Selon l'une de ces sources, ces gardes à vue sont menées à Nanterre à l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (Oclciff)
Elles porteraient sur des soupçons de « subornation de témoin » et « association de malfaiteurs » relatives à un entretien accordé en novembre dernier par Ziad Takieddine au journaliste de Paris Match