Six combattants ont été tués et trois autres blessés lors d'une offensive déclenchée par les forces du régime, épaulées par des forces kurdes, dans la nuit de dimanche à lundi dans la région d'Afrine, proche de la frontière avec la Turquie
Les tués sont des combattants de Faylaq al-Cham, jugé proche de la branche syrienne des Frères musulmans, selon une source de ce groupe
Ce conducteur de train retraité de nationalité française a confié aux enquêteurs ressentir une «haine des étrangers devenue complètement pathologique» depuis le cambriolage de son domicile en 2016
Des centaines de personnes ont répondu à l'appel à manifester à Hassaké, lancé par les autorités de la région semi-autonome kurde, dans le nord-est de la Syrie
En France, des manifestations d'hommage aux victimes ont eu lieu samedi et ont marquées par des violences à Paris et à Marseille
Les enfants sont pour nombre d'entre eux nés en zone irako-syrienne où leur mères s'étaient rendues volontairement dans des territoires contrôlés par des groupes jihadistes
La question de leur retour reste sensible en France, pays marqué par les attentats de 2015 et le gouvernement a longtemps procédé à des rapatriement décidés au cas par cas
«Il est important et prioritaire de nettoyer le long de la frontière des terroristes, sur au moins 30 km de profondeur, conformément au mémorandum de Sotchi en 2019», a affirmé M. Erdogan
Le chef de l'Etat turc menaçait depuis novembre de lancer une opération militaire terrestre dans le nord de la Syrie pour repousser les combattants des YPG qu'Ankara accuse d'être derrière un attentat qui a fait six morts à Istanbul le 13 novembre