Entreprises familiales : Les femmes sortent de l’ombre !

«Nous avons écrit ce livre à quatre mains en nous appuyant sur notre passion commune pour le sujet et sur notre grande complémentarité en termes de profils». (Photo, Le Matin)
«Nous avons écrit ce livre à quatre mains en nous appuyant sur notre passion commune pour le sujet et sur notre grande complémentarité en termes de profils». (Photo, Le Matin)
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Publié le Mardi 13 avril 2021

Entreprises familiales : Les femmes sortent de l’ombre !

  • Cet intérêt se confirme à nouveau à travers la publication d’un ouvrage qui examine la place des femmes au cœur des entreprises familiales
  • «Grâce à des valeurs partagées et à une mise en confiance particulière pour les femmes, ce type d’entreprise peut s’avérer propice à l’emploi pour elles»

À ESCA École de Management, le sujet des entreprises familiales bénéficie depuis plusieurs années d’un intérêt particulier et fait même l’objet d’une Chaire académique qui lui est entièrement dédiée. Cet intérêt se confirme à nouveau à travers la publication d’un ouvrage qui examine la place des femmes au cœur des entreprises familiales. Ce livre, publié aux éditions La Croisée des Chemins, est co-signé par Thami Ghorfi, président de l’ESCA, et Dora Jurd de Girancourt, chercheuse dans les domaines du marketing et de la communication des entreprises familiales. Les détails.

Cinq ans après la publication de l’ouvrage collectif «Entreprises familiales, des paradoxes aux opportunités», Thami Ghorfi, président de l’ESCA École de Management, récidive avec un nouveau livre sur le même sujet, mais qui, cette fois-ci, jette la lumière sur un recoin peu exploré de ce type d’entreprises qui composent plus de 90% du tissu économique du Maroc.
Ce nouvel ouvrage, co-écrit avec Dora Jurd de Girancourt, chercheuse dans les domaines du marketing et de la communication des entreprises familiales, s’intéresse en effet à la place des femmes au sein de ces entreprises et représente une suite logique aux différents travaux menés par la business school dans le cadre de sa Chaire «Entreprises familiales au Maroc», mise en place en 2016.
«Ce livre s’est imposé à nous presque comme une évidence, et le sujet aussi. Il analyse, en effet, la place réelle des femmes dans l’entreprise familiale, un sujet d’actualité dans l’entreprise et dans la société au sens large», expliquent les deux auteurs dans une déclaration au quotidien «Matin».
«Nous avons écrit ce livre à quatre mains en nous appuyant sur notre passion commune pour le sujet et sur notre grande complémentarité en termes de profils. Il s’agit d’un travail de recherche qui s’inscrit dans le cadre des publications de la Chaire «Entreprises familiales au Maroc» de l’ESCA École de Management», ont-ils précisé.
L’ouvrage intitulé «Femmes au cœur des entreprises familiales» établit notamment que les femmes accèdent désormais à des positions importantes au sein de ces entreprises, en se basant sur des revues de littératures, mais aussi sur les témoignages d’une trentaine de femmes leaders dans des entreprises familiales au Maroc.

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NDLR: Mosaïque est une revue de presse qui offre au lecteur un aperçu sélectif et rapide des sujets phares abordés par des quotidiens et médias de renommée dans le monde arabe. Arab news en Français se contente d’une publication très sommaire, revoyant le lecteur directement vers le lien de l’article original. L’opinion exprimée dans cette page est propre à l’auteur et ne reflète pas nécessairement celle d’Arab News en français.


Complot contre la sûreté de l’État : 12 accusés d’Ennahdha renvoyés en justice

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  • Parmi les douze accusés se trouvent des dirigeants au mouvement Ennahdha
  • Les accusés sont renvoyés devant la chambre criminelle spécialisée dans les affaires terroristes au Tribunal de première instance de Tunis

 La chambre d’accusation spécialisée dans les affaires de terrorisme près la Cour d’appel de Tunis a décidé de renvoyer 12 accusés devant la justice dont des dirigeants au mouvement Ennahdha pour des chefs d’accusation à caractère terroriste, a déclaré, vendredi, à l’agence TAP, Habib Torkhani, porte-parole de la Cour d’appel de Tunis.

