L'enquête le visant a été ouverte après la publication d'un rapport d'Amnesty International selon lequel son téléphone était espionné via un logiciel de piratage utilisé par les autorités marocaines.
"Je ne suis ni un espion ni un agent payé par un fonds étranger", a réagi le journaliste dans un communiqué publié samedi sur son compte Facebook.