Miss Liban 2024: Un spectacle haut en couleurs au Beirut Waterfront, qui couronne Nada Koussa

Nada Koussa a été couronnée Miss Liban 2024 au Beirut Waterfront. (Photo par Arab News)
Nada Koussa a été couronnée Miss Liban 2024 au Beirut Waterfront. (Photo par Arab News)
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Publié le Dimanche 28 juillet 2024

Miss Liban 2024: Un spectacle haut en couleurs au Beirut Waterfront, qui couronne Nada Koussa

  • Koussa est originaire du village de Rahbe, dans l'Akkar, et est titulaire d'une maîtrise en psychologie clinique
  • Cette émission très attendue a présenté 15 candidates de différentes villes et régions devant un jury composé de huit femmes

BEYROUTH : Le Beirut Waterfront a accueilli samedi soir une vitrine de talents libanais étincelants : Nada Koussa, 26 ans, a été couronnée Miss Liban 2024, dans un contexte politique national et régional tendu.

Miss Liban 2022 et première dauphine de Miss Monde, Yasmina Zaytoun, a transmis le titre et le diadème à sa successeure Koussa, qui a devancé ses concurrentes Sarah Leen Bou Jaoude, première dauphine, Gael Balian, deuxième dauphine, et Melissa Kozah et Sibelle Bou Chaaya, respectivement quatrième et cinquième.

Koussa est originaire du village de Rahbe, dans l'Akkar, et est titulaire d'une maîtrise en psychologie clinique.

Cette émission très attendue a présenté 15 candidates de différentes villes et régions devant un jury composé de huit femmes : l'actrice Razane Jammal, le mannequin et blogueur de mode Nour Arida, la décoratrice d'intérieur Diane Ghandour, le mannequin et mondaine Georgina Rizk, le Dr Petra Khoury, la mondaine Paola Pharaon Rizk, la présentatrice de télévision Raya Abirached et la restauratrice Mireille Hayek.


Animé par l'actrice et animatrice de télévision libanaise Aimée Sayah, l'événement a été marqué par la prestation de l'icône de la chanson libanaise Elissa, qui a commencé par une interprétation de “Batmayel Aala El Beat”.

Parlant de l'autonomisation des femmes, le thème du concours de cette année, Elissa a déclaré que c'était “le secret de la continuité dans la vie, la volonté de se battre et surtout, lorsqu'elle réussit, d'élever d'autres femmes et de représenter son pays de la meilleure façon possible”.

À l'approche de l'événement, les fans de la chanteuse se sont retrouvés sur les réseaux sociaux pour deviner lequel des célèbres tubes de la chanteuse sera interprété lors de l'événement organisé par la Lebanese Broadcasting Corporation International (LBCI) et le ministère du Tourisme.

Des robes de soirée aux maillots de bain, les participantes ont été habillées par le styliste libanais Tony Ward et maquillées par le célèbre maquilleur Bassam Fattouh.

Fidèle à sa tradition, l'édition 2024 de Miss Liban a abordé sur scène une série de questions sociales d'actualité. Les candidates ont répondu à des questions sur l'autonomisation des femmes, les Jeux olympiques de Paris et l'importance du sport, les menaces de guerre et les actes humanitaires, ainsi que les défis auxquels est confrontée la jeunesse d'aujourd'hui.

Le joaillier libanais international Mouawad a fourni le diadème du “Cèdre de l'espoir” pour la cérémonie de cette année. C'est la deuxième fois que le célèbre joaillier crée le diadème officiel de Miss Liban.

La gagnante a été sélectionnée parmi les candidates choisies lors des auditions qui se sont déroulées entre décembre 2023 et février 2024. Les libanaises âgées de 18 à 27 ans étaient invitées à participer à ces auditions.

Des années d'instabilité et de crises accumulées au Liban n'ont pas empêché le glam et l'opportunité de célébrer la beauté. L'événement était une invitation renouvelée à soutenir le Liban dans le cadre de la campagne nationale 2024 du ministère du tourisme “Meshwar Rayhin Meshwar”, qui se traduit par “Nous partons en voyage”.

