Le Festival du film franco-arabe à Noisy-le-Sec, des récits qui font lien

La 9e édition du FFFA, prévue en 2020, a été reportée du 12 au 24 juin 2021 en raison des mesures sanitaires prises par le gouvernement durant la pandémie de la Covid-19. Dans le cadre de la 9e édition du FFFA, en partenariat avec Côté Court, le festival du court-métrage de Pantin, un concours de courts-métrages s’est tenu en ligne du 9 au 13 décembre 2020 (Fournie)
La 9e édition du FFFA, prévue en 2020, a été reportée du 12 au 24 juin 2021 en raison des mesures sanitaires prises par le gouvernement durant la pandémie de la Covid-19. Dans le cadre de la 9e édition du FFFA, en partenariat avec Côté Court, le festival du court-métrage de Pantin, un concours de courts-métrages s’est tenu en ligne du 9 au 13 décembre 2020 (Fournie)
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Publié le Vendredi 18 juin 2021

Le Festival du film franco-arabe à Noisy-le-Sec, des récits qui font lien

  • À l’instar de son homologue jordanien, le FFFA de Noisy-le-Sec, lancé en 2011, est né d’une volonté de créer des ponts entre les cultures
  • «Cet événement a pour objectif de montrer la richesse et la diversité cinématographique du monde arabe et de la France ainsi que les liens qui les unissent»

PARIS: Le Festival du film franco-arabe (FFFA), un événement annuel organisé par la Direction des affaires culturelles de la ville de Noisy-le-Sec, en partenariat avec le cinéma communautaire Le Trianon Est-Ensemble, est programmé jusqu’au 24 juin à Noisy-le-Sec, dans la région parisienne.

À l’instar de son siamois jordanien, organisé par l’Institut français de Jordanie à Amman, la Royal Film Commission de Jordanie et la municipalité d’Amman, le FFFA de Noisy-le-Sec, lancé en 2011, est né d’une volonté de créer des ponts entre les cultures, de favoriser la compréhension, la découverte et les échanges entre les producteurs du cinéma des pays du Maghreb, du Machrek et de la France.

Un rendez-vous annuel incontournable

Depuis près d’une décennie, le FFFA, devenu un rendez-vous incontournable des Noiséens et des Franciliens, propose une programmation diversifiée, composée de projections en avant-premières, de films inédits et de séances d’échange avec les réalisateurs et les acteurs. Un concours de courts-métrages est aussi organisé ainsi que des débats et des conférences autour de diverses thématiques dont des ateliers de sensibilisation au cinéma et à l’image animée, notamment auprès du jeune public.

La 9e édition du FFFA, prévue en 2020, a été reportée du 12 au 24 juin 2021 en raison des mesures sanitaires prises par le gouvernement durant la pandémie de la Covid-19. «Nous avions préparé la 9e édition, tout était programmé, la projection de 22 films et autant de rencontres avec les professionnels du cinéma, les réalisateurs et les critiques», nous explique Julien Tardif, directeur du cinéma le Trianon et co-organisateur du FFFA. «Le programme était prêt à être diffusé lorsque le gouvernement a décidé la fermeture des salles de cinéma», précise-t-il à Arab News en français.

Les organisateurs n’ont toutefois pas renoncé à maintenir l’événement en réadaptant le format. «Nous avons décidé que dès l’ouverture des salles, nous recréerions un événement qu’on labelliserait à l’image du festival de Cannes mais modestement, avec la sélection des films du FFFA, car nous avions envie de présenter les films sélectionnés au public», se réjouit Julien Tardif.

Mise en lumière des liens étroits unissant le monde arabe et la France

Selon les organisateurs, le festival s’applique à mettre en lumière «les liens étroits unissant le monde arabe et la France et encourage les échanges et le dialogue entre les cultures». De la même façon que son homologue jordanien, l’édition française du festival se veut un véritable pont culturel entre ces deux parties du monde. Durant douze jours, le FFFA propose de découvrir les productions cinématographiques les plus récentes des cinéastes originaires des pays arabes et français, lesquelles contiennent une part importante des préoccupations liées à ces régions du monde.  

