Le Maroc à l’honneur à l’occasion de l’Oriental Fashion Show

Le désigner égyptien Hany El Behairy et Mohamed Alsagheer, membre important de OFS, décédé il y a quelques mois. Un hommage lui a été rendu lors de la 37e édition de l’OFS. (Fournie)
Le désigner égyptien Hany El Behairy et Mohamed Alsagheer, membre important de OFS, décédé il y a quelques mois. Un hommage lui a été rendu lors de la 37e édition de l’OFS. (Fournie)
Short Url
Publié le Dimanche 27 juin 2021

Le Maroc à l’honneur à l’occasion de l’Oriental Fashion Show

  • La 37e édition de l’Oriental Fashion Show a eu lieu les 18 et 19 juin au Mandarin Oriental, célèbre établissement de luxe de Marrakech
  • Malgré la pandémie de Covid-19 qui ont rendu les défilés de mode et de haute couture de plus en plus rares, les créateurs n’ont pas cesser de créer et d’innover

PARIS: Après Paris, Londres, Dubaï, Istanbul et Bakou, la 37e édition de l’Oriental Fashion Show (OFS) a eu lieu, les 18 et 19 juin, au Mandarin Oriental, célèbre établissement de luxe de Marrakech. Fondé à Paris et fidèle à sa tradition cosmopolite, l’OFS, leader de la mode orientale, incubateur de talents au-delà des frontières, met le Maroc à l’honneur à l’occasion de cette édition.

photo

 

Un patrimoine culturel pluriel 

L’Oriental Fashion Show et le Mandarin Oriental Hôtel se sont associés pour véhiculer un patrimoine culturel riche et pluriel. Leurs objectifs sont de célébrer le rapprochement des peuples et la modernité ainsi que de mettre en relief la splendeur de la tradition et de la mode orientales.

Malgré la pandémie de Covid-19 qui ont rendu les défilés de mode et de haute couture de plus en plus rares, les créateurs n’ont pas cesser de créer et d’innover. Pour cette 37e édition, des stylistes, des designers et des artistes venus de nombreux pays ont répondu présent. Parmi eux figurent des célébrités du monde de la culture et du cinéma arabe. Le designer Hany el-Behairy et les célèbres actrices Laila Elwi, Ilham Shaheen et Samira Saïd seront les dignes représentants de la délégation égyptienne; l’événement réunira également d’illustres actrices et acteurs marocains tels que Driss Roukhe, Mansour Badri, Dounia Boutazout, Rababe Gouyd ou encore Camélia Rak.

photo

Hany el-Behairy, l’icône de l’Oriental Fashion Show

Considéré comme l’une des figures de la haute couture au Moyen-Orient, Hany el-Behairy sublime la femme orientale depuis quinze ans. Ses créations sont composées comme des symphonies. Elles associent beauté, glamour et magie. En effet, dans le milieu de la haute couture, la designer se distingue par le glamour de ses robes fourreaux. À travers sa nouvelle collection, Hany el-Behairy raconte l’histoire de l’Égypte et des ses splendeurs.  

Le créateur était très attendu, comme on peut s’en douter, à Paris, la capitale mondiale de la mode, où il s’est illustré il y a un an dans le cadre prestigieux du Carrousel du Louvre. C’est à cet endroit que son défilé s’est clôturé, avec une somptueuse robe de mariée d’une valeur de 15 millions de dollars (1 dollar = 0,84 euro). «Passionné par la robe de mariée, j’ai toujours voulu rendre hommage aux femmes en les faisant briller de mille feux le jour de leurs noces», confie Hany el-Behairy à Arab News en français.

photo
La designer Fadwa Jamai. (Fournie)

 

