L’histoire que je ne veux pas raconter à mon fils

L’histoire que je ne veux pas raconter à mon fils
Short Url
Publié le Jeudi 09 juillet 2020

L’histoire que je ne veux pas raconter à mon fils

  • Beyrouth était comparable aux plus belles villes du monde
  • Comment ce pays a pu se transformer en pays pauvre, pollué, violent et isolé ?

Savais-tu mon enfant que dans mon pays, ton pays, nous avions des universités de renommée internationale, telle l’université américaine et l’université Saint Joseph et bien d’autres ?

Jadis nous n’avions pas à partir à l’étranger pour avoir de bon diplomes. Je te montrerai les photos de ces universités. J’aurai aimé te voir grandir avant que ces universités ne ferment. Je vais également te raconter comment ce pays était celui du tourisme et du commerce, et comment tous les meilleurs magasins du monde avaient ouvert au Liban. Quant aux restaurants et aux bars, Beyrouth était comparable aux plus belles villes du monde, elle était la capitale de la vie, de la danse et des belles tables. Le secteur touristique était d’un très haut niveau, mais tout cela a pris fin après la crise de 2019-2020. Tous ces secteurs n’ont pas pu résister face la cherté de vie et à l’effondrement de la monnaie nationale. Quant à la mer mon fils, le Liban se vantait d’avoir le plus beau littoral qui s’étendait de son nord à son sud. Seulement si tu pouvais t’y baigner aujourd’hui, c’est tellement dommage qu’ils l’aient transformé en décharge empoisonnée. 
En racontant cette histoire à mon fils il m’interrompt en disant : comment ce pays a pu se transformer en pays pauvre, pollué, violent et isolé ? Et je lui répondrai : oui mon enfant, c’est ce que nos gouvernants ont fait du pays, ils ont hérité d’un paradis qu’ils ont réussi à transformer en enfer.

Lire l'article 


Les autorités irakiennes enquêtent sur le meurtre d'un influenceur des médias sociaux

La célébrité irakienne de TikTok, Um Fahad, est photographiée au stade international de Bassorah lors d'un match de la Coupe du Golfe arabe, le 19 janvier 2023 (Photo, AFP).
La célébrité irakienne de TikTok, Um Fahad, est photographiée au stade international de Bassorah lors d'un match de la Coupe du Golfe arabe, le 19 janvier 2023 (Photo, AFP).
Short Url
  • Ghufran Mahdi Sawadi, connue sous le nom d'Um Fahad ou « mère de Fahad », était populaire sur les réseaux sociaux TikTok et Instagram
  • L’agresseur avait ouvert le feu alors que Sawadi garait sa Cadillac devant sa maison vendredi, la tuant

Les autorités irakiennes enquêtaient samedi sur le meurtre d'une influenceuse bien connue des médias sociaux, abattue par un motocycliste armé devant son domicile dans le centre de Bagdad.

Ghufran Mahdi Sawadi, connue sous le nom d'Um Fahad ou « mère de Fahad », était populaire sur les réseaux sociaux TikTok et Instagram, où elle a publié des vidéos d'elle dansant sur de la musique et a été suivie par des dizaines de milliers d'utilisateurs.

Un responsable de la sécurité irakienne, qui s'est exprimé sous couvert d'anonymat car il n'était pas autorisé à parler aux médias, a déclaré que l'agresseur avait ouvert le feu alors que Sawadi garait sa Cadillac devant sa maison vendredi, la tuant, puis lui avait pris son téléphone. et a fui les lieux.

Un voisin de Sawadi, qui s'est identifié uniquement par son surnom, Abu Adam ou "père d'Adam", a déclaré être sorti dans la rue après avoir entendu deux coups de feu et avoir vu "la portière de la voiture ouverte et elle était allongée sur le volant".

 

Lire la suite

NDLR: Mosaïque est une revue de presse qui offre au lecteur un aperçu sélectif et rapide des sujets phares abordés par des quotidiens et médias de renommée dans le monde arabe. Arab news en français se contente d’une publication très sommaire, renvoyant le lecteur directement vers le lien de l’article original. L’opinion exprimée dans cette page est propre à l’auteur et ne reflète pas nécessairement celle d’Arab News en français.


