AlUla au cœur d'une nouvelle étape de coopération franco-saoudienne

 Il a la charge de suivre et piloter la mise en œuvre de l’accord intergouvernemental de 2018. Il réunit pour la France les Ministres de l’Europe et des Affaires étrangères, de l’Economie et de la Culture ou leurs représentants ainsi que, pour l’Arabie saoudite, les Ministres de la Culture, des Affaires étrangères et de l’Investissement ou leurs représentants. (AFP)
Il a la charge de suivre et piloter la mise en œuvre de l’accord intergouvernemental de 2018. Il réunit pour la France les Ministres de l’Europe et des Affaires étrangères, de l’Economie et de la Culture ou leurs représentants ainsi que, pour l’Arabie saoudite, les Ministres de la Culture, des Affaires étrangères et de l’Investissement ou leurs représentants. (AFP)
La tenue du comité ministériel franco-saoudien le 15 novembre s’inscrit dans le cadre d’un important dynamisme des relations bilatérales franco-saoudiennes, que la France souhaite continuer d’approfondir. (AFP)
La tenue du comité ministériel franco-saoudien le 15 novembre s’inscrit dans le cadre d’un important dynamisme des relations bilatérales franco-saoudiennes, que la France souhaite continuer d’approfondir. (AFP)
Le comité ministériel franco-saoudien relatif à Al-Ula est prévu par l’accord intergouvernemental conclu le 10 avril 2018 relatif au développement culturel, environnemental, touristique, humain et économique et à la valorisation du patrimoine dans le gouvernorat d’Al Ula dans le Royaume d’Arabie saoudite. (Photo SPA)
Le comité ministériel franco-saoudien relatif à Al-Ula est prévu par l’accord intergouvernemental conclu le 10 avril 2018 relatif au développement culturel, environnemental, touristique, humain et économique et à la valorisation du patrimoine dans le gouvernorat d’Al Ula dans le Royaume d’Arabie saoudite. (Photo SPA)
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Publié le Vendredi 15 novembre 2024

AlUla au cœur d'une nouvelle étape de coopération franco-saoudienne

  • La tenue du comité ministériel franco-saoudien le 15 novembre s’inscrit dans le cadre d’un important dynamisme des relations bilatérales franco-saoudiennes, que la France souhaite continuer d’approfondir.
  • Le comité ministériel franco-saoudien relatif à Al-Ula est prévu par l’accord intergouvernemental conclu le 10 avril 2018 relatif au développement culturel, environnemental, touristique, humain et économique et à la valorisation du patrimoine

PARIS: La commission ministérielle saoudo-française supervisant l’accord gouvernemental international, signé le 10 avril 2018 concernant le développement culturel, patrimonial, touristique, humain et économique de la province d'AlUla, s'est réunie vendredi à Paris pour sa deuxième session.

La réunion était coprésidée par le Prince Badr bin Abdullah bin Farhan Al Saoud, ministre saoudien de la Culture et gouverneur de la Commission royale pour AlUla (RCU), et Jean-Noël Barrot, ministre français de l'Europe et des Affaires étrangères. Y participaient également les ministres Rachida Dati (Culture), Antoine Armand (Économie), le Prince Faisal bin Farhan (Affaires étrangères saoudiennes), Khalid Al-Falih (Investissement), ainsi que Jean-Yves Le Drian, président exécutif de l'Agence française pour AlUla (AFALULA).

 

les personnalites presentes

La réunion du 15 novembre 2024 réunira

- Les Ministres Jean-Noël BARROT, Rachida DATI, le Prince Badr ben Abdallah AL SAOUD (ministre de la Culture d’Arabie saoudite), le Prince Faisal ben Farhan AL SAOUD (ministre des Affaires étrangères d’Arabie saoudite) et Khaled AL FALEH (ministre de l’Investissement d’Arabie saoudite).

