Liban: Macron salue la nomination comme Premier ministre de Nawaf Salam, "un espoir de changement se lève"

Des Libanais célèbrent la nomination du Premier ministre Nawaf Salam, sur la place des Martyrs à Beyrouth, le 13 janvier 2025. Le président libanais Joseph Aoun a choisi le 13 janvier Nawaf Salam, juge à la Cour internationale de justice de La Haye, comme premier ministre après avoir consulté les législateurs, a déclaré la présidence. (AFP)
Des Libanais célèbrent la nomination du Premier ministre Nawaf Salam, sur la place des Martyrs à Beyrouth, le 13 janvier 2025. Le président libanais Joseph Aoun a choisi le 13 janvier Nawaf Salam, juge à la Cour internationale de justice de La Haye, comme premier ministre après avoir consulté les législateurs, a déclaré la présidence. (AFP)
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Publié le Mardi 14 janvier 2025

Liban: Macron salue la nomination comme Premier ministre de Nawaf Salam, "un espoir de changement se lève"

  • Emmanuel Macron a félicité lundi Nawaf Salam, nommé Premier ministre du Liban, notant qu'après l'"élection du président Joseph Aoun, un espoir de changement se lève" pour le pays
  • Sur X, le chef de l'Etat français a adressé à M. Salam - qu'il a appelé également dans la soirée -  "tous (s)es vœux de succès pour former un gouvernement au service de tous les Libanais"

PARIS: Emmanuel Macron a félicité lundi Nawaf Salam, nommé Premier ministre du Liban, notant qu'après l'"élection du président Joseph Aoun, un espoir de changement se lève" pour le pays.

Sur X, le chef de l'Etat français a adressé à M. Salam - qu'il a appelé également dans la soirée -  "tous (s)es vœux de succès pour former un gouvernement au service de tous les Libanais".

Diplomate chevronné de 71 ans, M. Salam était jusqu'à présent président de la Cour internationale de Justice (CIJ) à La Haye et a mené sa carrière à l'écart de la classe politique traditionnelle libanaise.

Sa candidature a été principalement soutenue par des forces politiques opposées au mouvement chiite pro-iranien Hezbollah, sorti très affaibli de sa dernière guerre contre Israël.

Ses partisans espèrent que sa nomination permettra de tourner la page de la domination du Hezbollah sur la vie politique du Liban et de changer le fonctionnement des institutions.

"Nous avons là la désignation d’une personnalité reconnue pour son intégrité et ses compétences, quelqu’un qui a exprimé déjà par le passé sa volonté de conduire les réformes que les Libanais et la communauté internationale attendent pour remettre le Liban sur la voie d'une restauration de sa souveraineté et des réformes nécessaires pour le redressement économique du pays", a relevé l'Elysée.

Le président français a "apporté son soutien" au nouvel exécutif libanais pour qu’il nomme un "gouvernement qui soit à la fois fort et rassembleur de toute la diversité du peuple libanais", a poursuivi la présidence française.

Selon Paris, ce nouveau tandem "ouvre des perspectives extrêmement prometteuses pour le soutien de la communauté internationale", afin de surmonter la profonde crise économique et financière que traverse le pays depuis plusieurs années.

"Il s’agissait de reconstruire de la confiance et nous sommes là dans un cadre qui va permettre de rassurer les bailleurs internationaux, de mener les réformes attendues et de construire un cadre de financement", a souligné l'Elysée.

"Nous sommes très optimistes sur le fait que nos partenaires internationaux vont se réengager au côté du Liban", a ajouté la présidence, en référence notamment aux acteurs régionaux comme l'Arabie saoudite.

Emmanuel Macron doit se rendre très prochainement au Liban pour marquer son soutien au nouvel exécutif, a rappelé l'Elysée, sans plus de précisions sur la date.

Il a échangé ce weekend avec le président du Parlement libanais, Nabih Berri, allié du Hezbollah pro-iranien, et le Premier ministre sortant Najib Mikati, ainsi que lundi avec le chef druze libanais Walid Joumblatt pour "appuyer les consultations menées par le président Aoun" et Nawaf Salam en vue de la formation d'un gouvernement.