Les caftans du Maroc mis à l’honneur

Lauréate du prestigieux Collège LaSalle International (section management), Wafaa Idrissi est modéliste et styliste. Elle crée des caftans destinés à une clientèle jeune et exigeante. Anticonformiste, elle n’hésite pas à sortir des sentiers battus, adoptant une liberté de création en parfait accord avec les exigences des femmes marocaines et du monde. «La liberté de création est importante pour moi. J’ai besoin de me sentir libre et affranchie de toutes les contraintes afin de laisser place à mon imagination», nous explique-t-elle à l’occasion de la 37e édition de l’OFS.

photo
Loulouben. (Fournie)

Passionnée par la mode dès son plus jeune âge, Wafaa Idrissi crée des collections qui rencontrent un franc succès au Maroc et à l’étranger. «Je suis fière de la réussite de mes collections», se réjouit-elle, mentionnant les collections Black Touch et Féminité en Belgique, Chicism et Belle et rebelle en France, Union et Alliance au Maroc.

Après une belle carrière dans le milieu universitaire et scientifique, Nezha Lattaoui fonde son atelier en 2014. Caftans, robes du soir, des bijoux inspirés de la tradition artisanale marocaine: chacune de ses pièces est incomparable. Durant son processus créatif, la styliste a observé et étudié les goûts et les attentes de ses clientes dans l’objectif de proposer des modèles uniques qui présentent une étonnante harmonie de couleurs et qui sont adaptés aux différentes morphologies. «L’art est au cœur de mon travail, j’ai besoin de m’imprégner de l’univers artistique marocain pour créer mes caftans», affirme-t-elle.

photo
Nezha Lattaoui. (Fournie)​

La créatrice Fadwa Jamai, pour sa part, a grandi dans une famille issue du milieu de la mode, de l’art et la musique. Les œuvres qu’elle présente témoignent de son art de la broderie. «J’essaie de réaliser des caftans en harmonie avec la personnalité de mes clientes», indique-t-elle.  

photo
La designer marocaine Selma Lasrak. (Fournie)

Quant à Salma Lazrak, diplômée en finance et en droit, elle a choisi de se consacrer à sa passion première: la confection de caftans. «Depuis toute petite, la mode, les caftans et la création sont au centre de ma vie. C’est donc tout naturel de renforcer mes liens avec cette passion qui m’anime depuis toujours», fait-elle savoir.

 

Dans son atelier et son showroom, situés dans le quartier de Sidi Ghanem, dans la ville ocre, la créatrice présente une collection majestueuse taillée dans de belles étoffes de soie, de crêpe, de satin, de tlija, d’organza, de tulle ou de jawhara. Ses créations sont très délicatement brodées grâce à des techniques à la fois traditionnelles et modernes.

Interrogée par Arab News en français sur les techniques de création du caftan, cette pièce maîtresse de la haute couture et du patrimoine traditionnel, Salma Lazrak nous révèle quelques secrets: «L’univers du caftan est d’abord un espace de créativité infinie. On peut l’aborder de mille manières, et les accessoires sont des éléments incontournables pour faire rayonner les femmes.» Elle précise que, en collaboration avec son amie Zineb Zniber, qui collectionne les parures et les bijoux anciens du Maghreb – parmi lesquels on trouve des couronnes, des colliers et des bracelets datant des XVIIIe et XIXe siècles –, elle a pensé à orner ses caftans de bijoux «pour rendre hommage à la femme arabe».

 

Prêt-à-porter de luxe

Créée en 2015, Kounouz est une marque de prêt-à-porter de luxe inspirée de la tradition marocaine qui s’adapte aux tendances actuelles. L’enseigne dispose de nombreuses boutiques, dont plusieurs sont situées dans des aéroports, à Marrakech, Casablanca, Agadir et Fès. Elle dispose en outre de boutiques en ville, comme celles de Marrakech Plaza, de Marina Mall ou encore d’Arribat Center, à Casablanca. «Nos collections sont un savant mélange de modernité et de traditions qui écrivent une nouvelle histoire de la mode à destination des générations futures», indique la direction de la marque.