- Monsieur Jean-Yves LE DRIAN (président exécutif de l’agence AFALULA) et Mme. Abir AL AKEL (présidente-directrice générale par intérim de la Commission Royale pour Al-Ula) seront également présents.

Les discussions ont porté sur la Villa Hégra, institution culturelle à but non lucratif, dont le concept architectural unique a été dévoilé, ainsi que sur les résultats des programmes de qualification 2023-2024. Ce projet, initié lors de la visite d'Emmanuel Macron à Djeddah en décembre 2021, s'inscrit dans une coopération renforcée avec l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Il permet d'approfondir les relations avec les institutions françaises leaders dans divers domaines comme la culture, le patrimoine et l'éducation.

Cette collaboration académique se concrétise par la création du Centre Jaussen-Savignac pour la recherche archéologique, établi à AlUla et à Paris 1, comprenant une chaire d'excellence et un programme de master en archéologie et conservation du patrimoine. Ce centre servira de plateforme pour la recherche, la publication et la promotion des travaux académiques sur le nord-ouest de l'Arabie Saoudite.

L'accord comprend également un programme de master et des formations annuelles en archéologie, conservation et restauration du patrimoine culturel.

La commission a mis l'accent sur le renforcement de la collaboration franco-saoudienne, soulignant les progrès significatifs à AlUla dans larchéologie, le sport, les arts et le développement urbain.

La France et l'Arabie Saoudite célèbrent vingt ans de coopération archéologique à AlUla, initiée à Hégra en 2002. Cette collaboration s'est illustrée en 2019 par l'exposition "AlUla, oasis des merveilles d'Arabie" à l'Institut du monde arabe de Paris. Le prêt d'une statue lihyanite au Louvre par la Commission royale d'AlUla témoigne de la solidité des liens culturels entre les deux pays.

Récemment, le projet "Khaybar à travers les âges", dirigé par Dr Guillaume Charlot, chercheur au Centre national français de la recherche scientifique (CNRS), et Dr Munira Al Mashouh, directrice des prospections archéologiques à la Commission royale pour AlUla, a révélé un village exceptionnel de l'âge du bronze dans l'oasis de Khaybar. Cette découverte démontre la transition d'un mode de vie pastoral nomade vers une société sédentaire dans la région durant la seconde moitié du troisième millénaire avant J.-C. Cette trouvaille remet en question l'idée reçue selon laquelle le modèle pastoral et bédouin dominait le nord-ouest de l'Arabie pendant l'âge du bronze ancien et moyen.

AlUla a noué des partenariats avec plus de 80 entreprises françaises dans divers secteurs. Alstom développe un tramway pilote, Ferrandi Paris contribue à la formation professionnelle, tandis qu'Accor gère les projets hôteliers. Le resort Sharaan et le Centre international des conférences, conçus par le célèbre architecte JJean Nouvel, sont en construction dans la réserve naturelle de Sharaan sous la direction de Bouygues Construction, en collaboration avec un leader saoudien du BTP, Almabani.

Dans le sillage du développement d'AlUla, la commission invite les institutions françaises à renforcer leur présence pour enrichir les échanges de connaissances et contribuer à l'essor de la région.

Le comité ministériel franco-saoudien relatif à Al-Ula est prévu par l’accord intergouvernemental conclu le 10 avril 2018 relatif au développement culturel, environnemental, touristique, humain et économique et à la valorisation du patrimoine dans le gouvernorat d’Al Ula dans le Royaume d’Arabie saoudite. Il a la charge de suivre et piloter la mise en œuvre de l’accord intergouvernemental de 2018. Il réunit pour la France les Ministres de l’Europe et des Affaires étrangères, de l’Economie et de la Culture ou leurs représentants ainsi que, pour l’Arabie saoudite, les Ministres de la Culture, des Affaires étrangères et de l’Investissement ou leurs représentants. Il inclut également le président de l’Agence française pour le développement d’Al Ula (AFALULA)) et la présidente de la Commission Royale saoudienne pour Al Ula (RCU).


