Un petit astéroïde a encore frôlé la Terre dimanche

Selon le Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la NASA, l'astéroïde 2020 QG a été découvert après être passé à 2 900 kilomètres de la Terre. (Handout / NASA/JPL-CALTECH / AFP)
Selon le Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la NASA, l'astéroïde 2020 QG a été découvert après être passé à 2 900 kilomètres de la Terre. (Handout / NASA/JPL-CALTECH / AFP)
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Publié le Mercredi 19 août 2020

Un petit astéroïde a encore frôlé la Terre dimanche

  • La Nasa a parmi ses missions de repérer les astéroïdes, bien plus grands (140 mètres), qui menacent réellement la Terre de destructions
  • Le caillou est passé au-dessus du sud de l'océan Indien dimanche à 04H08 GMT à une vitesse de 12,3 kilomètres par seconde

WASHINGTON : Un astéroïde long de trois à six mètres est passé à 2.950 km de la Terre dimanche, selon la Nasa, qui annonce qu'il s'agit de l'astéroïde le plus proche à avoir jamais été observé passant près de notre planète.

S'il était entré en collision avec notre monde, l'astéroïde, baptisé 2020 QG, n'aurait probablement pas fait de dégâts, mais sa désintégration dans l'atmosphère aurait sans doute créé une boule de feu dans le ciel, un météore, explique le Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la Nasa dans un communiqué mardi.

Le caillou est passé au-dessus du sud de l'océan Indien dimanche à 04H08 GMT à une vitesse de 12,3 kilomètres par seconde, à une distance bien en-dessous de l'orbite géostationnaire d'environ 36.000 km où volent la plupart des satellites de télécommunication.

L'astéroïde a en réalité été repéré six heures après son passage, par le Zwicky Transient Facility, un télescope à l'observatoire Palomar de l'université Caltech, en Californie, comme un long trait lumineux dans le ciel. 

L'agence spatiale américaine estime que des astéroïdes de cette taille frôlent la Terre à cette distance quelques fois par an.

Mais ils sont difficiles à repérer, à moins qu'ils ne se dirigent directement sur le globe, auquel cas l'explosion dans l'atmosphère est généralement remarquée, comme à Tcheliabinsk, en Russie en 2013, quand l'explosion d'un objet d'environ 20 mètres avait fait voler en éclats les vitres sur des kilomètres, blessant un millier de personnes.

La Nasa a parmi ses missions de repérer les astéroïdes, bien plus grands (140 mètres), qui menacent réellement la Terre de destructions, mais ses appareils surveillent aussi les plus petits.

"C'est vraiment cool de voir un petit astéroïde se rapprocher si près, car on peut voir la gravité terrestre courber sa trajectoire", explique Paul Chodas, directeur du centre d'étude des objets proches de la Terre à la Nasa.

Selon les calculs du JPL, l'astéroïde a fait un virage de 45 degrés à cause de notre planète.


« I like it hot ! » : J. Lo fait sensation à Abou Dhabi

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  • Jennifer Lopez, 56 ans, prouve qu’elle reste l’une des artistes les plus enflammées au monde

ABOU DHABI: De retour à Abou Dhabi après son spectacle magistral en février, Jennifer Lopez a dansé toute la soirée mardi à l’Etihad Arena sur l’île de Yas dans le cadre de sa tournée mondiale « Up All Night ».

En interprétant ses tubes cultes comme « On the Floor », « Ain’t Your Mama » et « Dance Again », Lopez a fait monter la température avec son énergie débordante et ses chorégraphies percutantes.

Même si j’ai regretté que « Jenny From the Block » n’ait pas bénéficié d’un moment à elle, Lopez l’a tout de même interprétée en medley avec « We Will Rock You » de Queen.

Pour célébrer ses 56 ans, elle a chanté « Birthday », le single sorti le 24 juillet, très applaudi par le public.

La superstar a remercié ses fans et les a encouragés à s’aimer les uns les autres et à suivre ce qu’ils aiment.

Elle a également plaisanté sur la chaleur intense des Émirats. « I like it hot ! », a-t-elle lancé en se ventilant.

Avec plusieurs changements de tenues et des plages musicales bien calibrées, le show a alterné entre titres dynamiques, ballades lentes et medleys.

Lopez a rendu hommage à sa culture latino en interprétant quelques-uns de ses succès en espagnol, notamment « Qué Hiciste » et « Si Una Vez ».

Elle a chanté en dansant le flamenco, vêtue d’une tenue inspirée du traje de flamenca, la robe traditionnelle des femmes aux festivals andalous.

L’artiste n’est pas étrangère au Golfe : elle avait déjà fait sensation en avril lors du Grand Prix d’Arabie saoudite de F1 à Djeddah, puis en novembre dernier à Riyad pour l’événement « 1001 Seasons of Elie Saab ».

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L’artiste saoudienne met en lumière le riche paysage culturel de l’Asir à travers ses œuvres

L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
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  • Arafat Al-Asimi a surmonté de nombreux défis pour s’imposer comme artiste en tant que femme

MAKKAH : Les montagnes verdoyantes de la région d’Asir en Arabie saoudite ont nourri la vision artistique d’Arafat Al-Asimi.

En évoquant ses débuts, Al-Asimi confie qu’elle aime utiliser des couleurs pastel pour représenter des paysages naturels et patrimoniaux. Les montagnes, les vallées, les nuances des forêts et le climat unique de la région ont nourri son imagination artistique.

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L’artiste Arafat Al-Asimi affirme se sentir chez elle au cœur de la nature et des paysages traditionnels. (Fournie)

Elle explique se sentir profondément liée à la nature et aux dessins de paysages traditionnels, en particulier ceux inspirés de l’Asir, car ils traduisent son fort sentiment d’appartenance et lui procurent un équilibre et un confort psychologique.

Elle partage également sa passion pour l’intégration de la calligraphie arabe dans ses œuvres, soulignant combien cette pratique allie esthétique visuelle et identité culturelle.


Le programme Saudi Game Champions soutient les talents locaux pour une portée mondiale

Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
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  • Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux
  • L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme

RIYAD : Le Centre de l'entrepreneuriat numérique du ministère des communications et des technologies de l'information a conclu le programme Saudi Game Champions, une initiative de neuf mois visant à soutenir la croissance des studios de développement du pays.

Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux.

L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme.

Elle a offert plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux d'Arabie saoudite.

Lors de la cérémonie de clôture, Hussain Al-Safwan de LIMELESS Studio a remporté le prix du changement audacieux, tandis que Fahad Al-Jumaan de Hero Galaxy Studio a reçu le prix de l'inspiration.

Mostafa Fares a reçu le prix de la créativité et son collègue Ali Aseeri le prix du choix du public, tous deux représentant SYMMETRIC STUDIO.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre des efforts plus vastes déployés par le centre pour renforcer le rôle du Royaume dans l'industrie mondiale du jeu.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com