Soutien saoudien aux travaux de réparation à Aden après l’attaque meurtrière

Le Programme saoudien de développement et de reconstruction du Yémen (PSDRY) a créé une équipe chargée de détecter les dommages causés à l'aéroport d'Aden à la suite d'une attaque de missiles (Photo, SPA).
Le Programme saoudien de développement et de reconstruction du Yémen (PSDRY) a créé une équipe chargée de détecter les dommages causés à l'aéroport d'Aden à la suite d'une attaque de missiles (Photo, SPA).
Les travaux des spécialistes sont menés dans le cadre du Programme saoudien pour le développement et la reconstruction du Yémen (PSDRY) (Photo, SPA).
Les travaux des spécialistes sont menés dans le cadre du Programme saoudien pour le développement et la reconstruction du Yémen (PSDRY) (Photo, SPA).
Une équipe d'entrepreneurs, de consultants et d'experts techniques supervisera les travaux de réparation (Photo, SPA).
Une équipe d'entrepreneurs, de consultants et d'experts techniques supervisera les travaux de réparation (Photo, SPA).
«L'équipe a travaillé sur une intervention urgente pour lever les gravats en mettant en œuvre toutes les réparations dans les zones touchées, y compris la réparation des infrastructures et des travaux électriques, mécaniques et sanitaires» (Photo, SPA).
«L'équipe a travaillé sur une intervention urgente pour lever les gravats en mettant en œuvre toutes les réparations dans les zones touchées, y compris la réparation des infrastructures et des travaux électriques, mécaniques et sanitaires» (Photo, SPA).
«Une équipe d'ingénieurs affiliée au programme saoudien pour le développement et la reconstruction du Yémen était présente de toute urgence dans les 24 heures suivant l'explosion sur le site de l'aéroport» (Photo, SPA).
«Une équipe d'ingénieurs affiliée au programme saoudien pour le développement et la reconstruction du Yémen était présente de toute urgence dans les 24 heures suivant l'explosion sur le site de l'aéroport» (Photo, SPA).
L’inspecteur général du PSDRY avait signé un contrat pour la mise en œuvre de la deuxième phase du projet de rénovation de l'aéroport international d'Aden en début de semaine (Photo, SPA).
L’inspecteur général du PSDRY avait signé un contrat pour la mise en œuvre de la deuxième phase du projet de rénovation de l'aéroport international d'Aden en début de semaine (Photo, SPA).
«Le PSDRY adopte les meilleures pratiques de développement, de reconstruction et de leadership intellectuel dans le domaine du développement durable au Yémen tout en renforçant les relations historiques, culturelles et économiques entre le royaume et le Yémen» (Photo, SPA).
«Le PSDRY adopte les meilleures pratiques de développement, de reconstruction et de leadership intellectuel dans le domaine du développement durable au Yémen tout en renforçant les relations historiques, culturelles et économiques entre le royaume et le Yémen» (Photo, SPA).
L'équipe a inspecté l'ensemble du site en vue de faire l’inventaire des travaux nécessaires pour un fonctionnement de l'aéroport en toute sécurité (Photo, SPA).
L'équipe a inspecté l'ensemble du site en vue de faire l’inventaire des travaux nécessaires pour un fonctionnement de l'aéroport en toute sécurité (Photo, SPA).
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Publié le Samedi 02 janvier 2021

Soutien saoudien aux travaux de réparation à Aden après l’attaque meurtrière

  • Une équipe d'ingénieurs et d'experts supervisera les travaux de réparation
  • Le Yémen accuse les experts militaires iraniens d’avoir orchestré l’attaque

RIYADH: Une équipe d'experts en ingénierie soutenue par l'Arabie saoudite a été recrutée pour évaluer et réparer les dommages causés à l'aéroport d'Aden à la suite de l'attaque meurtrière par des missiles mercredi.

Les travaux des spécialistes sont menés dans le cadre du Programme saoudien pour le développement et la reconstruction du Yémen (PSDRY).

Le Yémen accuse les experts militaires iraniens d'avoir orchestré la frappe qui a fait des dizaines de morts et de blessés. Plusieurs missiles guidés ont frappé l'aéroport quelques instants après l'atterrissage d'un avion transportant des membres du cabinet du gouvernement Yéménite nouvellement formé.

Lors de la première réunion de son gouvernement à Aden, le Premier ministre yéménite Maeen Abdul Malik Saeed a affirmé que les premières informations montraient que Téhéran était à l'origine de l'attaque.

Dans une déclaration à l'Agence de presse saoudienne (SPA), le PSDRY a déclaré qu'une opération d'évaluation des dommages causés à l'aéroport était menée en coordination avec le gouvernement yéménite, les autorités locales du gouvernorat et l'administration de l'aéroport d'Aden.