Rapport sur les Frères musulmans: Macron réunit un Conseil de défense

Emmanuel Macron réunit mercredi un conseil de Défense pour évoquer un rapport consacré aux Frères musulmans, un document qui met en garde contre le développement d'un islamisme "par le bas" et fait l'objet d'une surenchère de réactions politiques. (AFP)
Emmanuel Macron réunit mercredi un conseil de Défense pour évoquer un rapport consacré aux Frères musulmans, un document qui met en garde contre le développement d'un islamisme "par le bas" et fait l'objet d'une surenchère de réactions politiques. (AFP)
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  • Le président a convoqué autour de lui le chef du gouvernement mais aussi plusieurs de ses ministres en charge des Affaires étrangères, des Finances, ainsi que de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et des Sports
  • A l'issue de ce conseil, des mesures seront prises "dont certaines sont communiquées" mais d'autres resteront classifiées, ajoute-t-on de même source

PARIS: Emmanuel Macron réunit mercredi un conseil de Défense pour évoquer un rapport consacré aux Frères musulmans, un document qui met en garde contre le développement d'un islamisme "par le bas" et fait l'objet d'une surenchère de réactions politiques.

Le président a convoqué autour de lui le chef du gouvernement mais aussi plusieurs de ses ministres en charge des Affaires étrangères, des Finances, ainsi que de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et des Sports, "trois secteurs particulièrement visés par cet entrisme par le bas", précise-t-on à l'Elysée.

A l'issue de ce conseil, des mesures seront prises "dont certaines sont communiquées" mais d'autres resteront classifiées, ajoute-t-on de même source.

Le rapport, dont l'AFP a obtenu copie, fait état d'une "menace pour la cohésion nationale" avec le développement d'un islamisme "par le bas" de la part des Frères musulmans.

L'une de ces vocations est de "pouvoir sensibiliser l'Etat sur cette problématique", mais aussi "de faire connaître au grand public, aux élus locaux, la menace et comment elle procède" , a souligné l'Elysée "car l'entrisme, c'est du temps long, c'est dissimulé, et c'est un discours qui est très policé".

Le conseil se penchera aussi sur la question des réseaux sociaux qui "constituent un vecteur pour les islamistes qui surfent sur des éléments d'actualité et remettent en cause ce que la République défend en matière de laïcité, notamment pour essayer de démontrer que l'Etat est islamophobe".

Présentée comme "la branche nationale des Frères musulmans en France, la Fédération des Musulmans de France a vivement dénoncé dans un communiqué des "accusations infondées" et mis en garde contre des "amalgames dangereux".

"Nous rejetons fermement toute allégation qui tenterait de nous associer à un projet politique étranger, ou à une stratégie d'+entrisme+. Cette lecture idéologique ne reflète ni notre réalité institutionnelle ni notre action de terrain", a-t-elle assuré.

Proposition choc d'Attal 

Avant même sa publication officielle, la classe politique a rivalisé de réactions et de propositions.

A droite, Xavier Bertrand (LR) a plaidé sur France 2 pour "une offensive républicaine" car on "doit être intraitable avec les ennemis de la République que sont les islamistes".

Le président du RN Jordan Bardella a demandé sur France Inter que "les Frères musulmans soient interdits" et que "l'ensemble de ses relais soit combattu sur le plan administratif". "Il faut remettre en cause notre convention fiscale avec le Qatar qui est l'un des premiers fournisseurs financiers des Frères musulmans", a-t-il ajouté.

Mais l'idée qui a fait le plus réagir vient de Renaissance. Gabriel Attal, à l'origine de l'interdiction de l'abaya à l'école, souhaite interdire le voile dans l'espace public pour les mineures de moins de quinze ans car le rapport décrit le secteur éducatif comme une "priorité de la branche française" des Frères musulmans et s'inquiète d'une "augmentation massive et visible de petites filles portant le voile".

Cette proposition, dont la constitutionnalité et la mise en oeuvre poseraient débat, n'a pas fait l'unanimité au sein du bloc central.

