Les Etats-Unis jouent, comme ailleurs en Afrique ou en Amérique latine, la carte du «partenaire fiable», capable de mettre sur la table d'autres choses que Moscou et Pékin
Le Kazakhstan, qui partage une frontière longue de quelque 7.500 kilomètres avec la Russie, est en première ligne au regard de sa relation complexe avec Moscou
Olaf Scholz, accompagné de représentants de grandes entreprises allemandes dont Siemens, a rencontré à New Delhi le Premier ministre indien Narendra Modi
Les deux parties divergent notamment sur la guerre en Ukraine, l'Inde refusant de condamner l'invasion de la Russie
Emmanuel Macron, qui s'est exprimé en marge d'une visite au Salon de l'agriculture, a expliqué que cette paix n'était «possible que si elle passe par un arrêt de l'agression russe»
Le président français a appelé Pékin à «ne livrer aucune arme à la Russie»
Cet arrêt survient au lendemain de l'approbation par l'UE d'un nouveau train de sanctions destinées à frapper l'économie de la Russie et des entreprises iraniennes
Depuis plusieurs années, la Pologne a largement diversifié ses sources d'approvisionnement en gaz et en pétrole
Proche partenaire de la Russie, la Chine s'était jusque-là gardée de prendre position à propos de l'invasion russe, entrée dans sa deuxième année
Se démarquant des doutes américains ou allemands, Emmanuel Macron a estimé que «le fait que la Chine s'engage dans des efforts de paix est tout à fait bon» et annoncé qu'il se rendrait à Pékin «début avril»
Volodymyr Zelensky a dit espérer que la Chine ne fournira pas d'armes à la Russie, comme l'en accuse les Etats-Unis, ce que Pékin a démenti
La Chine a appelé à tenir des pourparlers de paix russo-ukrainiens, évoquant le respect de l'intégrité territoriale de l'Ukraine et des revendications sécuritaires pour la Russie