COP16: Le financement mixte est essentiel pour encourager l'entrepreneuriat durable, selon un fonctionnaire égyptien

Tamer Taha, conseiller en matière de numérisation et d'entrepreneuriat auprès du ministère égyptien de la coopération internationale. Capture d'écran).
Tamer Taha, conseiller en matière de numérisation et d'entrepreneuriat auprès du ministère égyptien de la coopération internationale. Capture d'écran).
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Publié le Mercredi 11 décembre 2024

COP16: Le financement mixte est essentiel pour encourager l'entrepreneuriat durable, selon un fonctionnaire égyptien

  • Selon un fonctionnaire, le concept de financement mixte, dans lequel des fonds publics, privés et d'entreprise sont fournis aux startups, est essentiel pour encourager l'entrepreneuriat durable à l'échelle mondiale.
  • Dans le contexte de l'appel mondial en faveur d'un avenir vert, le financement par actions des startups axées sur les technologies propres et le développement durable a chuté cette année.

RIYAD: Selon un fonctionnaire, le concept de financement mixte, dans lequel des fonds publics, privés et d'entreprise sont fournis aux startups, est essentiel pour encourager l'entrepreneuriat durable à l'échelle mondiale.

Lors de la COP16 qui s'est tenue à Riyad le 11 décembre, Tamer Taha, conseiller en matière de numérisation et d'entrepreneuriat auprès du ministère égyptien de la Coopération internationale, a souligné que les startups devraient s'efforcer d'attirer des investisseurs conscients des effets du changement climatique et de la nécessité d'adopter des pratiques durables.

Le financement mixte intègre la philanthropie, le financement public, les entreprises et les investisseurs du secteur privé ayant des attentes différentes en matière de risque et de rendement sous un même toit, qui est celui où ils investiront pour un projet particulier.

Dans le contexte de l'appel mondial en faveur d'un avenir vert, le financement par actions des startups axées sur les technologies propres et le développement durable a chuté cette année.

Selon les données obtenues par Crunchbase, les startups dans les catégories du développement durable, des VE et des technologies propres ont obtenu un financement d'une valeur de 9,6 milliards de dollars au cours du premier semestre de cette année, ce qui représente une baisse de 10 pour cent par rapport à la même période en 2023.

S'exprimant lors de l'événement à Riyad, Taha a déclaré: "L'entrepreneuriat durable est une activité qui concilie rentabilité et impact. Il aura une vision à long terme qui s'alignera sur les objectifs de développement durable des pays et des Nations unies".

Il a ajouté: "La région MENA ne reçoit que 1,5 pour cent du financement du capital-risque climatique, alors qu'elle est l'une des régions les plus touchées par le changement climatique. Encourager les entreprises à investir dans les startups, ainsi que rapprocher certains investissements des gouvernements et des fonds publics, pourrait aider les startups en phase de croissance".

Au cours de la discussion, il a également souligné que l'entrepreneuriat durable nécessitait également une coordination politique, une mise en réseau et un renforcement des capacités.

Taha a ajouté que les réglementations gouvernementales, qui comprennent l'octroi d'incitations et de subventions aux startups qui adhèrent aux initiatives de durabilité, sont également nécessaires pour encourager l'entrepreneuriat durable.

Il a également fait remarquer que le manque de compétences technologiques est l'un des principaux défis auxquels les startups sont confrontées lorsqu'elles poursuivent leur chemin vers la durabilité.

Selon Taha, la formation d'une équipe compétente sur le plan technologique et le maintien de compétences adéquates en matière de développement commercial sont essentiels pour résoudre ces problèmes.

"Nous devons laisser plus de place à la technologie et à l'innovation. Les startups devraient fournir des solutions ayant un impact réel pour transformer toutes les grandes promesses qui sont discutées dans ce type de conférences. Cela doit se faire par le biais d'une approche multipartite", a déclaré Taha.

Au cours de la même session, Hamza Rkha Chaham, cofondateur de la société de services agricoles SOWIT, s'est également fait l'écho de points de vue similaires et a déclaré que les investisseurs devraient être conscients de l'importance des impacts socio-économiques de leurs investissements et donner la préférence à la durabilité.

"L'entrepreneuriat durable est une initiative entrepreneuriale dont la durabilité est le cœur, l'ADN", a déclaré Chaham

Et d'ajouter: "Un entrepreneur doit savoir clairement ce qu'il veut accomplir. La rentabilité n'a rien à voir avec la capacité à nourrir la population. Il faut trouver un investisseur qui a la bonne temporalité en termes d'investissements à long terme, où l'environnement est une priorité".

Chaham ajoute qu'un soutien gouvernemental adéquat est essentiel pour que les startups atteignent leurs objectifs en matière de durabilité.

