«Envole-moi»: le petit-fils Belmondo dans le «feel good movie» du déconfinement

L'acteur français Jean-Paul Belmondo (à droite), son fils Paul Belmondo (au centre) et son petit-fils Victor (à gauche) assistent à la présentation du documentaire «Belmondo par Belmondo» le 13 octobre 2015 lors de la septième édition du Festival du film Lumière en Lyon. (Photo, AFP)
L'acteur français Jean-Paul Belmondo (à droite), son fils Paul Belmondo (au centre) et son petit-fils Victor (à gauche) assistent à la présentation du documentaire «Belmondo par Belmondo» le 13 octobre 2015 lors de la septième édition du Festival du film Lumière en Lyon. (Photo, AFP)
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Publié le Mardi 18 mai 2021

«Envole-moi»: le petit-fils Belmondo dans le «feel good movie» du déconfinement

  • Victor Belmondo incarne Thomas, un «fils à papa» qui accumule les frasques
  • «Depuis que je suis petit, je rêve de faire du cinéma», a raconté l'acteur à l'AFP

PARIS: Après une dizaine de seconds rôles, Victor Belmondo, 27 ans, le petit-fils de Jean-Paul Belmondo, est en tête d'affiche de «Envole-moi», nouveau long métrage de Christophe Barratier («Les Choristes»), une comédie dramatique qui évoque à sa façon le carton cinématographique «Intouchables».

Victor Belmondo incarne Thomas, un «fils à papa» qui accumule les frasques. Jusqu'à ce que son père (Gérard Lanvin), chirurgien, décide de lui couper les vivres. Pour responsabiliser son rejeton, il l'oblige dans le même temps à devenir l'assistant de vie d'un jeune patient atteint d'une grave malformation cardiaque qui l'handicape dans ses gestes quotidiens.

Petit à petit, les deux jeunes gens apprennent l'un de l'autre comment surmonter leurs difficultés respectives. À l'écran, l'ascenseur émotionnel fonctionne et les deux jeunes comédiens livrent une belle performance.

«C'est la rencontre inattendue de ces deux personnages auxquels il manque des armes pour faire face à la vie, un beau film de redémarrage pour les salles, avec des bons sentiments, dans le sens noble du terme, en tout cas des sentiments plus profonds qu’on ne les imagine», déclare Christophe Barratier («Les Choristes», «Faubourg 36», «La Nouvelle guerre des boutons»...).

«Depuis que je suis petit, je rêve de faire du cinéma», a raconté à l'AFP Victor Belmondo. «Mon père (Paul Belmondo) m'a mis en garde car acteur est un métier très aléatoire. Il m'a encouragé à avoir d'autres cordes à mon arc. J'ai fait des études de scénariste à l'École supérieure d'études cinématographiques (ESEC)», ajoute le jeune acteur, enrôlé en 2019 par Xavier Beauvois («Albatros») et Lisa Azuelos («Mon Bébé»).

«Dès la lecture du scénario d'"Envole-moi", j'ai adoré l'histoire très riche en situations et en émotions. J'ai passé le casting et j'ai tout fait pour réussir mes essais», raconte Victor Belmondo, «impatient de montrer le film à son grand-père».


« I like it hot ! » : J. Lo fait sensation à Abou Dhabi

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  • Jennifer Lopez, 56 ans, prouve qu’elle reste l’une des artistes les plus enflammées au monde

ABOU DHABI: De retour à Abou Dhabi après son spectacle magistral en février, Jennifer Lopez a dansé toute la soirée mardi à l’Etihad Arena sur l’île de Yas dans le cadre de sa tournée mondiale « Up All Night ».

En interprétant ses tubes cultes comme « On the Floor », « Ain’t Your Mama » et « Dance Again », Lopez a fait monter la température avec son énergie débordante et ses chorégraphies percutantes.

Même si j’ai regretté que « Jenny From the Block » n’ait pas bénéficié d’un moment à elle, Lopez l’a tout de même interprétée en medley avec « We Will Rock You » de Queen.

Pour célébrer ses 56 ans, elle a chanté « Birthday », le single sorti le 24 juillet, très applaudi par le public.

La superstar a remercié ses fans et les a encouragés à s’aimer les uns les autres et à suivre ce qu’ils aiment.

Elle a également plaisanté sur la chaleur intense des Émirats. « I like it hot ! », a-t-elle lancé en se ventilant.

Avec plusieurs changements de tenues et des plages musicales bien calibrées, le show a alterné entre titres dynamiques, ballades lentes et medleys.

Lopez a rendu hommage à sa culture latino en interprétant quelques-uns de ses succès en espagnol, notamment « Qué Hiciste » et « Si Una Vez ».

Elle a chanté en dansant le flamenco, vêtue d’une tenue inspirée du traje de flamenca, la robe traditionnelle des femmes aux festivals andalous.

L’artiste n’est pas étrangère au Golfe : elle avait déjà fait sensation en avril lors du Grand Prix d’Arabie saoudite de F1 à Djeddah, puis en novembre dernier à Riyad pour l’événement « 1001 Seasons of Elie Saab ».

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L’artiste saoudienne met en lumière le riche paysage culturel de l’Asir à travers ses œuvres

L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
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  • Arafat Al-Asimi a surmonté de nombreux défis pour s’imposer comme artiste en tant que femme

MAKKAH : Les montagnes verdoyantes de la région d’Asir en Arabie saoudite ont nourri la vision artistique d’Arafat Al-Asimi.

En évoquant ses débuts, Al-Asimi confie qu’elle aime utiliser des couleurs pastel pour représenter des paysages naturels et patrimoniaux. Les montagnes, les vallées, les nuances des forêts et le climat unique de la région ont nourri son imagination artistique.

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L’artiste Arafat Al-Asimi affirme se sentir chez elle au cœur de la nature et des paysages traditionnels. (Fournie)

Elle explique se sentir profondément liée à la nature et aux dessins de paysages traditionnels, en particulier ceux inspirés de l’Asir, car ils traduisent son fort sentiment d’appartenance et lui procurent un équilibre et un confort psychologique.

Elle partage également sa passion pour l’intégration de la calligraphie arabe dans ses œuvres, soulignant combien cette pratique allie esthétique visuelle et identité culturelle.


Le programme Saudi Game Champions soutient les talents locaux pour une portée mondiale

Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
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  • Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux
  • L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme

RIYAD : Le Centre de l'entrepreneuriat numérique du ministère des communications et des technologies de l'information a conclu le programme Saudi Game Champions, une initiative de neuf mois visant à soutenir la croissance des studios de développement du pays.

Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux.

L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme.

Elle a offert plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux d'Arabie saoudite.

Lors de la cérémonie de clôture, Hussain Al-Safwan de LIMELESS Studio a remporté le prix du changement audacieux, tandis que Fahad Al-Jumaan de Hero Galaxy Studio a reçu le prix de l'inspiration.

Mostafa Fares a reçu le prix de la créativité et son collègue Ali Aseeri le prix du choix du public, tous deux représentant SYMMETRIC STUDIO.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre des efforts plus vastes déployés par le centre pour renforcer le rôle du Royaume dans l'industrie mondiale du jeu.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com