«Depuis dix ans, la mairie de Noisy-le-Sec et ses partenaires ont souhaité faire une sorte de miroir du festival d’Amman, qui existe depuis vingt-cinq ans. Cet événement, qui se tient, comme chaque année, au Trianon, reproduit la même philosophie et a pour objectif de montrer la richesse et la diversité cinématographique du monde arabe et de la France ainsi que les liens qui les unissent», nous explique Julien Tardif.

Une soirée d’ouverture avec les projections de deux films en avant-première

Deux films ont été projetés en avant-première lors de la soirée d’ouverture: 143, rue du désert de Hassen Ferhani et Gagarine de Fanny Liatard et Jérémy Trouilh (2020), un film qui figure dans la sélection officielle du festival de Cannes 2020 avec Alseni Bathily (Youri), Lyna Khoudri (Diana) et Finnegan Oldfiel (Dali).

Après Dans ma tête un rond-point, sorti en 2015, Hassen Ferhani a réalisé son second long-métrage 143, rue du désert. Le film relate l’histoire de Malika, une dame de 74 ans qui a ouvert une buvette au milieu du désert, dans un endroit singulier qu’on pourrait qualifier de «nulle part», mais qui, en réalité, est un lieu propice pour les rencontres et les échanges sur les aléas de la vie.  

C’est un point de rencontre pour les voyageurs et les routiers, entre Tamanrasset, à l’extrême Sud du pays, et Alger, à l’extrême Nord. Le personnage central incarné par Malika, a quitté le nord du pays pour s’installer en plein désert et ouvrir un petit café où elle accueille les routiers et les passants occasionnels venus découvrir le grand Sud. Elle connaît leurs histoires et leurs préoccupations. Elle joue pour eux un rôle fondamental: en offrant le café, elle répare, à sa manière, le temps d’une pause-déjeuner ou d’un café, les âmes solitaires, préoccupées ou blessées. «Ce lieu porte en lui une charge cinématographique, une déflagration d’images et de récits prêts à exploser pour en cueillir les débris de la vie», précise Hassen Ferhani.

Quant au film Gagarine, dont la sortie en salles est programmée pour le 23 juin 2021, il s’agit d’un film social qui évoque la banlieue avec originalité et beaucoup d’humanité. Le film raconte l’histoire de Youri, un jeune de 16 ans qui a grandi à Gagarine, une immense cité de briques rouges à Ivry-sur-Seine, où il rêve de devenir cosmonaute. Lorsqu’il apprend que sa cité est destinée à être démolie, l’adolescent ne compte pas laisser faire et tente, avec l’aide de Diana, Houssam et les habitants, de sauver sa cité, laquelle est imprégnée de souvenirs, d’histoires, belles et souvent très douloureuses. Youri et les habitants de la cité veulent sauver leurs mémoires, les bribes de leurs vies. Mais au fur et à mesure, devenue trop insalubre, la cité se vide de ses habitants et Youri, lui, devient fantôme de ses murs, qu’on imagine comme un vaisseau spatial qu’il aimerait sauver.

Concours de courts-métrages

Dans le cadre de la 9e édition du FFFA, en partenariat avec Côté Court, le festival du court-métrage de Pantin, un concours de courts-métrages s’est tenu en ligne du 9 au 13 décembre 2020. Le jury, composé de Layane Chawaf, responsable cinéma à l’Institut du monde arabe (IMA) et déléguée générale du Festival des cinémas arabes; de Coline Crance, distributrice pour la société Rezo Films et Amine Bouhafa, compositeur de musique de films, ont attribué le prix du jury à Abdenoure Ziane pour Jeûne d’été (meilleure fiction) et Bastien Dubois pour Souvenir Souvenir (meilleure documentaire d’animation). Quant au prix du public du court-métrage, il a été attribué à Hicham et Samir Harrag pour Grand Gaillard (meilleure fiction) et à Coralie Gourdon pour Layla (meilleur documentaire).