Quatre chanteuses pour une diva: Céline Dion au coeur d'un nouveau spectacle hommage

Céline Dion se bat depuis 2022 contre le syndrome de la personne raide, une maladie neurologique incurable.  Après quatre ans sans se produire en public, elle était réapparue à la tour Eiffel lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, pour interpréter en mondovision l'intemporel "Hymne à l'amour" d'Édith Piaf. (AFP)
Céline Dion se bat depuis 2022 contre le syndrome de la personne raide, une maladie neurologique incurable. Après quatre ans sans se produire en public, elle était réapparue à la tour Eiffel lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, pour interpréter en mondovision l'intemporel "Hymne à l'amour" d'Édith Piaf. (AFP)
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  • Pour interpréter les plus grands tubes de Céline Dion, dont les fans espèrent le retour, quatre chanteuses se partagent l'affiche de "Génération Céline", spectacle hommage piloté par Erick Benzi, fidèle arrangeur de la star québécoise
  • Pour "Génération Céline", qui démarre vendredi à Beauvais (Oise) avant Paris ce week-end puis une tournée en 2026, il a écouté les maquettes de plus de 200 chanteuses avant de retenir une vingtaine de candidates pour les castings

PARIS: Pour interpréter les plus grands tubes de Céline Dion, dont les fans espèrent le retour, quatre chanteuses se partagent l'affiche de "Génération Céline", spectacle hommage piloté par Erick Benzi, fidèle arrangeur de la star québécoise.

"Il y a une vraie attente de se retrouver tous ensemble, de chanter, de danser sur les chansons qu'on connaît. Et je pense que Céline, elle incarne ça", s'enthousiasme Erick Benzi, aux manettes de ce "tribute", ou spectacle hommage, un format qui rencontre un vif succès en France comme à l'étranger.

Pour "Génération Céline", qui démarre vendredi à Beauvais (Oise) avant Paris ce week-end puis une tournée en 2026, il a écouté les maquettes de plus de 200 chanteuses avant de retenir une vingtaine de candidates pour les castings.

"D'abord, est-ce qu'on est capable de chanter +All by myself+ ? Il y a des chansons comme ça qui sont des espèces de couperets", lance Benzi, en référence au standard d'Eric Carmen repris par Céline Dion en 1996.

Quatre chanteuses ont été sélectionnées pour interpréter des tubes en français et en anglais, tels que "On ne change pas", "I'm alive" ou "My heart will go on", le thème du "Titanic" de James Cameron. Catherine Pearson - chanteuse québecoise qui officie déjà dans le spectacle "Passion Céline" au Canada -, Magali Ponsada, Chiara Nova et Virginie Rohart unissent leurs voix, aux ressemblances troublantes avec celle de leur idole.

Plutôt que de faire incarner la star par une seule artiste, il a préféré opter pour "le fun d'une soirée" où "on raconte sa vie musicale" comme "un groupe de fans", explique le directeur de ce show produit par Richard Walter, l'un des spécialistes des "tributes" (Queen, Pink Floyd).

"Populaire" 

"Je connais bien Céline, parce que j'ai fait quatre albums avec elle, donc je sais un peu comment raconter cette histoire-là sans la trahir, sans mettre quoi que ce soit en péril", assure Erick Benzi, qui a notamment œuvré sur son album culte "D'Eux", avec Jean-Jacques Goldman.

Mais "il faut être bien conscient qu'on ne peut pas remplacer Céline: ce n'est pas qu'une des cinq meilleures chanteuses du monde - déjà ça, c'est difficile à trouver - mais c'est aussi une icône de mode, un conte de fées", s'exalte celui qui fut aussi proche de son mari et mentor René Angélil, décédé en 2016.

Céline Dion se bat depuis 2022 contre le syndrome de la personne raide, une maladie neurologique incurable.

Après quatre ans sans se produire en public, elle était réapparue à la tour Eiffel lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, pour interpréter en mondovision l'intemporel "Hymne à l'amour" d'Édith Piaf.

