Shawi explique aux participants le processus de fabrication du savon lors du festival, tandis que Khloud Nass se prépare pour son cours de poterie. (Photo AN de Saleh Fareed)
Hashem Al-Shawi explique aux participants le processus de fabrication du savon lors du festival, tandis que Khloud Nass se prépare pour son cours de poterie. (Photo AN de Saleh Fareed)

Abdulrahman Al-Aseri, directeur général de Zawiya 97, a déclaré à Arab News : "Dans le prolongement de la mission de Zawiya 97, qui consiste à renforcer la présence culturelle et artisanale dans la Jeddah historique, nous plaçons la créativité au cœur de notre vision en associant le patrimoine vivant à l'esprit de l'innovation contemporaine. Grâce à notre participation à Balad Al-Fann 2, nous présentons plus de 90 événements artistiques et artisanaux visant à faire revivre le Jeddah historique avec une énergie artisanale".

Le festival comprend quatre week-ends thématiques : l'artisanat, la nature et la durabilité, le week-end de la jeunesse et "A Sweet-Scented Farewell", qui met l'accent sur les apothicaires d'Al-Balad.

"Cette saison, nous avons conçu une plateforme dynamique qui célèbre l'artisanat traditionnel, en le réimaginant par le biais de la durabilité, de la narration culturelle et de l'autonomisation des jeunes", a déclaré M. Al-Aseri. "Nous pensons que la créativité ne consiste pas simplement à avoir une idée, mais à insuffler une nouvelle vie dans les ruelles intemporelles d'Al-Balad. 

L'artiste visuel Khloud Nass animera l'un des ateliers. (Photos AN par Saleh Fareed)
L'artiste visuel Khloud Nass animera l'un des ateliers. (Photos AN par Saleh Fareed)

"Avec un nouveau groupe d'artisans distingués rejoignant notre programme d'incubation d'artisans, nous continuons à construire une communauté qui préserve le patrimoine et innove pour l'avenir. Nous invitons tous ceux qui partagent cette passion à participer à la renaissance de la Jeddah historique".

L'artiste visuelle Khloud Nass animera l'un des ateliers. Elle a déclaré : "J'ai travaillé avec Zawi : "Je travaille avec Zawiya 97 depuis un an pour former ceux qui veulent apprendre à travers des ateliers tels que la poterie. 

Azzam Al-Ghamdi de Dar Azzam travaillera avec des parfums tels que le musc, l'oud et la rose, afin de présenter l'art de la parfumerie en utilisant des plantes indigènes d'Arabie saoudite. (Photos AN par Saleh Fareed)
Azzam Al-Ghamdi de Dar Azzam travaillera avec des parfums tels que le musc, l'oud et la rose, afin de présenter l'art de la parfumerie en utilisant des plantes indigènes d'Arabie saoudite. (Photos AN par Saleh Fareed)

Azzam Al- Ghamdi, de Dar Azzam, travaillera avec des fragrances de musc, d'oud et de rose, pour présenter l'art de la parfumerie à partir de plantes indigènes d'Arabie saoudite.

Il a déclaré à Arab News : "Le savoir-faire traditionnel et le sol parfait pour la culture des plantes aromatiques du Royaume d'Arabie saoudite ont conféré au parfum un rôle central dans notre mode de vie. (Il est profondément ancré dans la culture saoudienne. L'utilisation de parfums à des fins culturelles et religieuses remonte à plusieurs siècles dans ce pays." 

Le festival offre aux visiteurs la possibilité de participer à divers concours, dont "Votre créativité fait revivre Al Balad" et "Artisanat et calligraphie". (Photo Fournie)
Le festival offre aux visiteurs la possibilité de participer à divers concours, dont "Votre créativité fait revivre Al Balad" et "Artisanat et calligraphie". (Fourni)

Outre la présentation de sa créativité, M. Al-Ghamdi forme également les visiteurs dans ses ateliers.

Hashem Al-Shawi propose des ateliers de fabrication de savon au festival. "Les méthodes de soins biologiques se sont toujours avérées fiables et je suis très heureux de participer à ce festival et de partager les différents types de savon et le processus de fabrication du savon", a-t-il déclaré.

Le festival offre également aux visiteurs la possibilité de participer à divers concours, dont "Votre créativité fait revivre Al Balad" et "Artisanat et calligraphie", qui leur permet de transformer les trottoirs et les espaces publics d'Al Balad en œuvres d'art, avec la possibilité de gagner des prix en espèces. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com  


L'académie saoudienne conclut un programme arabe en Espagne

La conférence a présenté la vision globale de l'académie, et a mis l'accent sur ses projets internationaux et sur les partenariats futurs avec les institutions espagnoles. (SPA)
La conférence a présenté la vision globale de l'académie, et a mis l'accent sur ses projets internationaux et sur les partenariats futurs avec les institutions espagnoles. (SPA)
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  • Le programme comprenait une série d'événements éducatifs et culturels dans des villes espagnoles telles que Madrid, Grenade et Cordoue.
  • Les activités comprenaient une exposition, des séminaires, des cours de formation, des tests de compétence linguistique et des concours pour les étudiants, organisés en partenariat avec des universités et des institutions espagnoles.

