Uber dépasse Lucid en tant que plus grande participation américaine du PIF 

Le cours de l'action Uber a augmenté de 38 % au cours des 12 derniers mois. (Shutterstock)
Le cours de l'action Uber a augmenté de 38 % au cours des 12 derniers mois. (Shutterstock)
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Publié le Vendredi 23 mai 2025

Uber dépasse Lucid en tant que plus grande participation américaine du PIF 

  • Uber Technologies Inc. est devenu la plus grande participation du Fonds d'investissement public saoudien en valeur de marché dans son portefeuille américain, évalué à 5,31 milliards de dollars
  • Ce changement reflète une augmentation du prix de l'action Uber induite par le marché

RIYAD : Uber Technologies Inc. est devenu la plus grande participation du Fonds d'investissement public saoudien en valeur de marché dans son portefeuille américain, évalué à 5,31 milliards de dollars pour une participation inchangée de 72,84 millions d'actions.

Ce changement reflète une augmentation du prix de l'action Uber induite par le marché. En revanche, Lucid Group Inc, dont le PIF continue de détenir 1,77 milliard d'actions, a vu sa valeur de marché baisser à 4,29 milliards de dollars, contre plus de 5,3 milliards de dollars à la fin de l'année 2024.

Selon la dernière déclaration 13F du fonds auprès de la Securities and Exchange Commission, le portefeuille d'actions américaines de PIF est tombé à 25,55 milliards de dollars à la fin du mois de mars, contre 26,77 milliards de dollars au trimestre précédent, en raison de changements d'évaluation et de positions.

Cette évolution est principalement due à des changements d'évaluation basés sur le marché, plutôt qu'à une réaffectation significative des actifs, la majorité des positions restant inchangées en termes de nombre d'actions. 

Toutes les positions énumérées dans la déclaration ne sont pas des actions traditionnelles. Le fonds a également révélé des positions en options d'achat pour plusieurs géants américains de la technologie, notamment Amazon, Adobe et Microsoft, ainsi qu'Alphabet et Meta Platforms.

Ces produits dérivés confèrent le droit - mais non l'obligation - d'acheter les actions sous-jacentes et sont distincts de la propriété directe d'actions. Les chiffres divulgués, tels que 961 300 actions liées aux options d'achat sur Adobe Inc. et 1,2 million d'actions via les options sur Alphabet Inc. représentent le nombre total d'actions sous-jacentes contrôlées par les options.

Ces positions indiquent l'utilisation stratégique par le FIP d'une exposition légère aux actions technologiques de grande valeur.

Bien que de nombreuses positions de base soient restées inchangées, le PIF a augmenté son exposition à certaines actions. Le fonds a presque doublé sa position dans PayPal Holdings, passant de 1,76 million à 3,67 millions d'actions, et a augmenté ses participations dans Amazon, Zoetis, Micron Technology et Lam Research.

L'émission de dette répond à un changement stratégique

Parallèlement à son positionnement mondial, le PIF continue de faire appel aux marchés des capitaux pour financer les initiatives de la Vision 2030.

Selon un rapport publié en mai par Global SWF, le fonds a levé 1,25 milliard de dollars par le biais d'un sukuk à sept ans - sa deuxième émission de dette de l'année - en resserrant les prix de 145 points de base par rapport aux bons du Trésor américain à seulement 110 points de base après avoir attiré plus de 8,2 milliards de dollars d'ordres.

Le sukuk, émis dans le cadre du programme d'émission de certificats fiduciaires en tant que Sukuk Al-Wakala, témoigne de la confiance des investisseurs et de la sophistication croissante du PIF dans le domaine de la finance islamique.

Toutefois, cette émission intervient dans un contexte de rééquilibrage interne.

Selon le rapport, citant Arabian Gulf Business Insight, le PIF serait en train de réduire d'au moins 20% les budgets 2025 dans l'ensemble de son portefeuille, certains giga-projets phares étant confrontés à des réductions allant jusqu'à 60%. Des projets tels que NEOM et le projet de la mer Rouge ont fait l'objet d'ajustements de calendrier et de révisions de contrats, car le fonds donne la priorité à la discipline en matière de capital.

Ce changement de stratégie reflète des pressions fiscales plus larges. Les recettes pétrolières restent inférieures aux objectifs et les prévisions concernant le pétrole Brent pour 2025 ont été revues à la baisse à 66 dollars le baril, bien en deçà du seuil de rentabilité budgétaire de 90 dollars le baril.

Les dividendes versés par Aramco devraient également tomber à 85,4 milliards de dollars, ce qui réduira les rentrées d'argent de l'État. Combiné à un déficit fiscal et commercial croissant, l'emprunt est devenu un outil nécessaire pour le PIF afin de maintenir la continuité du projet.

