Journée saoudienne de spectacles culturels lors de l'Exposition horticole 2023 de Doha

L'Exposition horticole internationale 2023 de Doha a célébré la «Journée saoudienne» en présence de responsables saoudiens et internationaux. (SPA)
L'Exposition horticole internationale 2023 de Doha a célébré la «Journée saoudienne» en présence de responsables saoudiens et internationaux. (SPA)
L'Exposition horticole internationale 2023 de Doha a célébré la «Journée saoudienne» en présence de responsables saoudiens et internationaux. (SPA)
L'Exposition horticole internationale 2023 de Doha a célébré la «Journée saoudienne» en présence de responsables saoudiens et internationaux. (SPA)
L'Exposition horticole internationale 2023 de Doha a célébré la «Journée saoudienne» en présence de responsables saoudiens et internationaux. (SPA)
L'Exposition horticole internationale 2023 de Doha a célébré la «Journée saoudienne» en présence de responsables saoudiens et internationaux. (SPA)
L'Exposition horticole internationale 2023 de Doha a célébré la «Journée saoudienne» en présence de responsables saoudiens et internationaux. (SPA)
L'Exposition horticole internationale 2023 de Doha a célébré la «Journée saoudienne» en présence de responsables saoudiens et internationaux. (SPA)
L'Exposition horticole internationale 2023 de Doha a célébré la «Journée saoudienne» en présence de responsables saoudiens et internationaux. (SPA)
L'Exposition horticole internationale 2023 de Doha a célébré la «Journée saoudienne» en présence de responsables saoudiens et internationaux. (SPA)
Short Url
Publié le Samedi 06 janvier 2024

Journée saoudienne de spectacles culturels lors de l'Exposition horticole 2023 de Doha

  • Les intervenants ont mis en avant les succès du Royaume dans ses actions pour parvenir à la durabilité et préserver les ressources naturelles
  • Ils ont également salué d'autres réalisations effectuées dans le cadre du plan national de développement et de diversification de la Vision 2030 de l’Arabie saoudite

RIYAD: L'Exposition horticole internationale 2023 de Doha a organisé vendredi une «Journée saoudienne» spéciale, qui comprenait des spectacles et des activitésmettant en valeur le folklore, le patrimoine, l'histoire et les réalisations du Royaume.

Parmi les invités à cette célébration, qui a eu lieu à l'Expo House, figuraient l'ambassadeur saoudien au Qatar, le prince Mansour ben Khaled, le ministre qatari des municipalités, Abdulla Al-Subaie, ainsi que les ambassadeurs et autres représentants des pays participant à l'exposition, a rapporté la Saudi Press Agency.

Mansour Al-Mushaiti, vice-ministre saoudien de l'Environnement, de l'eau et de l'agriculture, a déclaré que la participation du Royaume à l'exposition était une affirmation de son leadership mondial dans tous les domaines liés à ses efforts pour parvenir à la durabilité et préserver les ressources naturelles.

Il a salué les réalisations effectuées dans le cadre du plan national de développement et de diversification de la Vision 2030 du Royaume, en particulier dans le secteur agricole, notamment les dispositions du Fonds de développement agricole, sous forme de prêts et de facilités à long terme pour des projets stratégiques d'une valeur de 50 milliards de SR (13,3 milliards de dollars).

Mansour Al-Mushaiti a également souligné le rôle pionnier du Royaume dans le domaine de l'énergie et la voie continue qu’il suit vers la durabilité, à travers le lancement d'initiatives locales et internationales liées à l'énergie propre, à la réduction des émissions de carbone, à l'augmentation des espaces verts et à la gestion durable des déchets.

Il a précisé qu’avant le lancement de la Vision 2030 en 2016, moins de 4% de la superficie totale du Royaume était considérée comme réserves naturelles et zones de conservation. Un objectif avait été fixé pour augmenter ce chiffre de 15% d’ici 2030, sachant que ce chiffre a déjà atteint en réalité 16%.

Le Royaume, en coopération avec le G20, a créé une plate-forme pour discuter des questions internationales liées à l'eau, son travail se poursuivant lors des réunions du groupe, a ajouté Al-Mushaiti. La création de l'Organisation mondiale de l'eau a été annoncée à Riyad en septembre, en vue de stimuler l'innovation dans les solutions techniques aux défis liés à l'eau, ainsi que pour contribuer à garantir que les questions liées à l'eau figurent en tête de l’agenda international, a-t-il déclaré, ajoutant que le Fonds saoudien pour le développement a fourni un financement de plus de 6 milliards de dollars à des pays dans quatre continents.