Issue d’une famille d’artistes, Meryam el-Maddarsi a créé la marque Merefie avec sa maman, Hanane Bouachrine, une passionnée de création et de couture. «Notre travail se fait dans la continuité d’un héritage dont on doit préserver les valeurs. La mode orientale permet d’assurer cette continuité sans casser la chaîne de transmission. Qui est mieux placée qu’une mère pour transmettre à sa fille les valeurs de la vie?» nous confie-t-elle.


JO-2024: le relais de la flamme olympique a commencé après son allumage en Grèce

C'est dans le sanctuaire antique d'Olympie, devant les ruines vieilles de 2.600 ans du temple d'Héra, que la flamme pour les Jeux qui se tiendront du 26 juillet au 11 août a été allumée vers 12h15 heure locale (09h15 GMT)
C'est dans le sanctuaire antique d'Olympie, devant les ruines vieilles de 2.600 ans du temple d'Héra, que la flamme pour les Jeux qui se tiendront du 26 juillet au 11 août a été allumée vers 12h15 heure locale (09h15 GMT)
Short Url
  • C'est dans le sanctuaire antique d'Olympie, devant les ruines vieilles de 2.600 ans du temple d'Héra, que la flamme pour les Jeux qui se tiendront du 26 juillet au 11 août a été allumée vers 12h15 heure locale (09h15 GMT)
  • Le président du CIO, l'Allemand Thomas Bach, a insisté sur le message d'«espoir» que porte la flamme olympique, symbole de paix dans l'Antiquité, dans un climat international marqué notamment par les conflits en Ukraine et au Proche-Orient

OLYMPIE, Grèce : A presque 100 jours de l'ouverture des JO de Paris, le relais de la flamme olympique a débuté mardi après son allumage à Olympie, en Grèce, lors d'une cérémonie marquée par des messages d'espoir dans un contexte international très tendu.

C'est dans le sanctuaire antique d'Olympie, devant les ruines vieilles de 2.600 ans du temple d'Héra, que la flamme pour les Jeux qui se tiendront du 26 juillet au 11 août a été allumée vers 12h15 heure locale (09h15 GMT).

Mais en raison d'un ciel nuageux sur le site des premiers Jeux olympiques de l'Antiquité, l'allumage n'a pas pu se faire avec les rayons du soleil comme le veut la tradition antique.

Il a été réalisé avec une flamme de réserve conservée lors de la répétition générale de lundi grâce à l'intervention de «prêtresses» vêtues de longues robes claires inspirées des vêtements des Grecs anciens.

Le président du Comité international olympique (CIO), l'Allemand Thomas Bach, a insisté sur le message d'«espoir» que porte la flamme olympique, symbole de paix dans l'Antiquité, dans un climat international marqué notamment par les conflits en Ukraine et au Proche-Orient.

- «Espoir» -

«Dans notre cœur à tous, nous aspirons à quelque chose qui nous rassemble à nouveau, à quelque chose qui nous unifie, à quelque chose qui nous donne de l'espoir», a-t-il souligné.

«La flamme olympique que nous allumons aujourd'hui symbolise cet espoir», a également affirmé l'Allemand en présence notamment de la présidente de la République hellénique, Katerina Sakellaropoulou, de la ministre française des Sports et des JO Amélie Oudéa-Castéra ou encore de la maire de Paris, Anne Hidalgo.

Le président du comité d'organisation des Jeux de Paris, Tony Estanguet, a également vu dans ces JO «plus que jamais une force d'inspiration (...) pour nous tous et pour les générations futures».

La torche a ensuite été emmenée dans le stade antique pour être remise au premier relayeur, le Grec Stefanos Ntouskos, champion olympique d'aviron à Tokyo en 2021, qui a également brandi un rameau d'olivier.

Tout sourire, la nageuse Laure Manaudou, qui avait décroché son titre olympique sur 400 m nage libre aux Jeux olympiques d'Athènes en 2004, lui a succédé en tant que première relayeuse française.

«C'est un bon moment et une chance d'être ici», a-t-elle indiqué, évoquant sa «fierté» et sa «joie» d'être la première relayeuse française. «J'espère que tous les porteurs de la flamme ressentiront cela.»