Malgré cela, le fonds redouble d'efforts pour mobiliser les investisseurs, selon Global SWF. Il a déjà levé 5,25 milliards de dollars de dette en 2025 par le biais de divers instruments, dont une obligation de 4 milliards de dollars en janvier et une facilité de crédit Murabaha de 7 milliards de dollars. Ces mesures permettent au fonds de faire avancer de manière sélective des projets hautement prioritaires tout en réévaluant les allocations plus larges.

Une nouvelle ère de discipline du capital

Selon Global SWF, la transformation du PIF marque le début d'une nouvelle phase de pragmatisme financier. Plutôt que de réduire ses activités, le fonds réaffecte ses ressources en privilégiant les projets à rendement mesurable, en particulier ceux qui sont liés à des événements à court terme tels que l'Expo 2030 et la Coupe du monde de football de 2034.

Les analystes décrivent ce mouvement non pas comme une retraite, mais comme un recalibrage et un pivot vers des "infrastructures économiquement viables" et des projets menés par l'industrie.

Les accords de co-investissement avec des entreprises telles que Goldman Sachs, BlackRock et Brookfield se multiplient également, aidant le PIF à attirer des capitaux extérieurs et à réduire sa dépendance à l'égard des fonds souverains. L'objectif est de déployer jusqu'à 70 milliards de dollars par an tout en assurant une viabilité à long terme, selon le rapport.

Malgré ces transformations, l'appétit du marché pour les instruments garantis par les fonds d'investissement privés reste fort, selon Global SWF. Le succès de la dernière émission de sukuk reflète la confiance soutenue dans l'orientation budgétaire de l'Arabie saoudite et dans l'exécution stratégique du PIF.

L'évolution du fonds vers l'association d'une puissance financière et d'une logique économique souligne son passage d'un rôle de dépensier à celui de gestionnaire de la transformation.

À mesure que le PIF ajuste son architecture financière, sa combinaison d'exposition au marché, de prêts ciblés et de discipline budgétaire pourrait créer un précédent pour les investisseurs souverains du monde entier - et renforcer son rôle de pierre angulaire de l'avenir post-pétrolier de l'Arabie saoudite.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Energie: «des filières entières vont licencier» en cas de moratoire sur les renouvelables, selon Ferracci

 Des "filières entières vont licencier" si un moratoire sur le financement des énergies renouvelables devait être décidé, car il y a beaucoup d'emplois industriels associés à l'éolien et au photovoltaïque, a souligné mardi le ministre de l'Industrie, Marc Ferracci sur CNews et Europe 1. (AFP)
Des "filières entières vont licencier" si un moratoire sur le financement des énergies renouvelables devait être décidé, car il y a beaucoup d'emplois industriels associés à l'éolien et au photovoltaïque, a souligné mardi le ministre de l'Industrie, Marc Ferracci sur CNews et Europe 1. (AFP)
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  • "Un moratoire sur les énergies renouvelables, ce serait d'abord un moratoire sur l'emploi. Ca veut dire plein de projets d'investissement qui vont s'arrêter, ca veut dire des filières entières qui vont licencier"
  • Evoquant les usines de Cherbourg, Saint-Nazaire, ou du Havre où sont fabriquées et/ou assemblées des pâles et composants d'éoliennes, le ministre a fait valoir les "8.000 emplois" de la seule filière des éoliennes en mer

PARIS: Des "filières entières vont licencier" si un moratoire sur le financement des énergies renouvelables devait être décidé, car il y a beaucoup d'emplois industriels associés à l'éolien et au photovoltaïque, a souligné mardi le ministre de l'Industrie, Marc Ferracci sur CNews et Europe 1.

"Un moratoire sur les énergies renouvelables, ce serait d'abord un moratoire sur l'emploi. Ca veut dire plein de projets d'investissement qui vont s'arrêter, ca veut dire des filières entières qui vont licencier", a déclaré le ministre.

Ses propos interviennent le jour où le Sénat doit examiner la proposition de loi du sénateur Les Républicains Daniel Gremillet (Vosges) qui divise le camp macroniste et la droite depuis que le patron des Républicains Bruno Retailleau, membre du gouvernement, a plaidé pour la fin des "subventions publiques" pour l'éolien et le photovoltaique.

"Je note qu'il (Bruno Retailleau, NDR) a défendu les éoliennes par le passé lorsqu'il était président du conseil général de Vendée", a relevé M. Ferracci, en rappelant qu'il était lui-même allé en Vendée récemment "pour visiter un champ d'éolien en mer": "Je peux vous dire qu'il y a des emplois industriels associés à l'éolien".

Evoquant les usines de Cherbourg, Saint-Nazaire, ou du Havre où sont fabriquées et/ou assemblées des pâles et composants d'éoliennes, le ministre a fait valoir les "8.000 emplois" de la seule filière des éoliennes en mer.