Le cofondateur de SOWIT a également déclaré que les startups, comparées aux grandes entreprises, peuvent adopter des pratiques de durabilité plus efficacement, car elles peuvent "déployer rapidement des équipes" et mettre en œuvre des actions de manière efficace.

"Face au changement climatique et aux situations géopolitiques actuelles, si nous ne prenons pas des mesures plus audacieuses, nous ne serons tout simplement pas en mesure de relever les défis qui se présentent", a ajouté Chaham

Lors d'une autre table ronde, Mohammed Al-Ariefy, vice-ministre saoudien de l'entrepreneuriat au ministère de la communication et des technologies de l'information, a déclaré que le Royaume préférait promouvoir les technologies alignées sur les objectifs définis dans Vision 2030.

Il a ajouté que le fait d'avoir un impact sur le développement durable "ajoutera de la valeur au succès potentiel des jeunes entreprises technologiques".

"Nous nous concentrons sur les politiques et les réglementations, en identifiant les lacunes entre les politiques et les réglementations. Un autre aspect est le renforcement des capacités. L'accès aux talents est un défi majeur pour la plupart des entreprises du secteur technologique, y compris en ce qui concerne l'eau et la sécurité alimentaire", a déclaré Al-Ariefy.

Il a ajouté: "Nous nous concentrons également sur l'accès au financement, aux différents programmes d'incitation et aux subventions. Nous avons le Programme national de développement technologique, qui a servi à de nombreuses entreprises dans le secteur de la sécurité alimentaire et de l'eau".

Le vice-ministre a ajouté que le ministère aidait les entreprises du secteur technologique à franchir les barrières et à accéder à davantage de marchés.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


Energie: «des filières entières vont licencier» en cas de moratoire sur les renouvelables, selon Ferracci

 Des "filières entières vont licencier" si un moratoire sur le financement des énergies renouvelables devait être décidé, car il y a beaucoup d'emplois industriels associés à l'éolien et au photovoltaïque, a souligné mardi le ministre de l'Industrie, Marc Ferracci sur CNews et Europe 1. (AFP)
Des "filières entières vont licencier" si un moratoire sur le financement des énergies renouvelables devait être décidé, car il y a beaucoup d'emplois industriels associés à l'éolien et au photovoltaïque, a souligné mardi le ministre de l'Industrie, Marc Ferracci sur CNews et Europe 1. (AFP)
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  • "Un moratoire sur les énergies renouvelables, ce serait d'abord un moratoire sur l'emploi. Ca veut dire plein de projets d'investissement qui vont s'arrêter, ca veut dire des filières entières qui vont licencier"
  • Evoquant les usines de Cherbourg, Saint-Nazaire, ou du Havre où sont fabriquées et/ou assemblées des pâles et composants d'éoliennes, le ministre a fait valoir les "8.000 emplois" de la seule filière des éoliennes en mer

PARIS: Des "filières entières vont licencier" si un moratoire sur le financement des énergies renouvelables devait être décidé, car il y a beaucoup d'emplois industriels associés à l'éolien et au photovoltaïque, a souligné mardi le ministre de l'Industrie, Marc Ferracci sur CNews et Europe 1.

"Un moratoire sur les énergies renouvelables, ce serait d'abord un moratoire sur l'emploi. Ca veut dire plein de projets d'investissement qui vont s'arrêter, ca veut dire des filières entières qui vont licencier", a déclaré le ministre.

Ses propos interviennent le jour où le Sénat doit examiner la proposition de loi du sénateur Les Républicains Daniel Gremillet (Vosges) qui divise le camp macroniste et la droite depuis que le patron des Républicains Bruno Retailleau, membre du gouvernement, a plaidé pour la fin des "subventions publiques" pour l'éolien et le photovoltaique.

"Je note qu'il (Bruno Retailleau, NDR) a défendu les éoliennes par le passé lorsqu'il était président du conseil général de Vendée", a relevé M. Ferracci, en rappelant qu'il était lui-même allé en Vendée récemment "pour visiter un champ d'éolien en mer": "Je peux vous dire qu'il y a des emplois industriels associés à l'éolien".

Evoquant les usines de Cherbourg, Saint-Nazaire, ou du Havre où sont fabriquées et/ou assemblées des pâles et composants d'éoliennes, le ministre a fait valoir les "8.000 emplois" de la seule filière des éoliennes en mer.

"Si on étend cela à toutes les énergies renouvelables, le photovoltaique ce sont des dizaines de milliers d'emplois, a-t-il ajouté.

Sans jamais prononcer le mot de climat, le ministre a souhaité la fin de la "guerre de religion" entre nucléaire et renouvelables.