«Une équipe d'ingénieurs affiliée au programme saoudien pour le développement et la reconstruction du Yémen était présente de toute urgence dans les 24 heures suivant l'explosion sur le site de l'aéroport», a ajouté le communiqué.

Une équipe d'entrepreneurs, de consultants et d'experts techniques supervisera les travaux de réparation. L’aéroport d’Aden est le deuxième plus grand aéroport du Yémen après celui de Sanaa, qui est sous le contrôle des Houthis soutenus par l'Iran.

«L'équipe a travaillé sur une intervention urgente pour lever les gravats en mettant en œuvre toutes les réparations dans les zones touchées, y compris la réparation des infrastructures et des travaux électriques, mécaniques et sanitaires», a indiqué le communiqué.

L'équipe a inspecté l'ensemble du site en vue de faire l’inventaire des travaux nécessaires pour un fonctionnement de l'aéroport en toute sécurité.

L’inspecteur général du PSDRY avait signé un contrat pour la mise en œuvre de la deuxième phase du projet de rénovation de l'aéroport international d'Aden en début de semaine, pour un coût de 54,4 millions de SR (14,5 millions de dollars), lors d'une cérémonie au siège du centre à Riyad en présence des ministres yéménites et des ambassadeurs de plusieurs pays ainsi que d'autres hauts responsables.

La première phase du projet consistait à répondre aux exigences de sécurité des aéroports internationaux, y compris la disposition de véhicules d'urgence. La deuxième étape se concentrera sur la conformité des règlements de l’Organisation de l’aviation civile internationale dans le but d’aider à améliorer la capacité de l’aéroport ainsi que la qualité des services.

Le PSDRY a participé dans plus de 193 projets dans les domaines de l'éducation, la santé, l'eau, l'énergie, les transports, l'agriculture et la pêche.

«Le PSDRY adopte les meilleures pratiques de développement, de reconstruction et de leadership intellectuel dans le domaine du développement durable au Yémen tout en renforçant les relations historiques, culturelles et économiques entre le royaume et le Yémen», a souligné le communiqué.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Gaza: la Défense civile annonce un bilan de 43 morts dont des enfants, près d'un point de distribution d'eau potable

A Nousseirat, dans le centre de Gaza, 20 personnes ont été tuées, dont dix y compris des enfants près d'un point de distribution d'eau potable, a ajouté M. Bassal. (AFP)
A Nousseirat, dans le centre de Gaza, 20 personnes ont été tuées, dont dix y compris des enfants près d'un point de distribution d'eau potable, a ajouté M. Bassal. (AFP)
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  • Dans le territoire assiégé, 43 Palestiniens ont été tués dimanche par des bombardements israéliens, a déclaré le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal
  • Parmi eux, 11 Palestiniens dont des femmes et des enfants ont péri dans des frappes sur un marché à Gaza-ville, dans le nord du territoire, et trois autres dans le camp de déplacés d'Al-Mawassi, dans le sud, selon lui

GAZA: La Défense civile a annoncé dimanche que des frappes israéliennes avaient tué 43 Palestiniens dans la bande de Gaza où Donald Trump espère que la situation sera "réglée" la semaine prochaine malgré le blocage des discussions sur un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas.

Les deux camps s'accusent mutuellement d'enrayer ces négociations lancées le 6 juillet à Doha par l'intermédiaire du Qatar, de l'Egypte et des Etats-Unis, pour mettre fin à 21 mois de guerre déclenchée par l'attaque du mouvement islamiste palestinien en Israël le 7 octobre 2023.

"Sur Gaza, nous discutons et nous espérons que ce sera réglé la semaine prochaine", a dit M. Trump dimanche soir, réitérant ses déclarations optimistes du 4 juillet.

La veille, sept agences de l'ONU avaient mis en garde contre le "niveau critique" de la pénurie de carburant à Gaza, qui constituait un "nouveau fardeau insupportable" pour "une population au bord de la famine".

"Seulement 150.000 litres de carburant ont pu entrer ces derniers jours", a déclaré dimanche à l'AFP le chef du réseau d'ONG palestiniennes à Gaza, Amjad Shawa, selon qui il faudrait "275.000 litres par jour pour répondre aux besoins essentiels".

Dans le territoire assiégé, 43 Palestiniens ont été tués dimanche par des bombardements israéliens, a déclaré le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal.

Parmi eux, 11 Palestiniens dont des femmes et des enfants ont péri dans des frappes sur un marché à Gaza-ville, dans le nord du territoire, et trois autres dans le camp de déplacés d'Al-Mawassi, dans le sud, selon lui.

A Nousseirat, dans le centre de Gaza, 20 personnes ont été tuées, dont dix y compris des enfants près d'un point de distribution d'eau potable, a ajouté M. Bassal.