RIYAD : L'Académie mondiale du roi Salman pour la langue arabe a clôturé son programme du Mois de la langue arabe en Espagne, a rapporté l'agence de presse saoudienne.

Organisée tout au long du mois d'avril, cette initiative s'inscrit dans le cadre du projet global de l'académie visant à soutenir l'enseignement de l'arabe pour les locuteurs non natifs et à promouvoir la collaboration avec les institutions universitaires et culturelles internationales.

Le programme comprenait une série d'événements éducatifs et culturels dans des villes espagnoles telles que Madrid, Grenade et Cordoue.

Les activités comprenaient une exposition, des séminaires, des cours de formation, des tests de compétence linguistique et des concours pour les étudiants, organisés en partenariat avec des universités et des institutions espagnoles.

La Casa Arabe, l'université Rey Juan Carlos, l'université autonome de Madrid et l'université de Grenade figurent parmi les principaux collaborateurs. 

Ciblant les apprenants, les éducateurs et les spécialistes de la langue arabe, le programme proposait des sessions de formation, des activités de sensibilisation et des forums académiques.

Il s'est achevé à Cordoue par une conférence d'introduction et un forum ouvert aux passionnés de la langue arabe.

Cette conférence a permis de présenter la vision globale de l'académie, de mettre en lumière ses projets internationaux et d'envisager de futurs partenariats avec des institutions espagnoles.

L'initiative a également été mise en œuvre dans des pays tels que l'Ouzbékistan, l'Indonésie, la Chine, l'Inde, la France, le Brésil, la Thaïlande et la Malaisie, élargissant ainsi sa portée mondiale. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

 


La montagne Al-Tharwa de Najran révèle les histoires de l'art islamique primitif

Les rochers conservent de rares inscriptions islamiques qui constituent un témoignage historique du passé ancien et de la richesse de la civilisation islamique. (SPA)
Les rochers conservent de rares inscriptions islamiques qui constituent un témoignage historique du passé ancien et de la richesse de la civilisation islamique. (SPA)
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  • Les rochers conservent des inscriptions islamiques rares

RIYAD : Cachées dans le ruisseau de la montagne Al-Tharwa, au sud du parc du Roi Fahd dans la région de Najran, se trouvent des archives vivantes qui racontent l'histoire de l'art islamique primitif.

Les caractéristiques rocheuses de la montagne regorgent de preuves archéologiques importantes de la calligraphie islamique à ses débuts.

Les rochers conservent de rares inscriptions islamiques qui servent d'archives historiques reflétant le passé ancien et la richesse de la civilisation islamique.

Ces inscriptions témoignent de la précision et de la beauté de l'art et de la calligraphie islamiques à leurs débuts, révélant une phase de transition importante dans l'histoire de l'art et des écritures arabes.

La montagne Al-Tharwa devient ainsi un musée en plein air qui raconte des chapitres des débuts de la civilisation islamique.

Salem ben Ahmad ben Tairan, professeur de langues sémitiques, d'écritures anciennes et d'archéologie à l'Université du Roi Saoud, a déclaré : "Les inscriptions islamiques sont une source importante et fondamentale pour l'étude de l'histoire et de la civilisation islamiques.

Najran regorge d'un grand nombre de ces inscriptions qui remontent au début de la période islamique.

"Grâce à l'étude archéologique des inscriptions et des écrits anciens de la région, plus de 200 inscriptions islamiques coufiques ont été identifiées et documentées sur plusieurs sites, notamment sur la montagne Al-Tharwa à Saqam, au sud du Wadi Najran, où 33 inscriptions islamiques ont été trouvées, dont 26 appartiennent à des membres d'une même famille.

Bien que ces inscriptions ne soient pas datées, le style de l'écriture et les noms des personnes mentionnées indiquent qu'elles remontent aux deuxième et troisième siècles de l'ère chrétienne.

La plupart de ces inscriptions contiennent des phrases religieuses et des prières, exprimant la croyance en la mort, la confiance en Dieu, le monothéisme et les bénédictions sur le Prophète, ainsi que les signatures de leurs auteurs.

Abdullah Al-Suqour, membre du Club touristique de Najran et guide touristique agréé, a expliqué que la montagne Al-Tharwa est considérée comme un site archéologique et touristique important en raison des preuves historiques qu'elle contient, confirmant l'importance des premières inscriptions islamiques qui se distinguent par leur beauté, leur organisation et la précision de leurs structures linguistiques.

Il a noté que parmi ces inscriptions, certaines ont été écrites par des femmes qui ont gravé leur nom sur les rochers de la montagne dans des phrases commémoratives et religieuses, signe d'une période civilisée au cours de laquelle l'éducation s'est répandue dans toutes les sociétés.

M. Al-Suqour a ajouté que la montagne Al-Tharwa est une destination culturelle de premier plan qui renferme un riche patrimoine culturel d'inscriptions islamiques anciennes.

Ces trésors archéologiques ornent la montagne et constituent l'une des preuves les plus rares du développement précoce de la gravure et de la calligraphie islamique dans le sud de la péninsule arabique.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com