La 10e édition anniversaire du Festival du film franco-arabe aura lieu du 13 au 27 novembre prochain.


Le « Roi Lion » prend vie avec l'orchestre d'Ithra à Dhahran

Ithra a fait appel à un orchestre complet pour interpréter la musique du "Roi Lion" de Hans Zimmer, récompensée par un Oscar, tandis que le film était diffusé sur grand écran. (Photo Fournie)
Ithra a fait appel à un orchestre complet pour interpréter la musique du "Roi Lion" de Hans Zimmer, récompensée par un Oscar, tandis que le film était diffusé sur grand écran. (Photo Fournie)
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  • Le film préféré des familles fait partie de la série "Disney en concert" d'Ithra, tout comme "Frozen".
  • L'orchestre a joué ces parties musicales, insufflant une nouvelle vie aux scènes sans enterrer l'essence de l'original nostalgique.

DHAHRAN : Près de trois décennies après avoir captivé le public du monde entier, "Le Roi Lion" de Disney a ébloui les nouvelles et les anciennes générations au King Abdulaziz Center for World Culture, ou Ithra, à Dhahran cette semaine, en offrant une chance de regarder le film à nouveau avec un orchestre en direct.

"Nous espérons que ce film vous donnera la chair de poule et vous fera pleurer", a déclaré le chef d'orchestre Erik Ochsner avant le spectacle. "Il s'agit d'une représentation en direct, et nous vous prions donc de bien vouloir l'apprécier en direct

"Les enfants ont vu le film plusieurs fois ; nous avons tous vu le film plusieurs fois. (Fourni)
"Les enfants ont vu le film plusieurs fois ; nous avons tous vu le film plusieurs fois. (Photo Fournie)

Comme elle l'a fait lors d'expériences précédentes, telles que les présentations en direct de plusieurs films "Harry Potter" en 2019 et 2022, Ithra a fait appel à un orchestre complet pour interpréter la partition oscarisée de Hans Zimmer pendant que le film d'animation était diffusé en arrière-plan sur un grand écran.

Pour cette expérience, le film a été dépouillé de sa musique, tandis que tous les sons originaux, y compris les dialogues et les chansons, sont restés intacts. L'orchestre a joué ces parties musicales, insufflant une nouvelle vie aux scènes sans enterrer l'essence de l'original nostalgique.

Les spectateurs ont applaudi et chanté lorsque l'air populaire "Hakuna Matata" a retenti.

Sorti en 1994, "Le Roi Lion" est rapidement devenu l'un des films les plus emblématiques de Disney, célébré pour sa narration puissante, ses personnages mémorables et sa bande-son entraînante. 

Les spectateurs ont applaudi et chanté lorsque l'air populaire "Hakuna Matata" a retenti. (Fourni)
Les spectateurs ont applaudi et chanté lorsque l'air populaire "Hakuna Matata" a retenti. (Photo Fournie)

Le film d'animation suit Simba, un jeune prince lion qui traverse les épreuves de la perte, de la trahison et de la découverte de soi au cours de son voyage pour reprendre la place qui lui revient dans le royaume des animaux.

À Ithra, cet arc émotionnel a été renforcé par le son riche et résonnant de l'orchestre symphonique en direct, transformant chaque moment - qu'il soit turbulent ou triomphant - en une expérience inoubliable. 

Ithra a fait appel à un orchestre complet pour interpréter la musique du "Roi Lion" de Hans Zimmer, récompensée par un Oscar, pendant que le film était diffusé sur grand écran. (Fourni)
Ithra a fait appel à un orchestre complet pour interpréter la musique du "Roi Lion" de Hans Zimmer, récompensée par un Oscar, pendant que le film était diffusé sur grand écran. (Photo Fournie)

L'orchestre symphonique d'État d'Arménie, sous la direction artistique de Sergey Smbatyan, s'est joint à Ochsner.