 

La chambre d’accusation en question a décidé, jeudi, de renvoyer Mondher Ounissi, vice-président du mouvement Ennahdha (en détention), Rafik Abdessalem, gendre du président du mouvement Ennahdha, Chahrazed Akecha, Ahmed Gaâloul, Tarak Boubahri, Ridha Idriss, Mouadh Khriji, Maher Zid, Fethi Ayadi, Mohamed Samti (tous en fuite) et deux autres accusés non identifiés (en liberté) devant la chambre criminelle spécialisée dans les affaires terroristes au Tribunal de première instance de Tunis dans l’affaire dite de « complot contre la sûreté de l’État 2 ».

 

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Avi Shlaim : «Ce qui se passe à Ghaza est la manifestation du terrorisme d’Etat israélien»

Avi Shlaim (D.R.)
Avi Shlaim (D.R.)
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  • L’objectif déclaré du blocus était d’arrêter le transfert d’armes et d’équipements militaires au Hamas, mais il limitait également le flux de nourriture, de carburant et de fournitures médicales
  • Dans ses aspects non militaires, le blocus constituait une forme de punition collective clairement proscrite par le droit international

Diviser pour régner a toujours été le mode opératoire des occupants. Mais pourquoi les Israéliens persistent-ils à imposer toute une batterie de mesures inhumaines pour punir collectivement les Palestiniens ?

Israël a répondu à la décision du Hamas en déclarant la bande de Ghaza «territoire hostile». Il a également adopté une série de mesures sociales, économiques et militaires destinées à isoler et affaiblir le Hamas. La plus importante de ces mesures a été l’imposition d’un blocus. L’objectif déclaré du blocus était d’arrêter le transfert d’armes et d’équipements militaires au Hamas, mais il limitait également le flux de nourriture, de carburant et de fournitures médicales vers la population civile. Un sénateur américain a été indigné de découvrir que les pâtes figuraient sur la liste des produits interdits.

Le boycott s’appliquait non seulement aux importations mais, de manière perverse, également à certaines exportations de Ghaza. Pourquoi empêcher l’exportation de produits agricoles, de poissons et d’autres biens non mortels ? Il est difficile d’éviter de conclure que le motif caché était de paralyser l’économie de Ghaza et d’infliger la pauvreté, la misère et le chômage à ses habitants.

Dans ses aspects non militaires, le blocus constituait une forme de punition collective clairement proscrite par le droit international. Compte tenu de l’ampleur des souffrances infligées par le blocus aux habitants de la bande de Ghaza, si Israël était une personne, il pourrait être considéré comme coupable d’«indifférence dépravée», un concept du droit américain (son équivalent dans le droit commun anglais est «cœur dépravé») qui fait référence à une conduite si gratuite, si insensée, si immorale, si peu respectueuse de la vie d’autrui et si répréhensible qu’elle justifie une responsabilité pénale.

 

 

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L'Arabie Saoudite lance un programme de formation pour lutter contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme

Le directeur général de l'Académie financière d'Arabie saoudite, Mana bin Mohammed Al-Khamsan (Asharq Al-Awsat)
Le directeur général de l'Académie financière d'Arabie saoudite, Mana bin Mohammed Al-Khamsan (Asharq Al-Awsat)
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  • Le programme de 18 mois vise à former le personnel à mieux prévenir, analyser et signaler les activités illégales
  • L'annonce a été faite lors du " Forum arabe pour les agences de lutte contre la corruption et les unités de renseignement financier ",

L'Arabie saoudite a dévoilé un nouveau programme de formation pour lutter contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme. L'initiative s'adresse aux dirigeants des secteurs financiers et non financiers du pays.

L'annonce a été faite lors du " Forum arabe pour les agences de lutte contre la corruption et les unités de renseignement financier ", un événement de deux jours parrainé par le prince Mohammed bin Salman, prince héritier et Premier ministre d'Arabie saoudite, à Riyad.

Le programme de 18 mois vise à former le personnel à mieux prévenir, analyser et signaler les activités illégales. Il vise également à améliorer le partage d'informations entre les institutions financières et les organismes de réglementation, renforçant ainsi l'intégrité globale du système financier.

 

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