«On compte sur toi pour allumer le feu!», lui avait lancé peu auparavant Tony Estanguet.

La flamme olympique va maintenant entamer un vaste périple qui la mènera jusqu'à Paris le 26 juillet.

Son parcours d'Olympie jusqu’à la ville hôte des est l’un des événements les plus symboliques associés aux Jeux, les relayeurs apportant un message de paix.

- 600 relayeurs -

Six cents relayeurs se passeront la flamme durant les onze jours où elle va sillonner la Grèce, parcourant 5.000 km à travers sept îles, dix sites archéologiques et le Rocher de l'Acropole, vendredi, où elle passera une nuit à côté du Parthénon.

Elle rejoindra finalement le port du Pirée, au sud d'Athènes, et embarquera le 26 avril à bord du trois-mâts Belem à destination de Marseille, dans le sud-est de la France, où quelque 150.000 personnes sont attendues pour l»accueillir le 8 mai.

A partir de cette date, le symbole des JO traversera toute la France, passant par les Antilles et la Polynésie française, pour arriver à Paris le jour de la cérémonie d'ouverture.

A Paris, à la veille de l'allumage de la flamme, Emmanuel Macron a lancé lundi le compte à rebours des JO. Le président français s'est voulu rassurant sur la sécurité autour de la cérémonie d'ouverture prévue sur la Seine,tout en évoquant des solutions de repli, «limitée au Trocadéro» ou dans le Stade de France, en cas de menace terroriste.

La cérémonie d'allumage de la flamme s'est déroulée près du stade où les jeunes athlètes de l'Antiquité disputèrent leurs premiers Jeux au VIIIe siècle avant Jésus-Christ. A l'époque, les femmes étaient interdites de participation, et le resteront jusqu'à l'abolition des Jeux antiques en 393 ap. J.-C.

Mais à Paris, «ce seront les tout premiers Jeux Olympiques avec une parfaite parité femmes-hommes», a souligné Thomas Bach.


Un artiste israélien ferme son exposition à la Biennale de Venise jusqu'à ce qu'un "accord de cessez-le-feu soit conclu".

Surnommée les "Jeux olympiques du monde de l'art", la Biennale est l'un des principaux événements du calendrier artistique international. (Shutterstock)
Surnommée les "Jeux olympiques du monde de l'art", la Biennale est l'un des principaux événements du calendrier artistique international. (Shutterstock)
Short Url
  • "J'ai donc décidé que le pavillon n'ouvrirait que lorsque la libération des otages et l'accord de cessez-le-feu auront eu lieu", a-t-elle ajouté. "C'est notre décision et nous nous y tenons.
  • "Toute représentation officielle d'Israël sur la scène culturelle internationale est une approbation de ses politiques et du génocide à Gaza", indique la déclaration en ligne du collectif Art Not Genocide Alliance (ANGA).

DUBAI : L'artiste israélienne Ruth Patir a fermé son pavillon national à la Biennale d'art de Venise, déclarant qu'elle ne le rouvrira que lorsqu'un "accord de cessez-le-feu sera conclu" entre Israël et le Hamas. 

Patir a déclaré dans un communiqué sur Instagram : "J'ai le sentiment que le temps de l'art est perdu et j'ai besoin de croire qu'il reviendra. Nous (Tamar, Mira et moi) sommes devenus l'actualité, pas l'art. Et donc, si on me donne une scène aussi remarquable, je veux que cela compte.

"J'ai donc décidé que le pavillon n'ouvrirait que lorsque la libération des otages et l'accord de cessez-le-feu auront eu lieu", a-t-elle ajouté. "C'est notre décision et nous nous y tenons. Je suis une artiste et une éducatrice, je m'oppose fermement au boycott culturel, mais comme j'ai le sentiment qu'il existe des réponses et que je ne peux faire que ce que je peux avec l'espace dont je dispose, je préfère élever ma voix avec ceux que je soutiens dans leur cri, cessez le feu maintenant, ramenez les gens de leur captivité. Nous n'en pouvons plus.