Connu pour son style chargé d'émotion et sa sonorité raffinée, l'orchestre s'est forgé une réputation d'ambassadeur culturel de l'Arménie, se produisant régulièrement dans les grandes salles de concert du monde entier, y compris à Ithra.

"Les enfants ont vu le film plusieurs fois ; nous l'avons tous vu plusieurs fois. Et nous avons pensé que ce serait bien de le voir avec un orchestre en direct", a déclaré Ahmad Hassan, membre du public, à Arab News pendant l'entracte de 20 minutes.

Hassan avait amené sa famille élargie, y compris ses deux enfants.

"C'est l'un de mes films préférés", a déclaré Tia, la fille de M. Hassan, âgée de neuf ans, à Arab News. Elle a levé le pouce du spectacle.

Son frère Bakr, âgé de 12 ans, a déclaré qu'il avait regardé le film "au moins cinq fois" - la première fois quand il avait deux ou trois ans - mais qu'il était enthousiasmé par cette nouvelle façon d'apprécier l'histoire.

"J'aime bien la série pour l'instant. C'est vraiment bien. Pourquoi ? Parce qu'on voit comment la musique est faite au lieu de la voir sortir du haut-parleur", a-t-il déclaré.

"Après avoir regardé l'émission, j'aimerais jouer du piano", a ajouté Tia.

Le concert fait partie de la série de symphonies cinématographiques d'Ithra, qui comprend également une présentation prochaine de "Frozen" de Disney, donnant aux familles l'occasion de revivre leurs films préférés d'une toute nouvelle manière.

Les billets sont vendus au prix de SR200 (53 dollars), et chaque représentation de Disney-Ithra ne durera que deux jours.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


La récolte estivale de Médine permet à Abu Zuhair de commercialiser ses citrons

Outre la culture commerciale, de nombreuses personnes cultivent les citrons Abu Zuhair chez eux pour leur parfum. (SPA)
Outre la culture commerciale, de nombreuses personnes cultivent les citrons Abu Zuhair chez eux pour leur parfum. (SPA)
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  • La récolte, qui s'étend de juin à août, coïncide avec la saison des rhutabs (dattes semi-mûres)
  • Ces deux fruits sont vendus sur le marché central de Médine.

MEDINE : La récolte des citrons verts Abu Zuhair, l'un des principaux agrumes cultivés dans cette ville, bat désormais son plein.

Les citronniers poussent dans toute la province, notamment dans des endroits comme Abyar Al-Mashi, Abyar Ali, Asira et Al-Ula, où ils prospèrent dans un sol argileux et un climat sec, selon l'agence de presse saoudienne. 

La plupart des citrons cultivés à Médine sont vendus localement, mais certains sont expédiés à La Mecque, Riyad et Al-Ahsa. (SPA)
La plupart des citrons cultivés à Médine sont vendus localement, mais certains sont expédiés à La Mecque, Riyad et Al-Ahsa. (SPA)

La récolte, qui s'étend de juin à août, coïncide avec la saison des rutabs (dattes semi-mûres), et les deux fruits sont vendus sur le marché central de Médine.

Les citrons sont vendus par lots de 2 à 25 kg lors d'enchères quotidiennes qui se tiennent de 5 h à 11 h.

Un vendeur du marché central a déclaré que les citrons d'Abu Zuhair, plus petits et plus verts que les variétés importées, étaient parfaits pour les jus de fruits et la cuisine, et se mariaient bien avec de nombreux plats chauds et salades.

Vers la fin de la saison, les citrons commencent à jaunir et à sécher, puis sont utilisés pour la conservation au vinaigre.