En outre, l'Arabie saoudite a eu la première place dans l'indice de maturité des services gouvernementaux électroniques et de téléphonie mobile pour 2022, a indiqué Al-Mushaiti. Elle est désormais considérée comme un modèle pionnier pour le monde dans ses efforts visant à réduire la fracture numérique, en particulier son succès dans le développement de l’infrastructure numérique accessible à 99%de la population.

L'Arabie saoudite se classe également au deuxième rang en termes de compétitivité numérique parmi les pays du G20, selon le Centre européen pour la compétitivité numérique, et au quatrième rang mondial en termes de préparation à la réglementation numérique, a ajouté le vice-ministre.

Il a indiqué que la participation active des femmes saoudiennes au marché du travail du pays dépassait déjà l’objectif de 30% fixé par Vision 2030, une réalisation qui, selon lui, reflétait l’engagement du Royaume en faveur de l’autonomisation des femmes.

Saleh ben Abdel Mohsen ben Dakhil, superviseur général de la participation du Royaume à l'exposition, a remercié le Qatar pour avoir accueilli et organisé cet événement, et pour ses efforts visant à créer une atmosphère idéale pour présenter les réalisations du Royaume.

Vision durable 

Il a également félicité les dirigeants et le peuple saoudiens pour avoir remporté l'organisation de l'Exposition universelle 2030 à Riyad.

Il a déclaré à propos de l'Exposition horticole: «La participation du Royaume à cet événement mondial présente une vision durable basée sur un développement global, et la réalisation d'un équilibre entre l'environnement, l'agriculture et l'eau.

«Cela repose également sur un engagement à atteindre les objectifs de la Vision 2030, qui est cohérent avec le slogan de l’exposition – «Désert vert et Meilleur environnement» – pour contribuer à la recherche et à l’adoption de solutions innovantes afin de lutter contre la désertification.»

Il a ajouté que le pavillon saoudien de cet événement avait attiré plus de 400 000 visiteurs du monde entier grâce à la diversité impressionnante de son contenu, qui reflète la richesse et la variété de la splendeur naturelle et des terres du Royaume.

Ce pavillon offre une vitrine numérique innovante des projets de durabilité agricole et environnementale du Royaume, de ses meilleures pratiques et innovations, ainsi que de plus de 80 projets et initiatives réussis liés aux principaux objectifs de l'exposition.

Ben Dakhil a précisé que les dirigeants saoudiens avaient développé une vision ambitieuse pour améliorer la qualité de vie dans le pays et assurer un avenir meilleur à sa jeunesse. Au premier plan figurent les Initiatives vertes de l'Arabie saoudite et du Moyen-Orient, a-t-il ajouté, à travers lesquelles le Royaume déploie de grands efforts pour parvenir à un avenir durable et vert en transformant les objectifs ambitieux de la Vision 2030 en réalité tangible.

L'Exposition horticole internationale 2023 de Doha a commencé le 2 octobre de l'année dernière et se poursuivra jusqu'au 28 mars.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Des artistes français présentent une expérience artistique envoûtante à Djeddah

Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Short Url
  • «C’est un réel plaisir d’être ici, en particulier à Hayy Jameel, où nous mêlons l’art et la science pour créer une expérience sensorielle sans équivalent»
  • «Nous abordons les données non comme de simples codes, mais comme des sensations, ce qui nous permet de caractériser l’expérience et de la partager»

DJEDDAH: L’artiste Paul Marlier et la danseuse Jeanne Morel présentent une exposition d’art numérique interactive baptisée «ETH3R» au centre culturel de Djeddah, Hayy Jameel.

Les deux créateurs français exposent des œuvres immersives réalisées à partir des données biométriques de Jeanne Morel recueillies pendant qu’elle effectue des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur.

Ce mélange unique de technologie et de créativité a captivé le public en raison de la réflexion qu’il offre sur la réalité et du contraste saisissant qu’il présente avec la nature souvent banale de la vie quotidienne.

Dans une interview accordée à Arab News, Paul Marlier évoque le processus créatif qui est à l’origine de cette œuvre numérique. Il explique également comment ces productions sont inspirées par les données humaines et scientifiques qu’il a recueillies.

«C’est un réel plaisir d’être ici, en particulier à Hayy Jameel, où nous mêlons l’art et la science pour créer une expérience sensorielle sans équivalent», déclare-t-il. «Cette expérience représente l’ADN du monde, la danse de nos âmes.»

«ETH3R présente des tableaux, mais aussi des installations dynamiques qui sont dérivées des données biométriques de ma femme, Jeanne Morel, qui danse dans des environnements divers et extrêmes, des profondeurs de l’océan jusque dans les hautes altitudes où s’entraînent les astronautes», poursuit-il.