Malgré la situation géopolitique actuelle et les menaces d'escalade qui planent depuis le 7 octobre 2023, plus de 400 000 visiteurs ont été enregistrés pour juin 2024, des expatriés et des touristes négligeant les communications de voyage de plusieurs ambassades.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


La Saudi League en passe de rejoindre le top 3 mondial, selon le patron de la FIFA

La ligue est en passe de devenir l'une des trois meilleures au monde, a-t-il ajouté.  (Fourni)
La ligue est en passe de devenir l'une des trois meilleures au monde, a-t-il ajouté. (Fourni)
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  • Gianni Infantino souligne qu’un championnat national au rayonnement mondial attire plusieurs des meilleurs joueurs de la planète
  • Le football féminin dans le Royaume est également promis à une croissance accrue

DOHA : Gianni Infantino, président de la Fédération internationale de football association (FIFA), a déclaré que l’Arabie saoudite est devenue un pôle majeur sur la scène mondiale du football.

Il a salué les évolutions dynamiques observées ces dernières années, qui ont permis au Royaume d’acquérir une présence internationale significative et de développer un championnat national à la dimension mondiale, réunissant certaines des plus grandes stars du football, au premier rang desquelles Cristiano Ronaldo.

La ligue est en passe de devenir l'une des trois meilleures au monde, a-t-il ajouté. 

Dans un entretien exclusif accordé à Asharq Al-Awsat, publication sœur d’Arab News, le président de la FIFA a affirmé que l’équipe nationale saoudienne, après son exploit retentissant face à l’Argentine lors de la Coupe du monde 2022, demeure capable de rééditer de telles performances, potentiellement face à l’Espagne lors du Mondial 2026.

Il a souligné que le football saoudien a réalisé des progrès remarquables, non seulement au niveau de l’équipe nationale senior, mais également dans les catégories de jeunes. Il a également indiqué que le football féminin dans le Royaume est appelé à se développer davantage, grâce à l’attention croissante que lui portent les instances dirigeantes du football ces dernières années.

Gianni Infantino a par ailleurs exprimé sa satisfaction personnelle quant à l’organisation de la Coupe du monde 2034 en Arabie saoudite, décrivant le Royaume comme un pays accueillant, doté d’une culture riche, d’une cuisine savoureuse et d’un peuple remarquable — autant d’éléments qui, selon lui, contribueront au succès de ce grand événement footballistique.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Le festival Winter at Tantora revient à AlUla et célèbre un riche patrimoine culturel

Le festival tire son nom du Tantora, un cadran solaire antique situé au centre de la vieille ville. (SPA)
Le festival tire son nom du Tantora, un cadran solaire antique situé au centre de la vieille ville. (SPA)
Le festival tire son nom du Tantora, un cadran solaire antique situé au centre de la vieille ville. (SPA)
Le festival tire son nom du Tantora, un cadran solaire antique situé au centre de la vieille ville. (SPA)
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AlUla : Le festival Winter at Tantora a été lancé jeudi à AlUla. Il se déroulera jusqu’au 10 janvier et propose une saison culturelle célébrant le riche héritage civilisationnel, culturel et historique de la région.

Le programme du festival comprend une large palette d’activités culturelles, artistiques et traditionnelles, a rapporté l’Agence de presse saoudienne (SPA).

Parmi les attractions figurent Old Town Nights, Shorfat Tantora, When Shadow Tracks Us et le Carnaval d’Al-Manshiyah.


Le Forum d’Asilah distingué par le Prix du Sultan Qaboos pour la culture

Hatim Betioui, secrétaire général du Forum d’Asilah, reçoit le Prix et la Médaille du Sultan Qaboos pour la culture, les sciences, les arts et les lettres. (Photo: fournie)
Hatim Betioui, secrétaire général du Forum d’Asilah, reçoit le Prix et la Médaille du Sultan Qaboos pour la culture, les sciences, les arts et les lettres. (Photo: fournie)
Les lauréats du Prix du Sultan Qaboos avec le Dr Mohammed bin Saïd Al-Maamari, ministre omanais des Awqaf et des Affaires religieuses, et Habib bin Mohammed Al-Riyami, président du Centre supérieur du Sultan Qaboos pour la culture et les sciences. (Photo: fournie)
Les lauréats du Prix du Sultan Qaboos avec le Dr Mohammed bin Saïd Al-Maamari, ministre omanais des Awqaf et des Affaires religieuses, et Habib bin Mohammed Al-Riyami, président du Centre supérieur du Sultan Qaboos pour la culture et les sciences. (Photo: fournie)
Le prix est décerné en alternance : une année réservée aux Omanais, et l’année suivante ouverte à l’ensemble du monde arabe. (Photo: fournie)
Le prix est décerné en alternance : une année réservée aux Omanais, et l’année suivante ouverte à l’ensemble du monde arabe. (Photo: fournie)
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  • Hatim Betioui, secrétaire général du Forum d’Asilah, a été récompensé à Mascate par le Prix du Sultan Qaboos 2025 dans la catégorie des institutions culturelles privées
  • Cette distinction prestigieuse célèbre l’excellence culturelle arabe et souligne le rôle d’Oman dans la promotion de la pensée, des arts et des lettres