Les fruits sont également une bonne source de vitamine C, ce qui renforce le système immunitaire. (SPA)
Les fruits sont également une bonne source de vitamine C, ce qui renforce le système immunitaire. (SPA)

Un autre vendeur a déclaré que les feuilles du citronnier, appelées « nawami », pouvaient être ajoutées au thé et à d'autres boissons froides.

Outre la récolte commerciale, de nombreuses personnes cultivent des citrons Abu Zuhair chez elles pour leur parfum. Les citrons Abu Zuhair sont également une bonne source de vitamine C et renforcent le système immunitaire.

La plupart des citrons cultivés à Médine sont vendus localement, mais certains sont expédiés à La Mecque, Riyad et Al-Ahsa. En raison de leur faible production, ils ne sont jamais exportés. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


National Geographic Al-Arabiya explore l'héritage nomade, l'archéologie numérique et la faune sauvage

L'enquête centrale de ce numéro, intitulée « Notre faune malmenée », invite les lecteurs à reconsidérer les créatures les plus méconnues de la nature. (Photo Fournie)
L'enquête centrale de ce numéro, intitulée « Notre faune malmenée », invite les lecteurs à reconsidérer les créatures les plus méconnues de la nature. (Photo Fournie)
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  • Le dernier numéro examine l'évolution des relations entre l'humanité et l'environnement.
  • L'article « Les nouveaux archéologues » dresse le portrait d'influenceurs des réseaux sociaux qui sont devenus des archéologues amateurs sur les rives de la Tamise, à Londres.

ABOU DHABI : le numéro de juillet de National Geographic Al Arabiya examine les interactions complexes entre l'humanité et les forces environnementales, tout en mettant en lumière des récits culturels exceptionnels et des mouvements sociaux mondiaux transformateurs.

Le 178e numéro du magazine s'ouvre sur un reportage approfondi consacré au plus grand groupe nomade d'Afrique : les Peuls, qui comptent quelque 20 millions de personnes traversant les vastes zones désertiques du continent. Ces Bédouins des temps modernes perpétuent les migrations ancestrales de leurs ancêtres avec leurs troupeaux, parcourant l'Afrique d'est en ouest dans une quête éternelle d'eau et de pâturages.

L'enquête examine la manière dont cette société pastorale ancestrale fait face aux défis du XXI^e siècle, tels que le changement climatique et les bouleversements sociaux, tout en s'efforçant de revaloriser le rôle des femmes au sein de leur culture pastorale profondément ancrée.

Un contrepoint saisissant émerge dans « The New Archaeologists », qui dresse le portrait d'un phénomène inattendu sur les rives de la Tamise, à Londres : des influenceurs des réseaux sociaux qui se sont reconvertis en archéologues amateurs. Ces chasseurs de trésors de l'ère numérique ont fait des découvertes remarquables, mais ont également suscité des débats animés sur les protocoles archéologiques appropriés. 

Cet article porte sur le conflit émergent entre la passion populaire pour les découvertes historiques et la méthodologie scientifique établie, à une époque où la technologie démocratise l'accès à l'exploration archéologique.

L'enquête centrale du numéro, intitulée « Our Maligned Wildlife » (Notre faune malmenée), invite les lecteurs à reconsidérer les créatures les plus méconnues de la nature. De la blairelle mellifère, réputée pour son odeur âcre et son caractère féroce, au vautour à petits yeux et au lémurien aye-aye à l'apparence négligée, cet article soutient que ces animaux « laids » jouent un rôle écologique crucial et que leurs prétendus défauts pourraient en réalité être des atouts évolutifs.

Les lecteurs sont ensuite invités à voyager dans la campagne transylvanienne de Roumanie, où les communautés agricoles traditionnelles perpétuent des pratiques ancestrales malgré la pression croissante de la modernisation.

Le magazine se termine par une rétrospective photographique marquant le 400^e anniversaire de la ville de New York, retraçant l'évolution remarquable de cette métropole, passée d'une petite colonie à une puissance mondiale débordante de vie et de renouveau. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com