Paul Marlier a fusionné ces données scientifiques sur la physiologie humaine avec d’autres informations comme la qualité de l’air, l’imagerie satellite et même des faits relatifs à la mer Rouge. «Ces œuvres d’art sont des empreintes émotionnelles qui rappellent des moments de grâce. Il s’agit d’un véritable travail de collaboration.»

Expliquant le processus, il précise: «Jeanne, équipée de capteurs semblables à un pinceau, est le catalyseur. Ses émotions lorsqu’elle danse sont traduites grâce à des codes en art numérique tel qu’on peut le voir dans les peintures. Nous explorons les thèmes de la fragilité, de la spiritualité et de l’unité inhérente entre l’homme et la nature – la danse universelle.»

«Nous abordons les données non comme de simples codes, mais comme des sensations, ce qui nous permet de caractériser l’expérience et de la partager. En recueillant une multitude d’informations de cette danseuse singulière, nous nous efforçons de matérialiser l’essence de la grâce», souligne Paul Marlier.

«La danse est le moyen d’exprimer ses émotions les plus profondes, de manière parfois plus simple qu’avec des mots», explique pour sa part Jeanne Morel.

«C’est l’allégorie de la vie. Elle me permet de rester vivante, connectée aux mouvements du monde. Nos corps sont constamment en train de danser, de bouger, sur cette terre qui elle-même danse autour du soleil et reste en équilibre grâce à la gravité», ajoute la danseuse.

À propos de leur première visite dans le Royaume, Paul Marlier livre cette observation: «Les gens sont très accueillants ici. La spiritualité et la poésie sont très présentes.»

«Nous admirons la spiritualité et l’ouverture d’esprit de ce pays pour tout ce qui touche l’art, notamment l’art numérique», ajoute son épouse.

«Observer des œuvres d’art qui dépassent les frontières a été un voyage envoûtant qui a captivé nos sens et a suscité l’émerveillement face à la fusion de l’art et de la technologie. Les démonstrations en direct et la danse ont été incroyablement relaxantes. Cela nous a permis de nous évader sereinement dans un autre monde, imaginaire», confie Walid Harthi, un passionné d’art.

L’exposition se tient jusqu’au 11 mai.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


A la Fondation Vuitton, «  L'Atelier Rouge  » de Matisse comme un manifeste

L'exposition s'ouvre par une phrase de Matisse expliquant à son mécène russe, Sergueï Chtchoukine, qu'il a fait "quelque chose de nouveau". (AFP).
L'exposition s'ouvre par une phrase de Matisse expliquant à son mécène russe, Sergueï Chtchoukine, qu'il a fait "quelque chose de nouveau". (AFP).
Short Url
  • "L'Atelier rouge" (1911) est exposé à partir de samedi à la Fondation Vuitton à Paris, où il pourrait livrer quelques-uns de ses secrets
  • L'assiette peinte par Matisse en 1907 figurant à l'avant-plan de "L'Atelier rouge" provient, elle, de la collection du MoMA comme le tableau lui-même, acquis par le musée new-yorkais en 1949

PARIS: Comme un manifeste, il a inspiré d'innombrables peintres abstraits américains, ce qu'Henri Matisse ne savait pas lorsqu'il l'a peint: "L'Atelier rouge" (1911) est exposé à partir de samedi à la Fondation Vuitton à Paris, où il pourrait livrer quelques-uns de ses secrets.

L'exposition réunit en effet pour la première fois toutes les œuvres présentes dans ce tableau, une quinzaine de toiles et de sculptures qui se trouvaient dans l'atelier de l'artiste à Issy-les-Moulineaux, en région parisienne.

Certaines sont célèbres, comme "Le Jeune Marin II" (1906), exposé en France pour la première fois depuis 31 ans. D'autres moins, comme "La Corse, le vieux moulin" (1898).

L'assiette peinte par Matisse en 1907 figurant à l'avant-plan de "L'Atelier rouge" provient, elle, de la collection du MoMA comme le tableau lui-même, acquis par le musée new-yorkais en 1949 et qui fait partie de ses œuvres les plus prestigieuses, selon Ann Temkin, sa conservatrice en chef.

Des documents d'archives inédits et d'autres œuvres éclairent le contexte de création de ce "tableau-énigme", selon l'expression de la commissaire générale Suzanne Pagé, telles que "La Fenêtre bleue" (1913) du MoMA et "Grand Intérieur rouge" (1948) du Musée d'art moderne du Centre Pompidou.

Révélation

L'exposition s'ouvre par une phrase de Matisse expliquant à son mécène russe, Sergueï Chtchoukine, qu'il a fait "quelque chose de nouveau".

"Chtchoukine lui a passé commande, a acheté d'innombrables tableaux, dont +La Danse+ et +L'Atelier rose+, mais, cette fois, il refuse", raconte Mme Pagé.