L'armée israélienne a déclaré avoir visé un membre du Jihad islamique, un groupe armé allié du Hamas, mais a reconnu que "la munition était tombée à des dizaines de mètres de sa cible" en raison d'une "erreur technique".

"L'incident est en cours d'examen", a ajouté l'armée.

Elle a affirmé que son aviation avait, en 24 heures, "frappé plus de 150 cibles terroristes à Gaza".

"Ça suffit" 

A l'hôpital al-Aqsa de Deir al-Balah, des Palestiniens pleuraient la mort de proches tués à Nousseirat, près des dépouilles enveloppées dans des linceuls en plastique, selon des images de l'AFP.

"Notre message au monde: arrêtez la guerre. Ça suffit (...) Ils tuent des civils, il ne nous reste plus rien", a lancé Mahmoud al-Chami, un habitant de Nousseirat.

Compte tenu des restrictions imposées aux médias par Israël et des difficultés d'accès sur le terrain, l'AFP n'est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les bilans et affirmations des différentes parties.

L'attaque du 7 octobre 2023 a fait 1.219 morts du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de données officielles. Sur les 251 personnes enlevées, 49 sont toujours otages à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l'armée israélienne.

Au moins 58.026 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la campagne de représailles israéliennes à Gaza, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.

Dimanche, un bateau transportant des militants propalestiniens et de l'aide humanitaire a quitté la Sicile à destination de Gaza, un peu plus d'un mois après l'interception par Israël d'un précédent navire.

"Déplacement forcé" 

Une source palestinienne avait affirmé samedi que les négociations en vue d'une trêve rencontraient "des obstacles" et que le Hamas rejetait "totalement" un plan d'Israël prévoyant le maintien de ses forces "sur plus de 40% de la superficie de Gaza".

Selon cette source, l'objectif d'Israël est "d'entasser des centaines de milliers de déplacés" dans le sud de Gaza, "en préparation d'un déplacement forcé de la population vers l'Egypte ou d'autres pays".

Une deuxième source palestinienne a néanmoins fait état de "progrès" sur les questions liées à l'entrée de l'aide humanitaire et l'échange d'otages israéliens contre des prisonniers palestiniens.

"Israël a démontré sa volonté de faire preuve de flexibilité dans les négociations", a rétorqué un responsable israélien, en accusant le Hamas de chercher "à saboter les négociations".

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a réaffirmé ces derniers jours les objectifs d'Israël: libérer les otages, désarmer le Hamas et le chasser de Gaza, où le mouvement islamiste a pris le pouvoir en 2007.

Dimanche, des proches d'otages ont à nouveau manifesté à proximité du bureau de M. Netanyahu à Jérusalem, pour réclamer leur retour, et ont projeté sur des immeubles voisins des portraits géants des captifs.

"La majorité absolue des gens (...) veut ramener tous les otages et mettre fin à la guerre", a affirmé à l'AFP Yotam Cohen, dont le frère Nimrod fait partie des otages.


Syrie: des affrontements dans une ville à majorité druze font 37 morts

Au moins quinze combattants druzes ont été tués mercredi dans une embuscade près de Damas, a rapporté jeudi l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH). (AFP)
Au moins quinze combattants druzes ont été tués mercredi dans une embuscade près de Damas, a rapporté jeudi l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH). (AFP)
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  • Des affrontements entre tribus bédouines et combattants locaux dans la ville à majorité druze de Soueïda, dans le sud de la Syrie, ont fait 37 morts, dont 27 druzes dont deux enfants et 10 bédouins, ainsi qu'une cinquantaine de blessés.
  • Le ministère a annoncé l'intervention d'unités de police, « en coordination avec le ministère de la Défense, pour résoudre le conflit, arrêter les affrontements, rétablir la sécurité, poursuivre les responsables de ces incidents

DAMAS : Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), basé au Royaume-Uni mais disposant d'un large réseau de sources en Syrie, des affrontements entre tribus bédouines et combattants locaux dans la ville à majorité druze de Soueïda, dans le sud de la Syrie, ont fait 37 morts, dont 27 druzes dont deux enfants et 10 bédouins, ainsi qu'une cinquantaine de blessés.

Basé au Royaume-Uni, mais disposant d'un large réseau de sources en Syrie, l'OSDH a revu à la hausse son bilan des affrontements, qui s'élève désormais à 37 morts, dont 27 druzes (dont deux enfants) et 10 bédouins, ainsi qu'à une cinquantaine de blessés.

Dans un communiqué, le ministère de l'Intérieur a exprimé sa « profonde inquiétude » après les heurts qui ont fait, selon lui, « plus de 30 morts et près de 100 blessés » dans le quartier d'al-Makous, dans l'est de Soueïda.

Le ministère a annoncé l'intervention d'unités de police, « en coordination avec le ministère de la Défense, pour résoudre le conflit, arrêter les affrontements, rétablir la sécurité, poursuivre les responsables de ces incidents et les déférer devant la justice compétente ».