"Je ne suis pas sûr qu'on irait jusqu'à interdire le voile dans l'espace public", a tempéré sur TF1 le maire Horizons de Reims Arnaud Robinet, plaidant pour "agir en termes d'éducation, de promotion des valeurs de la République".

Chez LFI, accusé par la droite et le RN de relayer l'argumentaire islamiste, la députée Danièle Obono a dénoncé sur X "une course à l'échalote islamophobe entre les candidats à la présidentielle au sein du bloc bourgeois".

"L'opportunisme de Gabriel Attal fait le jeu des islamistes", a critiqué sur franceinfo François Ruffin. Le député membre du groupe écologiste juge néanmoins que le rapport "contient des choses intéressantes à la fois dans ces points de vigilance et dans ces recommandations" parce qu'il prône "une action de terrain de longue haleine".

Le rapport évoque ainsi la nécessité de "signaux forts et positifs à destination de la communauté musulmane", dont "la réglementation funéraire" pour faciliter les carrés confessionnels, "l'apprentissage de l'arabe" à l'école et "la position française sur le conflit israélo-palestinien".


L'écrivain Boualem Sansal, emprisonné, reçoit un prix saluant sa «parole libre»

Le prix doit être remis "sous la Coupole de l'Institut de France lors de la séance solennelle de remise des Grands Prix des fondations de l'Institut, le 18 juin", a indiqué la Fondation Simone et Cino del Duca. (AFP)
Le prix doit être remis "sous la Coupole de l'Institut de France lors de la séance solennelle de remise des Grands Prix des fondations de l'Institut, le 18 juin", a indiqué la Fondation Simone et Cino del Duca. (AFP)
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  • Récompensé pour l'ensemble de son oeuvre, Boualem Sansal rejoint au palmarès des auteurs comme Andreï Sakharov, Léopold Sédar Senghor, Jorge Luis Borges ou Milan Kundera. Kamel Daoud avait également obtenu ce prix en 2019
  • Le principe du prix, créé en 1969, est de "couronner la carrière d'un auteur français ou étranger dont l'œuvre constitue, sous forme scientifique ou littéraire, un message d'humanisme moderne"

PARIS: Boualem Sansal, emprisonné en Algérie depuis six mois, a reçu mercredi le prix mondial Cino del Duca, récompense littéraire française rendant hommage à "la force d'un écrivain qui (...) continue de faire entendre une parole libre".

Récompensé pour l'ensemble de son oeuvre, Boualem Sansal rejoint au palmarès des auteurs comme Andreï Sakharov, Léopold Sédar Senghor, Jorge Luis Borges ou Milan Kundera. Kamel Daoud avait également obtenu ce prix en 2019.

Doté de 200.000 euros par la Fondation Simone et Cino Del Duca (un éditeur de presse franco-italien), ce prix "rend hommage à la force d'un écrivain qui, par-delà les frontières et les censures, continue de faire entendre une parole libre, profondément humaniste et résolument nécessaire", a indiqué le jury dans un communiqué.

Le principe du prix, créé en 1969, est de "couronner la carrière d'un auteur français ou étranger dont l'œuvre constitue, sous forme scientifique ou littéraire, un message d'humanisme moderne".

Boualem Sansal, écrivain franco-algérien âgé de 80 ans, est en détention depuis son arrestation mi-novembre à l'aéroport d'Alger.

Il a été condamné le 27 mars à cinq ans de prison, notamment pour des déclarations en octobre au média français d'extrême droite Frontières, où il estimait que l'Algérie avait hérité sous la colonisation française de territoires appartenant jusque-là au Maroc.

Un procès en appel est prévu le 24 juin.

L'écrivain est l'objet d'une lutte diplomatique entre l'Algérie et la France. Alger estime que la justice a suivi son cours normal, tandis que Paris appelle à un "geste d'humanité" envers un homme atteint d'un cancer.

L'Algérie et la France traversent depuis l'été 2024 une crise diplomatique considérée comme l'une des plus graves depuis l'indépendance de l'Algérie en 1962. Elle est marquée par le gel de toutes les coopérations entre les deux pays, et dernièrement par une nouvelle série d'expulsions de fonctionnaires de part et d'autre.