L'amour du public tient en partie à sa musique, "à la fois très exigeante au niveau vocal et en même temps très populaire", relève Erick Benzi.

"Tribute to Céline Dion", "Entre-D'eux", "Destin": les spectacles-hommages à la star sont légion, portés par un répertoire qui reste une valeur sûre et la demande d'un public jamais rassasié.

D'autant que son éventuel retour, en concert ou à travers un nouvel album studio, alimente les rumeurs mais reste hypothétique à ce stade.

Les fans se consolent avec l'anniversaire de l'album "D'eux", sorti il y a 30 ans avec des chansons ("Pour que tu m'aimes encore", "Je sais pas") écrites par Goldman et devenues cultes. Il est encore le disque francophone le plus vendu au monde, à environ 10 millions d'exemplaires.

"Quand je serai plus là", déclarait la chanteuse de 57 ans dans un documentaire diffusé fin août sur M6, "je pense sincèrement qu'il sera encore joué et qu'il sera encore chanté".

 


Diriyah: écrin d’histoire, une exposition qui transporte les parisiens au cœur de l’Arabie Saoudite

D’emblée, l’exposition plonge le public dans une expérience multisensorielle. Les projections géantes des portes sculptées des maisons de la cité, décorées de pigments minéraux aux motifs simples et joyeux, rappellent le raffinement discret de l’architecture locale. (Photo Arlette Khouri)
D’emblée, l’exposition plonge le public dans une expérience multisensorielle. Les projections géantes des portes sculptées des maisons de la cité, décorées de pigments minéraux aux motifs simples et joyeux, rappellent le raffinement discret de l’architecture locale. (Photo Arlette Khouri)
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  • D’emblée, l’exposition plonge le public dans une expérience multisensorielle
  • Les projections géantes des portes sculptées des maisons de la cité, décorées de pigments minéraux aux motifs simples et joyeux, rappellent le raffinement discret de l’architecture locale

PARIS: À peine franchi le seuil du Grand Palais Immersif à Paris, le visiteur de l’exposition « Diriyah : un écrin d’histoire » quitte le tumulte parisien pour se retrouver transporté au cœur de l’Arabie saoudite.
Le parcours débute par un long couloir aux murs sobres, délicatement éclairés, recouverts de tapis tissés artisanalement et ponctués de chants d’oiseaux.
À son terme, une porte massive en bois brut, sculptée selon la tradition ancestrale de Diriyah : l’immersion commence, dans une atmosphère d’apaisement et de sérénité.

D’emblée, l’exposition plonge le public dans une expérience multisensorielle. Les projections géantes des portes sculptées des maisons de la cité, décorées de pigments minéraux aux motifs simples et joyeux, rappellent le raffinement discret de l’architecture locale.
Plus loin, un salon inspiré des habitations traditionnelles accueille les visiteurs. Assis au son apaisant du oud, ils dégustent café et figues, un goûter authentique qui évoque l’hospitalité saoudienne.

L’exposition déroule ensuite une série d’images monumentales retraçant la vie quotidienne d’autrefois : cavalerie, danses, vannerie et artisanats. Mais le point d’orgue du parcours est une immersion totale d’environ quatre minutes dans les rues de Diriyah.
Le spectateur se retrouve au milieu des habitants, partagé entre marchés animés, activités agricoles et scènes de fête : une expérience surprenante, qui donne l’impression de voyager sans quitter Paris.

Diriyah ne se limite pas à son passé. Située aux portes de Riyad, elle est aujourd’hui au cœur de la Vision 2030 de l’Arabie saoudite, un vaste plan de développement qui fait du patrimoine et de la culture des leviers de rayonnement international.

Cette exposition n’est pas seulement une prouesse visuelle : elle incarne l’esprit d’une cité majeure de l’histoire saoudienne. Diriyah, berceau de l’État saoudien, est en effet le lieu où la dynastie Al Saoud a vu le jour au XVIIIᵉ siècle, au sein du site d’At-Turaif.
Inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, At-Turaif est un ensemble exceptionnel de palais et de demeures en briques de terre crue, restaurés avec soin et visités aujourd’hui par des millions de personnes. Il permet de revivre les origines politiques et culturelles du Royaume.