Ces affrontements sont survenus « sur fond de tensions accumulées lors de périodes précédentes », a-t-il précisé.

Il s'agit des premiers affrontements meurtriers entre les deux communautés depuis les violences d'avril et de mai, qui avaient opposé les forces de sécurité syriennes à des combattants druzes, faisant plusieurs dizaines de morts.

Selon le site d'information local Sweida 24, qui cite des sources médicales, des « affrontements armés et des échanges de tirs d'obus » ont éclaté, et la route reliant Damas à Soueïda a été fermée en raison des violences.

Le gouverneur de Soueïda, Moustapha al-Bakour, a appelé les habitants à « faire preuve de retenue ». Plusieurs notables druzes ont également appelé au calme et demandé une intervention des autorités.

Avec quelque 700 000 habitants, la province de Soueïda abrite la plus importante communauté druze du pays, une minorité religieuse issue de la branche ismaélienne du chiisme. 

Les tensions entre les factions druzes et bédouines sont anciennes et des violences éclatent sporadiquement entre les deux groupes, notamment lorsque les Bédouins font paître leurs troupeaux sur des terres agricoles appartenant aux Druzes.

Après la chute du président Bachar al-Assad en décembre, qui a mis fin à 14 ans de guerre civile, les violences de début mars contre la communauté alaouite, plus de 1 700 morts puis contre les druzes ont ébranlé la confiance dans la capacité des nouvelles autorités, dirigées par le nouvel homme fort Ahmad al-Chareh, à protéger les minorités en Syrie.

En avril et en mai, des affrontements entre les nouvelles forces de sécurité et des combattants druzes ont fait plusieurs dizaines de morts, avant que des accords ne soient conclus entre des chefs locaux et religieux pour contenir l'escalade et intégrer les combattants druzes aux nouvelles structures de pouvoir. 

À la suite de ces affrontements, Israël, qui occupe le plateau du Golan depuis 1967 (annexé depuis 1981), a invoqué la protection des Druzes pour justifier plusieurs frappes, dont une début mai près du palais présidentiel à Damas.

Les Druzes sont surtout présents en Syrie, au Liban et en Israël, où l'on dénombre quelque 152 000 d'entre eux, selon les dernières données disponibles. Ce chiffre inclut les 24 000 Druzes qui habitent la partie annexée du Golan, dont moins de 5 % ont la nationalité israélienne.


La Défense civile à Gaza fait état d'au moins 27 morts dans des raids israéliens

Des membres d'une famille se tiennent près d'une enfant recevant des soins pour ses blessures à l'hôpital Al-Awda de Nuseirat, dans le centre de la bande de Gaza, à la suite des frappes israéliennes du 13 juillet 2025. (Photo par Eyad BABA / AFP)
Des membres d'une famille se tiennent près d'une enfant recevant des soins pour ses blessures à l'hôpital Al-Awda de Nuseirat, dans le centre de la bande de Gaza, à la suite des frappes israéliennes du 13 juillet 2025. (Photo par Eyad BABA / AFP)
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  • La Défense civile de la bande de Gaza a fait état de la mort de 27 Palestiniens, dont des enfants.
  • Selon le porte-parole de cette organisation de secours, les frappes, menées avant l'aube et tôt le matin, ont notamment touché des habitations et des camps de déplacés.

GAZA, TERRITOIRES PALESTINIENS : La Défense civile de la bande de Gaza a fait état de la mort de 27 Palestiniens, dont des enfants, dimanche, dans des frappes israéliennes à travers le territoire dévasté par 21 mois de guerre.

Selon le porte-parole de cette organisation de secours, les frappes, menées avant l'aube et tôt le matin, ont notamment touché des habitations et des camps de déplacés.

L'armée israélienne n'a pas commenté dans l'immédiat ces informations, interrogée par l'AFP.

À Gaza-ville, cinq Palestiniens, dont des femmes et des enfants, ont été tués dans une frappe nocturne contre une maison du camp de Chati, tandis que deux autres frappes, ayant touché des habitations, ont fait trois morts, dont une enfant, a précisé le porte-parole.

Dans le camp de réfugiés de Nousseirat, dans le centre de la bande de Gaza, dix personnes ont péri dans une frappe contre une maison, a-t-il ajouté. Six Palestiniens ont par ailleurs été tués le matin près d'un point de distribution d'eau potable à Nousseirat.

Trois autres ont trouvé la mort dans un raid contre le camp de déplacés d'Al-Mawassi, dans le sud du territoire.

Compte tenu des restrictions imposées aux médias par Israël, qui assiège Gaza, et des difficultés d'accès sur le terrain, l'AFP n'est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les bilans et les affirmations des différentes parties.