"Liberté de création" 

L'éditeur de Boualem Sansal, Gallimard, lui a fourni un avocat français qui n'a jamais obtenu de visa pour pouvoir assurer sa défense.

"Romancier majeur de la scène francophone, Boualem Sansal s'est imposé au fil des années comme une voix incontournable de la littérature contemporaine", a estimé le jury.

"Avec un courage rare et une plume d'une grande élégance, son œuvre traduit son engagement indéfectible envers notre langue commune et les valeurs qu'elle porte. Par ce choix, le jury rappelle également son attachement à la liberté de création et de publication, à la protection de la vie culturelle et du débat intellectuel", a-t-il ajouté.

Ce jury est composé de 14 membres, dont 12 sont issus de cinq académies composant l'Institut de France. Son président est le secrétaire perpétuel de l'Académie française, l'écrivain franco-libanais Amin Maalouf.

Le prix doit être remis "sous la Coupole de l'Institut de France lors de la séance solennelle de remise des Grands Prix des fondations de l'Institut, le 18 juin", a indiqué la Fondation Simone et Cino del Duca.

Les modalités de cette remise restent à déterminer.

Boualem Sansal a fait son entrée en littérature avec avec "Le Serment des barbares", en 1999, où il relate l'influence croissante des intégristes dans une société algérienne où règnent violence, peur et corruption.

Publié par Gallimard à Paris, ce premier roman est très bien accueilli en France. En Algérie, où la littérature francophone voit sa place se réduire, Boualem Sansal restera peu connu du grand public.

Son œuvre comprend "Le Village de l'Allemand", censuré en Algérie car il dresse un parallèle entre islamisme et nazisme, ou "Rue Darwin".

En 2013, l'Académie française lui décerne le Grand prix de la francophonie. En 2015, elle lui remet le Grand Prix du roman pour "2084". S'inspirant du chef-d'œuvre de George Orwell, "1984", le romancier prédit dans "2084" une arrivée de l'islamisme en Abistan, où on doit prier neuf fois par jour.


Air-France KLM Groupe lance une nouvelle liaison aérienne directe entre Paris et Riyad

Opéré par un Airbus A350-900, le premier vol, AF684, a atterri à Riyad le 20 mai 2025, marquant une étape importante dans la stratégie d’expansion du groupe aérien dans la région. (Photo Fournie)
Opéré par un Airbus A350-900, le premier vol, AF684, a atterri à Riyad le 20 mai 2025, marquant une étape importante dans la stratégie d’expansion du groupe aérien dans la région. (Photo Fournie)
Opéré par un Airbus A350-900, le premier vol, AF684, a atterri à Riyad le 20 mai 2025, marquant une étape importante dans la stratégie d’expansion du groupe aérien dans la région. (Photo Fournie)
Opéré par un Airbus A350-900, le premier vol, AF684, a atterri à Riyad le 20 mai 2025, marquant une étape importante dans la stratégie d’expansion du groupe aérien dans la région. (Photo Fournie)
Conférence de presse Air-France KLM Groupe au Four Season Riyad (Photo Huda Bashatah)
Conférence de presse Air-France KLM Groupe au Four Season Riyad (Photo Huda Bashatah)
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  • Opéré par un Airbus A350-900, le premier vol, AF684, a atterri à Riyad le 20 mai 2025, marquant une étape importante dans la stratégie d’expansion du groupe aérien dans la région.
  • Cette nouvelle ligne aérienne entre Riyad et Paris constitue une passerelle stratégique entre deux capitales internationales influentes.

RIYAD : Air France a annoncé le lancement de sa nouvelle liaison directe entre l’aéroport international King Khalid de Riyad et l’aéroport Paris-Charles de Gaulle.

Opéré par un Airbus A350-900, le premier vol, AF684, a atterri à Riyad le 20 mai 2025, marquant une étape importante dans la stratégie d’expansion du groupe aérien dans la région.

Cette nouvelle ligne aérienne entre Riyad et Paris constitue une passerelle stratégique entre deux capitales internationales influentes, favorisant les échanges culturels, offrant de nouvelles opportunités touristiques et renforçant la coopération économique.