Mais Diriyah ne se limite pas à son passé. Située aux portes de Riyad, elle est aujourd’hui au cœur de la Vision 2030 de l’Arabie saoudite, un vaste plan de développement qui fait du patrimoine et de la culture des leviers de rayonnement international.
Diriyah s’étend sur 11,7 km² et se compose de quartiers mêlant espaces résidentiels, commerciaux et culturels. Le projet de développement prévoit plus de 30 hôtels, des parcs, des zones de loisirs, ainsi que la création de 178 000 emplois.

Depuis son ouverture au public en 2022, Diriyah a déjà attiré plus de trois millions de visiteurs.

Parmi ses joyaux contemporains, les terrasses de Bujairi séduisent par leurs restaurants raffinés et leurs boutiques, tandis que le wadi Hanifa, une vallée verdoyante transformée en oasis moderne, invite à la promenade entre arbres nouvellement plantés, pistes cyclables et sentiers équestres.
Ce mélange de patrimoine et de modernité fait de Diriyah une destination unique, alliant mémoire historique, innovation et respect de l’environnement.

« Nous voulons que les visiteurs s’imprègnent pleinement de la vie de Diriyah, qu’ils ressentent son passé, son présent et son avenir », explique Saeed Abdulrahman Metwali, directeur général de la stratégie d’orientation touristique et du design.
Selon lui, l’expérience immersive proposée à Paris est une manière de donner un avant-goût de la richesse culturelle et humaine que Diriyah réserve à ses visiteurs : « À travers ces images, on découvre les habitants, les marchés, les maisons et l’âme de la cité. L’idée est d’offrir une perception vivante et authentique, qui incite à venir découvrir Diriyah sur place. »

Les chiffres confirment d’ailleurs cet engouement : depuis son ouverture au public en 2022, Diriyah a déjà attiré plus de trois millions de visiteurs.
L’objectif est ambitieux : en accueillir 50 millions d’ici 2030, grâce à une offre hôtelière et culturelle sans cesse enrichie.

L’exposition parisienne, de courte durée (du 12 au 14 septembre), illustre la volonté de Diriyah de s’ouvrir à l’international et témoigne de sa stratégie visant à se positionner comme un lieu mondial du tourisme culturel, où se conjuguent tradition et modernité.


Un documentaire met en lumière le patrimoine environnemental des monts Al-Arma

La chaîne de montagnes Al-Arma est située dans la réserve royale du roi Khalid, au nord-est de Riyad. (SPA)
La chaîne de montagnes Al-Arma est située dans la réserve royale du roi Khalid, au nord-est de Riyad. (SPA)
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  • Le film présente de superbes images panoramiques des montagnes d'Al-Arma
  • Le film sera diffusé sur la chaîne Thaqafiya et disponible sur la plateforme Shahid

RIYAD: L'Autorité de développement de la réserve royale Imam Abdulaziz bin Mohammed a annoncé la production d'un nouveau film documentaire sur les monts Al-Arma, un point de repère environnemental situé dans la réserve royale du roi Khalid, au nord-est de Riyad.

Sami Al-Harbi, directeur de la communication de l'autorité, a déclaré que le film présente des images panoramiques époustouflantes des monts Al-Arma, ainsi que des points de vue d'experts et de chercheurs qui discutent de leur importance environnementale et historique particulière.

Il a ajouté que le film sera diffusé sur la chaîne Thaqafiya et disponible sur la plateforme Shahid.

M. Al-Harbi a déclaré que cette production médiatique s'inscrivait dans le cadre des efforts déployés par l'autorité pour sensibiliser à l'environnement et promouvoir l'écotourisme durable, conformément aux objectifs de la Saudi Vision 2030.