"Si on étend cela à toutes les énergies renouvelables, le photovoltaique ce sont des dizaines de milliers d'emplois, a-t-il ajouté.

Sans jamais prononcer le mot de climat, le ministre a souhaité la fin de la "guerre de religion" entre nucléaire et renouvelables.

Il a notamment souligné l'enjeu de "souveraineté énergétique" de l'éolien et du photovoltaique.

"Aujourd'hui, nous avons besoin d'électrifier nos usages pour moins dépendre du gaz et du pétrole: 60% de notre consommation énergétique, c'est du gaz et du pétrole importé, c'est 70 milliards d'euros de déficit sur notre balance commerciale et c'est une dépendance vis à vis de la Russie" notamment, a-t-il fait valoir.

"Certaines énergies renouvelables, l'éolien terrestre en particulier, sont aussi compétitifs, autour de 70 euros du megawattheure pour le coût de production, que le nucléaire existant", a-t-il ajouté.

"Le sujet c'est électricité décarbonée contre énergie fossile. Moi ce que je veux c'est qu'on sorte de la dépendance au gaz et au pétrole que nous importons", a-t-il dit.


Le nucléaire iranien et l'Opep+ font baisser les cours du pétrole

Dans le même temps, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) doit décider dimanche du niveau de sa production pour le mois d'août. (Photo AFP)
Dans le même temps, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) doit décider dimanche du niveau de sa production pour le mois d'août. (Photo AFP)
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  • Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en septembre a perdu 0,45 % pour s'établir à 68,80 dollars.
  • Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate pour livraison en août, a reculé de 0,67 % à 67,00 dollars.

WASHINGTON : Les prix du pétrole ont perdu jeudi de la vitesse, d'une part en raison d'informations de presse selon lesquelles les États-Unis et l'Iran pourraient rouvrir les discussions sur le nucléaire, et d'autre part, car l'Opep+ devrait annoncer dimanche un relèvement de sa production.

Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en septembre a perdu 0,45 % pour s'établir à 68,80 dollars.

Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate pour livraison en août, a reculé de 0,67 % à 67,00 dollars.

« Ce qui a fait bouger les prix aujourd'hui » est la nouvelle qu'un responsable américain « va rencontrer le ministre iranien des Affaires étrangères la semaine prochaine pour discuter d'un accord sur le nucléaire », commente auprès de l'AFP Robert Yawger, de Mizuho USA.

Le média américain Axios, citant deux sources anonymes, a en effet rapporté que l'émissaire de la Maison Blanche pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, envisageait de rencontrer Abbas Araghchi à Oslo. 

Ni Téhéran ni Washington n'ont confirmé ces informations, qui précisent qu'aucune date définitive n'a encore été fixée pour ces pourparlers.

« Le marché s'est fortement replié à la suite de cette information », note M. Yawger, ce qui a effacé une partie de la prime de risque géopolitique.

Selon l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA), l'Iran était le neuvième producteur mondial de brut en 2023 et possède les troisièmes réserves prouvées, derrière le Venezuela et l'Arabie saoudite.

Dans le même temps, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) doit décider dimanche du niveau de sa production pour le mois d'août. Selon de nombreux analystes, le cartel devrait réintroduire 411 000 barils par jour sur le marché.

Cette hausse, similaire à celles des mois de mai, juin et juillet, accroît l'offre disponible de pétrole et met les cours sous pression. 

Si l'Opep+ ajoute « un total de 2,2 millions de barils » par jour sur le marché, en additionnant les hausses mensuelles d'avril à août, « cela risque de peser lourdement sur le prix du pétrole au second semestre 2025 », estime M. Yawger.

Dans sa prévision la plus récente, la banque Morgan Stanley prévoit même que le prix du baril de Brent descendra cette année à 60 dollars, en raison de la hausse de la production interne à l'Opep+ et de celle des pays en dehors du cartel.

Le marché du brut est également affecté par la hausse inattendue des stocks de pétrole aux États-Unis, annoncée la veille par l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA), de 3,8 millions de barils.

« La demande d'essence » est par ailleurs décevante, avec une baisse importante par rapport à la période précédente (-10,8 %). 


Chalhoub Group réaffirme son engagement en matière de durabilité

Le Groupe Chalhoub a ajouté des véhicules électriques à sa flotte, réitérant ainsi son engagement à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à atteindre ses objectifs de zéro émission nette d'ici 2040. (février 2025 - fourni)
Le Groupe Chalhoub a ajouté des véhicules électriques à sa flotte, réitérant ainsi son engagement à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à atteindre ses objectifs de zéro émission nette d'ici 2040. (février 2025 - fourni)
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  • Le groupe poursuit son objectif ambitieux de devenir Net Zéro d'ici 2040, en mettant en œuvre des stratégies visant à réduire son empreinte carbone
  • Le Chalhoub Group ne se contente pas d'atteindre ses objectifs de durabilité actuels ; il cherche également à faire évoluer ses pratiques en collaboration avec ses partenaires et ses marques

DUBAI: Le Chalhoub Group a publié son 11e rapport annuel de durabilité, soulignant une fois de plus l'intégration des objectifs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans son modèle d'affaires.

