La crise des réfugiés syriens est l'une des catastrophes humanitaires les plus éprouvantes du XXIe siècle
Déclenché par une guerre civile qui a éclaté en 2011, le conflit a déplacé plus de 13 millions de Syriens, soit la moitié de la population du pays avant la guerre
La guerre de Gaza a également eu un effet d'entraînement sur le Liban, puisque des escarmouches ont éclaté entre le Hezbollah et Israël le 8 octobre 2023
En septembre, cependant, la dynamique du conflit a changé et Israël a entamé une guerre totale contre le Liban, ciblant toutes les régions du pays, et pas seulement les bastions du Hezbollah
Depuis le déclenchement de la guerre en Syrie en 2011, Bachar Al-Assad a bénéficié d’un soutien massif de l’Iran, ainsi que d’un appui militaire et diplomatique de l’Algérie.
Cet axe Téhéran-Damas-Alger repose sur une convergence d’intérêts géopolitiques, idéologiques et stratégiques.
« Il est préoccupant de constater que les forces de l'armée israélienne continuent de détruire des zones résidentielles, des terres agricoles et des réseaux routiers dans le sud du Liban.
Jeudi, la Finul a de nouveau appelé « au retrait rapide » de l'armée israélienne, ainsi qu'à la « mise en œuvre intégrale » de la résolution 1701.
Malgré les violations du cessez-le-feu, le calme fragile qui règne au Liban permet aux villages à majorité chrétienne de célébrer les fêtes de fin d'année
Les municipalités des régions frontalières d'Israël déchirées par la guerre s'engagent à aider les habitants à reconstruire leurs maisons et à retrouver l'espoir
Bethléem, déjà isolée de la majeure partie de ses terres, se retrouve complètement encerclée par des colonies israéliennes illégales
À l'instar de tous les Palestiniens, les chrétiens palestiniens méritent notre solidarité, en particulier en cette période où leur existence même est menacée
Dès les premiers jours de la guerre, Israël a compris que, pour procéder à un nettoyage ethnique des Palestiniens, il devait viser tous les aspects de la vie dans la bande de Gaza
Beit Lahia est un microcosme de l'échec de la guerre d'Israël dans la bande de Gaza : une opération sanglante qui n'a mené nulle part, malgré les destructions massives
Le ministre de la Défense israélien Israël Katz a reconnu lundi que son pays avait tué en juillet à Téhéran le chef du mouvement islamiste palestinien Hamas, Ismaïl Haniyeh, dans une déclaration où il a menacé de décapiter la direction des rebelles yéméni
L'Iran et le Hamas avait imputé l'assassinat de Haniyeh, le 31 juillet dans la capitale iranienne, à Israël, qui n'avait pas commenté