Ce nouveau service répond à une demande croissante de la part des voyageurs saoudiens, de la communauté expatriée et du monde des affaires, mais aussi à l'initiative Vision 2030 de l’Arabie saoudite qui ambitionne de développer le tourisme et la connectivité internationale.

À cette occasion, Patrick Maisonnave, ambassadeur de France en Arabie saoudite, a déclaré : « L’ouverture de cette nouvelle ligne Air France entre Riyad et Paris est bien plus qu’un simple vol, c’est un pont entre deux grandes nations. Elle reflète la force de notre partenariat, notre volonté commune de rapprocher nos peuples et l’invitation à découvrir le meilleur du luxe, de la culture et de l’hospitalité à la française. C’est également une invitation à découvrir la France, Paris et ses magnifiques régions. De l’élégance de la Bourgogne au charme de Toulouse, des côtes bretonnes aux belles villes et campagnes d’Alsace. »

Angus Clarke, vice-président exécutif et directeur commercial d’Air France-KLM, a ajouté : « Nous sommes fiers d’inaugurer cette nouvelle liaison directe entre Paris et Riyad, une route qui renforce les liens entre la France et l’Arabie saoudite et reflète la dynamique remarquable de transformation du Royaume.

Les investissements audacieux de l’Arabie saoudite dans le tourisme, la culture et l’hospitalité créent de nouvelles opportunités passionnantes pour les voyageurs et les entreprises. Nous sommes honorés de participer à ce mouvement d’avenir en reliant les capitales française et saoudienne avec notre signature emblématique, en complément de la présence de notre partenaire saoudien. Je remercie également l’Autorité générale de l’aviation civile (GACA) pour son soutien constant et sa collaboration, qui ont été essentiels à la réussite de ce lancement. »

Hazim Al Hazmi, président des marchés Europe et Amériques de la Saudi Tourism Authority (STA), déclare : « Cette nouvelle liaison directe entre Paris et Riyad confirme la position de l’Arabie saoudite comme destination touristique mondiale de premier plan et renforce notre connectivité avec la France et l’Europe.

L’année dernière, nous avons accueilli près de 116 millions de visiteurs, un record. Grâce à l’eVisa et à cette nouvelle route, ce chiffre devrait encore augmenter, permettant à encore plus de touristes français et européens de découvrir notre patrimoine, notre culture, nos divertissements familiaux et nos paysages exceptionnels. »

Hazim Al Hazmi, président des marchés Europe et Amériques de l'Autorité saoudienne du tourisme (STA), a déclaré : « Cette nouvelle liaison directe entre Paris et Riyad confirme la position de l’Arabie saoudite comme destination touristique mondiale de premier plan et renforce notre connectivité avec la France et l’Europe.

L’année dernière, nous avons battu notre record avec près de 116 millions de visiteurs. Grâce à l’eVisa et à cette nouvelle route, ce chiffre devrait encore augmenter, permettant à encore plus de touristes français et européens de découvrir notre patrimoine, notre culture, nos divertissements en famille et nos paysages exceptionnels. »

Le lancement de cette nouvelle liaison renforce la présence du groupe Air France-KLM au Royaume-Uni. Cette nouvelle liaison vient s’ajouter aux vols KLM existants entre Amsterdam et Riyad/Dammam, aux liaisons Transavia entre Paris-Orly/Lyon et Djeddah, ainsi qu'au partenariat de partage de code avec Saudia.

Grâce à ce réseau élargi, les voyageurs saoudiens peuvent désormais accéder facilement à plus de 300 destinations dans le monde via les hubs d’Amsterdam-Schiphol et de Paris-Charles de Gaulle.

Ambassadrice du savoir-vivre à la française depuis 90 ans, Air France relie la France au monde avec fierté. Engagée dans la transition écologique, la compagnie vise à réduire de 30 % ses émissions de CO₂ par passager-kilomètre d’ici 2030, par rapport à 2019.

La compagnie y parvient notamment en modernisant sa flotte, en intégrant davantage de carburants d’aviation durables et en adoptant des pratiques d’éco-pilotage. Air France propose également, quand c’est possible, des solutions de mobilité plus durables, comme des offres combinées avec la SNCF.