Le 53ème Festival national des arts populaires du 4 au 8 juillet à Marrakech

La préservation des arts traditionnels est une quête de permanence et de dialogue entre le passé et le présent (Photo, Le Matin).
La préservation des arts traditionnels est une quête de permanence et de dialogue entre le passé et le présent (Photo, Le Matin).
Short Url
  • Le festival devient ainsi une ode à la transmission des savoir-faire et des récits qui ont traversé les âges
  • Le Festival national des arts populaires aspire à renforcer les liens entre les générations en familiarisant les jeunes avec les trésors de l'art populaire Marocain

La 53ème édition du Festival national des arts populaires (FNAP) aura lieu du 4 au 8 juillet prochain à Marrakech, sous le thème "Rythmes et Symboles Éternels" avec la participation de plus de 600 artistes venant des quatre coins du Royaume.

Le Festival national des arts populaires, conçu pour mettre en lumière la diversité et la richesse du patrimoine artistique marocain, aspire à renforcer les liens entre les générations en familiarisant les jeunes avec les trésors de l'art populaire Marocain, indiquent les organisateurs dans un communiqué, notant qu'à travers des performances envoûtantes, le FNAP offre une vitrine exceptionnelle des talents indigènes et de leur créativité foisonnante.

"Rythmes et Symboles Éternels" n'est pas seulement un thème, mais une invitation à plonger dans l’histoire vivante du Maroc, une célébration de l'identité nationale à travers la musique, la danse, le chant, et l'artisanat, explique la même source. Le festival devient ainsi une ode à la transmission des savoir-faire et des récits qui ont traversé les âges, soulignant l'importance cruciale de la conservation et de la valorisation de ces expressions culturelles.

 

Lire la suite

NDLR: Mosaïque est une revue de presse qui offre au lecteur un aperçu sélectif et rapide des sujets phares abordés par des quotidiens et médias de renommée dans le monde arabe. Arab news en français se contente d’une publication très sommaire, renvoyant le lecteur directement vers le lien de l’article original. L’opinion exprimée dans cette page est propre à l’auteur et ne reflète pas nécessairement celle d’Arab News en français.


Bendjama : «L’UNRWA est une épine dorsale de l’acheminement de l’aide humanitaire»

Le représentant permanent de l’Algérie à l’ONU, l’ambassadeur Amar Bendjama (Photo, El Watan).
Le représentant permanent de l’Algérie à l’ONU, l’ambassadeur Amar Bendjama (Photo, El Watan).
Short Url
  • «Il n’est plus nécessaire de débattre davantage de la crédibilité et de l’efficacité de l’Unrwa»
  •  «L’Unrwa est l’épine dorsale de l’acheminement de l’aide humanitaire à Ghaza. Elle doit fonctionner librement et sans menace»

 

Le représentant permanent de l’Algérie à l’ONU, l’ambassadeur Amar Bendjama, a souligné le «rôle irremplaçable» de l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA), étant «l’épine dorsale» de l’acheminement de l’aide humanitaire à Ghaza, ravagée par plus de 200 jours d’agression génocidaire sioniste.

 «L’Unrwa est l’épine dorsale de l’acheminement de l’aide humanitaire à Ghaza. Elle doit fonctionner librement et sans menace», a déclaré mercredi M. Bendjama, après avoir écouté un briefing au Conseil de sécurité de la coordinatrice de haut niveau de l’action humanitaire et la reconstruction à Ghaza, Mme Sigrid Kaag, sur l’état de la mise en œuvre de la résolution 2720 (2023). «Il n’est plus nécessaire de débattre davantage de la crédibilité et de l’efficacité de l’Unrwa», après le rapport du comité indépendant chargé d’évaluer le fonctionnement de l’Unrwa, présidé par l’ex-ministre française des Affaires étrangères Catherine Colonna, a ajouté l’ambassadeur. 

Dans ce contexte, M. Bendjama a tenu à rappeler que le rapport de Mme Colonna indiquait que «l’Unrwa possède une approche de neutralité plus développée que d’autres entités similaires des Nations unies ou des ONG» et qu’«Israël n’a pas encore fourni de preuves à l’appui de ses allégations contre le personnel de l’UNRWA». Et de poursuivre : «Il n’y a pas d’alternative à l’Unrwa et les agences des Nations unies ne peuvent pas la remplacer». 

Lire la suite

NDLR: Mosaïque est une revue de presse qui offre au lecteur un aperçu sélectif et rapide des sujets phares abordés par des quotidiens et médias de renommée dans le monde arabe. Arab news en français se contente d’une publication très sommaire, renvoyant le lecteur directement vers le lien de l’article original. L’opinion exprimée dans cette page est propre à l’auteur et ne reflète pas nécessairement celle d’Arab News en français.