En février, des milliers de personnes, dont des artistes, des conservateurs et des directeurs de musée, ont signé un appel en ligne demandant qu'Israël soit exclu de la foire d'art de cette année et accusant le pays de "génocide" à Gaza.

"Toute représentation officielle d'Israël sur la scène culturelle internationale est une approbation de ses politiques et du génocide à Gaza", indique la déclaration en ligne du collectif Art Not Genocide Alliance (ANGA).

L'ANGA a rappelé que la Biennale de Venise avait déjà banni l'Afrique du Sud en raison de sa politique d'apartheid fondée sur la domination d'une minorité blanche et exclu la Russie après l'invasion de l'Ukraine en 2022.

Le ministre italien de la culture, Gennaro Sangiuliano, a déclaré que l'appel était un "diktat inacceptable et honteux de ceux qui se croient les gardiens de la vérité et qui, avec arrogance et haine, pensent pouvoir menacer la liberté de pensée et d'expression créative".

Surnommée les "Jeux olympiques du monde de l'art", la Biennale est l'un des principaux événements du calendrier artistique international. L'édition de cette année, intitulée "Foreigners Everywhere", accueillera des pavillons de 90 pays entre le 20 avril et le 24 novembre.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

 

 


Francillonne et Aebersold victorieux aux championnats juniors d'escrime à Riyadh

Les concurrents sur le podium. (Fournie)
Les concurrents sur le podium. (Fournie)
Short Url
  • Francillonne a battu la Canadienne Julia Yin 15-12 en finale de l'épée individuelle féminine. Francillonne a battu l'Américaine Leehi Machulsky 15-14 en demi-finale.
  • L'équipe saoudienne est représentée par Ahmed Hazazi, Youssef Al-Banali, Ali Al-Fuzai, Dania Al-Saeed, Yasmeen Al-Saleh et Dana Al-Saeed.

RIYADH : La Française Océane Francillonne et le Suisse Alban Aebersold ont remporté des médailles d'or à l'épée individuelle lundi, alors que les jeunes escrimeurs se rencontrent dans la capitale saoudienne Riyadh pour les Championnats du monde d'escrime juniors et cadets.

Francillonne a battu la Canadienne Julia Yin 15-12 en finale de l'épée individuelle féminine. Francillonne a battu l'Américaine Leehi Machulsky 15-14 en demi-finale.

Machulsky a remporté le bronze, et l'Italienne Anita Corradino a reçu l'autre bronze.

En finale de l'épée individuelle masculine, Aebersold a battu le Britannique Alec Brooke 15-13. Le jeune Suisse a battu l'Américain Samuel Imrek 15-9 sur le chemin de la médaille d'or. Imrek et l'Italien Nicolo del Contrasto ont tous deux remporté le bronze.

Le président de la Fédération saoudienne d'escrime, Ahmed Al-Sabban, et le vice-président Mohammed Bou Ali, ont remis les médailles aux vainqueurs lors de la quatrième journée de la compétition internationale qui se déroule jusqu'au 20 avril.

La compétition, qui se déroule au King Saud University Sports Arena, réunit 169 femmes et 214 hommes.ar

L'équipe saoudienne est représentée par Ahmed Hazazi, Youssef Al-Banali, Ali Al-Fuzai, Dania Al-Saeed, Yasmeen Al-Saleh et Dana Al-Saeed.

Mardi se dérouleront les compétitions d'épée pour les hommes et les femmes de moins de 20 ans.  

Abd Almonem Al-Husseini, vice-président de la Fédération internationale d'escrime, a fait l'éloge de l'organisation de l'événement. Il a également salué les efforts remarquables de tous les comités et les énormes capacités fournies par le comité d'organisation.

M. Al-Husseini a prédit un développement rapide et important de l'escrime saoudienne dans les années à venir.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com