Il a notamment souligné l'enjeu de "souveraineté énergétique" de l'éolien et du photovoltaique.

"Aujourd'hui, nous avons besoin d'électrifier nos usages pour moins dépendre du gaz et du pétrole: 60% de notre consommation énergétique, c'est du gaz et du pétrole importé, c'est 70 milliards d'euros de déficit sur notre balance commerciale et c'est une dépendance vis à vis de la Russie" notamment, a-t-il fait valoir.

"Certaines énergies renouvelables, l'éolien terrestre en particulier, sont aussi compétitifs, autour de 70 euros du megawattheure pour le coût de production, que le nucléaire existant", a-t-il ajouté.

"Le sujet c'est électricité décarbonée contre énergie fossile. Moi ce que je veux c'est qu'on sorte de la dépendance au gaz et au pétrole que nous importons", a-t-il dit.


Le nucléaire iranien et l'Opep+ font baisser les cours du pétrole

Dans le même temps, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) doit décider dimanche du niveau de sa production pour le mois d'août. (Photo AFP)
Dans le même temps, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) doit décider dimanche du niveau de sa production pour le mois d'août. (Photo AFP)
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  • Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en septembre a perdu 0,45 % pour s'établir à 68,80 dollars.
  • Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate pour livraison en août, a reculé de 0,67 % à 67,00 dollars.

WASHINGTON : Les prix du pétrole ont perdu jeudi de la vitesse, d'une part en raison d'informations de presse selon lesquelles les États-Unis et l'Iran pourraient rouvrir les discussions sur le nucléaire, et d'autre part, car l'Opep+ devrait annoncer dimanche un relèvement de sa production.

Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en septembre a perdu 0,45 % pour s'établir à 68,80 dollars.

Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate pour livraison en août, a reculé de 0,67 % à 67,00 dollars.

« Ce qui a fait bouger les prix aujourd'hui » est la nouvelle qu'un responsable américain « va rencontrer le ministre iranien des Affaires étrangères la semaine prochaine pour discuter d'un accord sur le nucléaire », commente auprès de l'AFP Robert Yawger, de Mizuho USA.

Le média américain Axios, citant deux sources anonymes, a en effet rapporté que l'émissaire de la Maison Blanche pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, envisageait de rencontrer Abbas Araghchi à Oslo. 

Ni Téhéran ni Washington n'ont confirmé ces informations, qui précisent qu'aucune date définitive n'a encore été fixée pour ces pourparlers.

« Le marché s'est fortement replié à la suite de cette information », note M. Yawger, ce qui a effacé une partie de la prime de risque géopolitique.

Selon l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA), l'Iran était le neuvième producteur mondial de brut en 2023 et possède les troisièmes réserves prouvées, derrière le Venezuela et l'Arabie saoudite.

Dans le même temps, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) doit décider dimanche du niveau de sa production pour le mois d'août. Selon de nombreux analystes, le cartel devrait réintroduire 411 000 barils par jour sur le marché.

Cette hausse, similaire à celles des mois de mai, juin et juillet, accroît l'offre disponible de pétrole et met les cours sous pression. 

Si l'Opep+ ajoute « un total de 2,2 millions de barils » par jour sur le marché, en additionnant les hausses mensuelles d'avril à août, « cela risque de peser lourdement sur le prix du pétrole au second semestre 2025 », estime M. Yawger.

Dans sa prévision la plus récente, la banque Morgan Stanley prévoit même que le prix du baril de Brent descendra cette année à 60 dollars, en raison de la hausse de la production interne à l'Opep+ et de celle des pays en dehors du cartel.

Le marché du brut est également affecté par la hausse inattendue des stocks de pétrole aux États-Unis, annoncée la veille par l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA), de 3,8 millions de barils.

« La demande d'essence » est par ailleurs décevante, avec une baisse importante par rapport à la période précédente (-10,8 %). 


Chalhoub Group réaffirme son engagement en matière de durabilité

Le Groupe Chalhoub a ajouté des véhicules électriques à sa flotte, réitérant ainsi son engagement à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à atteindre ses objectifs de zéro émission nette d'ici 2040. (février 2025 - fourni)
Le Groupe Chalhoub a ajouté des véhicules électriques à sa flotte, réitérant ainsi son engagement à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à atteindre ses objectifs de zéro émission nette d'ici 2040. (février 2025 - fourni)
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  • Le groupe poursuit son objectif ambitieux de devenir Net Zéro d'ici 2040, en mettant en œuvre des stratégies visant à réduire son empreinte carbone
  • Le Chalhoub Group ne se contente pas d'atteindre ses objectifs de durabilité actuels ; il cherche également à faire évoluer ses pratiques en collaboration avec ses partenaires et ses marques

DUBAI: Le Chalhoub Group a publié son 11e rapport annuel de durabilité, soulignant une fois de plus l'intégration des objectifs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans son modèle d'affaires.