À travers ce rapport de 2024, le groupe réaffirme son engagement envers les Objectifs de Développement Durable des Nations Unies (ODD), en se concentrant sur trois piliers majeurs : les Personnes, les Partenaires et la Planète.

Des initiatives environnementales ambitieuses

Le Chalhoub Group poursuit son objectif ambitieux de devenir Net Zéro d'ici 2040, en mettant en œuvre des stratégies visant à réduire son empreinte carbone à travers les émissions de Scope 1, 2 et 3. Dans cette optique, le groupe a déjà enregistré une réduction de 12% des émissions de Scope 1 et a converti 11% de sa flotte B2C en véhicules électriques.

De plus, le Chalhoub Group a lancé son tout premier projet de restauration des récifs coralliens, avec un engagement de restauration de 58,6 m², dans le cadre de son objectif à long terme de restaurer 500 m² d'ici 2030.

«Chez Chalhoub Group, nous restons engagés à mener une durabilité significative, affinant continuellement notre approche en écoutant, apprenant et nous adaptant. Alignés sur notre feuille de route Net Zéro d'ici 2040. (…) Notre programme de partenariat avec les marques continue de favoriser des stratégies collaboratives de réduction des émissions à travers notre chaîne de valeur,» a declaré Florence Bulte, directrice de la durabilité du Chalhoub Group.

Un engagement fort envers le bien-être des employés

Le bien-être des employés est un axe fondamental pour Chalhoub Group. Reconnu par Son Altesse le Sheikh Mohamed bin Zayed Al Nahyan et l'Autorité pour la Petite Enfance d'Abou Dhabi, le groupe a obtenu le label "Parent-friendly" en 2024, confirmant ainsi l'approche centrée sur les personnes qui est au cœur de son modèle d'affaires.

Ce label met en valeur les initiatives de Chalhoub Group en matière de congés parentaux, de flexibilité au travail et de soutien au bien-être familial, des efforts qui dépassent largement les standards régionaux. En effet, le groupe offre 90 jours de congé maternité et 30 jours de congé paternité, contribuant ainsi à instaurer une véritable culture de soutien à la famille.

Pour Patrick Chalhoub, président exécutif du groupe, «La durabilité n'est pas seulement un principe directeur, elle est au cœur de notre stratégie à long terme. Au cœur de tous nos efforts, il y a une conviction simple mais puissante : nos employés sont notre atout le plus précieux. Favoriser une culture inclusive, valorisante et saine est essentiel pour créer un environnement propice et libérer tout le potentiel de nos équipes.»

Favoriser l'inclusion et la diversité

Avec un engagement constant envers le bien-être de tous ses collaborateurs, l’accessibilité a toujours été une priorité pour Chalhoub Group. Plus de 400 fonctionnalités d'accessibilité ont été intégrées dans ses bureaux et espaces de vente, et le groupe emploie actuellement 34 Personnes de Détermination.

Ces efforts contribuent à instaurer une véritable culture de belonging et d'inclusivité, permettant à chaque membre de l'équipe de participer pleinement à la réussite collective.

«Chez Chalhoub Group, nous croyons que l'excellence opérationnelle doit refléter nos valeurs, et cela inclut l'inclusivité. Les principes de diversité, d'équité et d'inclusion (DE&I) sont pleinement intégrés dans notre manière de diriger, recruter et constituer nos équipes,» explique Andreu Marco, directeur des opérations du Chalhoub Group.

Vers un modèle durable à long terme

Le groupe ne se contente pas d'atteindre ses objectifs de durabilité actuels ; il cherche également à faire évoluer ses pratiques en collaboration avec ses partenaires et ses marques.

À titre d'exemple, Chalhoub Group a collaboré avec Schneider Electric pour organiser des ateliers conjoints et des sessions de sensibilisation des fournisseurs, visant à réduire les émissions de Scope 3. Ce partenariat a également abouti au développement d'outils et de programmes de formation sur la réduction des émissions de carbone, dans une démarche d'amélioration continue.

«Notre collaboration avec nos partenaires et marques repose sur un échange mutuel d'expertise en matière de durabilité tel est le cas avec Schneider Electric. (…) Nous avons également co-développé des kits de réduction des émissions de carbone et des programmes de formation mensuels,» precise Florence Bulte, en soulignant l'importance de ces collaborations.

Le Chalhoub Group continue de renforcer ses actions en matière de durabilité, avec des initiatives concrètes qui visent à allier impact positif, innovation et collaboration, tout en plaçant l'humain au cœur de son modèle.