MASCATE: Lors d’une cérémonie organisée dans la capitale omanaise, Mascate, Hatim Betioui, secrétaire général du Forum d’Asilah, a reçu le Prix du Sultan Qaboos pour les institutions culturelles privées.

Hatim Betioui, secrétaire général de la Fondation du Forum d’Asilah, a été distingué mercredi soir à Mascate par le Prix des institutions culturelles privées (catégorie Culture), à l’occasion de la cérémonie de remise du Prix du Sultan Qaboos pour la culture, les arts et les lettres, dans sa douzième édition (2025). La cérémonie s’est tenue sous le patronage du Dr Mohammed bin Saïd Al-Maamari, ministre omanais des Awqaf et des Affaires religieuses, agissant par délégation de Sa Majesté le Sultan Haitham bin Tariq.

Lors de cette édition, le prix a également été attribué, aux côtés de la Fondation du Forum d’Asilah, à l’artiste égyptien Essam Mohammed Sayed Darwish dans le domaine de la sculpture (catégorie Arts), ainsi qu’à Hikmat Al-Sabbagh, connue sous le nom de Yumna Al-Eid, dans le domaine de l’autobiographie (catégorie Lettres).

Au cours de la cérémonie, Habib bin Mohammed Al-Riyami, président du Centre supérieur du Sultan Qaboos pour la culture et les sciences, a prononcé un discours dans lequel il a souligné le rôle et l’importance de ce prix, affirmant que cette célébration constitue une reconnaissance du mérite des lauréats, appelés à devenir des modèles d’engagement et de générosité intellectuelle.

Al-Riyami a également indiqué que l’extension géographique atteinte par le prix, ainsi que l’élargissement constant de la participation des créateurs arabes à chaque édition, résultent de la réputation dont il jouit et de la vision ambitieuse qui sous-tend son avenir. Il a mis en avant le soin apporté à la sélection des commissions de présélection et des jurys finaux, composés de personnalités académiques, artistiques et littéraires de haut niveau, spécialisées dans les domaines concernés, selon des critères rigoureux garantissant le choix de lauréats et d’œuvres prestigieux.

La cérémonie a également été marquée par la projection d’un film retraçant le parcours du prix lors de sa douzième édition, ainsi que par une prestation artistique du Centre omanais de musique.

En clôture de la cérémonie, le ministre des Awqaf et des Affaires religieuses a annoncé les domaines retenus pour la treizième édition du prix, qui sera exclusivement réservée aux candidats omanais. Elle portera sur : la culture (études sur la famille et l’enfance au Sultanat d’Oman), les arts (calligraphie arabe) et les lettres (nouvelle).

Il convient de rappeler que ce prix vise à rendre hommage aux intellectuels, artistes et écrivains pour leurs contributions au renouvellement de la pensée et à l’élévation de la sensibilité humaine, tout en mettant en valeur la contribution omanaise — passée, présente et future — à l’enrichissement de la civilisation humaine.

Le prix est décerné en alternance : une année réservée aux Omanais, et l’année suivante ouverte à l’ensemble du monde arabe. Chaque lauréat de l’édition arabe reçoit la Médaille du Sultan Qaboos pour la culture, les sciences, les arts et les lettres, assortie d’une dotation de 100 000 rials omanais. Pour l’édition omanaise, chaque lauréat reçoit la Médaille du mérite, accompagnée d’une dotation de 50 000 rials omanais.

Le prix a été institué par le décret royal n° 18/2011 du 27 février 2011, afin de reconnaître la production intellectuelle et cognitive et d’affirmer le rôle historique du Sultanat d’Oman dans l’ancrage de la conscience culturelle, considérée comme un pilier fondamental du progrès civilisationnel.