À travers ce rapport de 2024, le groupe réaffirme son engagement envers les Objectifs de Développement Durable des Nations Unies (ODD), en se concentrant sur trois piliers majeurs : les Personnes, les Partenaires et la Planète.

Des initiatives environnementales ambitieuses

Le Chalhoub Group poursuit son objectif ambitieux de devenir Net Zéro d'ici 2040, en mettant en œuvre des stratégies visant à réduire son empreinte carbone à travers les émissions de Scope 1, 2 et 3. Dans cette optique, le groupe a déjà enregistré une réduction de 12% des émissions de Scope 1 et a converti 11% de sa flotte B2C en véhicules électriques.

De plus, le Chalhoub Group a lancé son tout premier projet de restauration des récifs coralliens, avec un engagement de restauration de 58,6 m², dans le cadre de son objectif à long terme de restaurer 500 m² d'ici 2030.

«Chez Chalhoub Group, nous restons engagés à mener une durabilité significative, affinant continuellement notre approche en écoutant, apprenant et nous adaptant. Alignés sur notre feuille de route Net Zéro d'ici 2040. (…) Notre programme de partenariat avec les marques continue de favoriser des stratégies collaboratives de réduction des émissions à travers notre chaîne de valeur,» a declaré Florence Bulte, directrice de la durabilité du Chalhoub Group.

Un engagement fort envers le bien-être des employés

Le bien-être des employés est un axe fondamental pour Chalhoub Group. Reconnu par Son Altesse le Sheikh Mohamed bin Zayed Al Nahyan et l'Autorité pour la Petite Enfance d'Abou Dhabi, le groupe a obtenu le label "Parent-friendly" en 2024, confirmant ainsi l'approche centrée sur les personnes qui est au cœur de son modèle d'affaires.

Ce label met en valeur les initiatives de Chalhoub Group en matière de congés parentaux, de flexibilité au travail et de soutien au bien-être familial, des efforts qui dépassent largement les standards régionaux. En effet, le groupe offre 90 jours de congé maternité et 30 jours de congé paternité, contribuant ainsi à instaurer une véritable culture de soutien à la famille.

Pour Patrick Chalhoub, président exécutif du groupe, «La durabilité n'est pas seulement un principe directeur, elle est au cœur de notre stratégie à long terme. Au cœur de tous nos efforts, il y a une conviction simple mais puissante : nos employés sont notre atout le plus précieux. Favoriser une culture inclusive, valorisante et saine est essentiel pour créer un environnement propice et libérer tout le potentiel de nos équipes.»

Favoriser l'inclusion et la diversité

Avec un engagement constant envers le bien-être de tous ses collaborateurs, l’accessibilité a toujours été une priorité pour Chalhoub Group. Plus de 400 fonctionnalités d'accessibilité ont été intégrées dans ses bureaux et espaces de vente, et le groupe emploie actuellement 34 Personnes de Détermination.

Ces efforts contribuent à instaurer une véritable culture de belonging et d'inclusivité, permettant à chaque membre de l'équipe de participer pleinement à la réussite collective.

«Chez Chalhoub Group, nous croyons que l'excellence opérationnelle doit refléter nos valeurs, et cela inclut l'inclusivité. Les principes de diversité, d'équité et d'inclusion (DE&I) sont pleinement intégrés dans notre manière de diriger, recruter et constituer nos équipes,» explique Andreu Marco, directeur des opérations du Chalhoub Group.

Vers un modèle durable à long terme

Le groupe ne se contente pas d'atteindre ses objectifs de durabilité actuels ; il cherche également à faire évoluer ses pratiques en collaboration avec ses partenaires et ses marques.

À titre d'exemple, Chalhoub Group a collaboré avec Schneider Electric pour organiser des ateliers conjoints et des sessions de sensibilisation des fournisseurs, visant à réduire les émissions de Scope 3. Ce partenariat a également abouti au développement d'outils et de programmes de formation sur la réduction des émissions de carbone, dans une démarche d'amélioration continue.

«Notre collaboration avec nos partenaires et marques repose sur un échange mutuel d'expertise en matière de durabilité tel est le cas avec Schneider Electric. (…) Nous avons également co-développé des kits de réduction des émissions de carbone et des programmes de formation mensuels,» precise Florence Bulte, en soulignant l'importance de ces collaborations.

Le Chalhoub Group continue de renforcer ses actions en matière de durabilité, avec des initiatives concrètes qui visent à allier impact positif, innovation et collaboration, tout en plaçant l'humain au cœur de son modèle.