"Dans sa première phase, les murs de l'atelier étaient bleus avec des rayures vertes, le sol rose et le mobilier ocre, représentant un intérieur avec une perspective traditionnelle".

"Matisse l'a laissé reposer pendant un mois et il va le recouvrir entièrement de rouge vénitien très rapidement avec une technique très fébrile", développe-t-elle.

Matisse "ne l'explique pas très bien lui-même. Il a eu une révélation". Le tableau fera "fonction de manifeste pour tous les artistes américains expressionnistes et la génération suivante, du type Mark Rothko puis Ellsworth Kelly. La représentation y est abolie au profit de l'abstraction", ajoute Mme Pagé.

A l'époque, souligne-t-elle, "tout le monde a pensé que Matisse tombait dans une espèce d'errance".

Montré à Londres, il y reçoit un accueil très froid, comme à New York, Boston et Chicago plus tard, au prestigieux Armory Show. Il finira dans un club privé londonien avant d'être revendu à un galeriste new-yorkais en 1940, puis d'entrer au MoMA en 1949.

Tableau « osé »

"L'histoire de l'art n'aurait pas été la même sans lui. C'est l'un des tableaux les plus osés de Matisse, qu'il a fait à l'aube de ses 40 ans, et c'est un moment d'expérimentation dans son travail qui a le plus influencé l'histoire de l'art du reste du XXe siècle", assure Mme Temkin.

"Lorsqu'il est arrivé au MoMA en 1949, c'était au moment où les artistes commençaient à utiliser de très grands formats avec des tableaux plein de couleurs. On raconte que la femme de Rothko se plaignait de le voir aller tout le temps voir +L'Atelier rouge+ au MoMA, ce à quoi il aurait répondu que, sans lui, elle n'aurait pas la maison dans laquelle elle vivait, façon de dire qu'il n'aurait pas eu lui-même la carrière qu'il a eue", confie-t-elle.

Parallèlement à Matisse, la fondation présente une exposition consacrée justement à un artiste américain de l'abstraction, Ellsworth Kelly (1923-2015), la plus grande de cette ampleur organisée à Paris où il vécut plusieurs années, intitulée "Formes et Couleurs", en collaboration avec le Glenstone Museum (Potomac, Maryland).

Connu pour ses œuvres monochromes, à mi-chemin entre peinture et sculpture, Ellsworth Kelly a aussi conçu pour la Fondation Vuitton le décor de son auditorium, juste avant de mourir.


La French touch pour un voyage de renouveau et de bien-être à Dubaï

Le Retreat Palm Dubai MGallery vous propose une expérience unique (fournie)
Le Retreat Palm Dubai MGallery vous propose une expérience unique (fournie)
Short Url
  • La journée commence par un petit déjeuner et une activité de poterie; c’est le point de départ d’une journée entièrement consacrée au bien-être holistique
  • Situé sur les rives de Palm Jumeirah, à Dubaï, l’hôtel bénéficie d'une vue imprenable sur le golfe Arabique

DUBAÏ: Le Retreat Palm Dubai MGallery propose à ses clients un véritable voyage avec le programme intitulé «MGallery Memorable Moments», récemment dévoilé.

Le MGallery fait partie de la chaîne hôtelière française Sofitel Hotels, basée à Paris.

Conçu pour offrir une journée inoubliable de relaxation et de rajeunissement, le MGallery offre aux touristes et aux résidents des Émirats arabes unis une expérience inoubliable de bien-être, loin de l'agitation de la ville et de la vie quotidienne.

La journée commence par un petit-déjeuner et une activité de poterie; c’est le point de départ d’une journée entièrement consacrée au bien-être holistique. Qu'il s'agisse de s'immerger dans le royaume de la thérapie «color and sound», de s'adonner à des expériences sportives ou de prendre soin de son visage, la chaîne française offre une expérience qui répond à tous les goûts.

«Ces rituels servent de marqueurs profonds dans votre voyage. Ils revigorent le corps, l'esprit et l'âme», confie ainsi Samir Arora, directeur général de MGallery.

«Chaque moment de ce séjour exceptionnel est soigneusement conçu pour vous laisser un sentiment d'équilibre intérieur et de renouveau», ajoute-t-il.

Le Retreat Palm Dubai MGallery est un hôtel de luxe marqué par la French touch.

Situé sur les rives de Palm Jumeirah, à Dubaï, l’hôtel bénéficie d'une vue imprenable sur le golfe Arabique et il offre à ses clients un espace serein où ils peuvent profiter d'un service personnalisé et d'expériences culinaires exquises.

Avec son mélange inimitable d'élégance contemporaine, le Retreat Palm Dubai MGallery offre une retraite inoubliable aux voyageurs exigeants qui sont à la recherche d'une expérience unique et enrichissante.