La nouvelle attaque ukrainienne samedi en Crimée intervient quelques jours après un assaut contre le pont de Kertch, le seul ouvrage de ce genre qui relie la péninsule à la Russie et sert notamment à acheminer du matériel aux militaires russes
Kiev, qui a déclenché début juin une contre-offensive pour reprendre les territoires conquis par Moscou, affirme son intention de récupérer notamment la Crimée, que la Russie a unilatéralement rattachée en 2014 à son territoire
Interrogé sur ce à quoi il faisait allusion, il a précisé qu'il s'agissait de la livraison de «sortes d'équipements militaires»
Selon une source diplomatique française, le conseiller faisait référence à de «possibles livraisons de technologies à double usage», à la fois civil et militaire
La Russie a affirmé mercredi qu'elle considérerait les navires se rendant vers l'Ukraine en mer Noire comme ayant potentiellement un chargement militaire, et les pays dont ils battent le pavillon comme parties prenantes au conflit
Parallèlement, des frappes russes ont touché ces dernières nuits la région d'Odessa, port stratégique pour l'Ukraine en mer Noire
«Les Russes fuyant la mobilisation pour la guerre en Ukraine et les mobilisés ayant déserté peuvent obtenir le statut de réfugié», a estimé la Cour nationale du droit d'asile
Cette doctrine, la première en France concernant les déserteurs de l'armée russe, s'appuie sur une directive européenne et un arrêt de la Cour de justice de l'Union européenne
Mercredi, un porte-parole du président africain, Vincent Magwenya, a annoncé que «d'un accord mutuel, le président de la Fédération russe Vladimir Poutine ne participera pas au sommet»
Cette décision a été prise après «un certain nombre de consultations» menées par le président Cyril Ramaphosa ces derniers mois, dont la dernière «la nuit dernière»
L'accusation demande 20 ans d'emprisonnement pour Navalny, à purger dans une colonie à régime spécial
Bête noire du président Vladimir Poutine, régulièrement envoyé en cellule correctionnelle dans sa prison, M. Navalny dénonce ces affaires comme étant des vengeances politiques