A Djeddah, des photographes saoudiens et américains présentent des photos de sites emblématiques de leur pays

Parmi les photos de sites célèbres, citons le légendaire Chicago Theater, le bâtiment Maraya à AlUla, le Golden Gate Bridge de San Francisco et les dunes de sable doré du Quart Vide. (Photo/Saleh Fareed)
Parmi les photos de sites célèbres, citons le légendaire Chicago Theater, le bâtiment Maraya à AlUla, le Golden Gate Bridge de San Francisco et les dunes de sable doré du Quart Vide. (Photo/Saleh Fareed)
Parmi les photos de sites célèbres, citons le légendaire Chicago Theater, le bâtiment Maraya à AlUla, le Golden Gate Bridge de San Francisco et les dunes de sable doré du Quart Vide. (Photo/Saleh Fareed)
Parmi les photos de sites célèbres, citons le légendaire Chicago Theater, le bâtiment Maraya à AlUla, le Golden Gate Bridge de San Francisco et les dunes de sable doré du Quart Vide. (Photo/Saleh Fareed)
Parmi les photos de sites célèbres, citons le légendaire Chicago Theater, le bâtiment Maraya à AlUla, le Golden Gate Bridge de San Francisco et les dunes de sable doré du Quart Vide. (Photo/Saleh Fareed)
Parmi les photos de sites célèbres, citons le légendaire Chicago Theater, le bâtiment Maraya à AlUla, le Golden Gate Bridge de San Francisco et les dunes de sable doré du Quart Vide. (Photo/Saleh Fareed)
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Publié le Dimanche 22 août 2021

A Djeddah, des photographes saoudiens et américains présentent des photos de sites emblématiques de leur pays

  • À travers cette exposition, la SSCA braque les projecteurs sur l'art et les échanges culturels entre l'Arabie saoudite et les États-Unis afin de promouvoir les relations qui unissent les deux pays depuis plus de 70 ans
  • Organisée sous les auspices du consul général des États-Unis à Djeddah, Faris Y. Asad, l'exposition présente 48 photos qui illustrent la vie naturelle et culturelle du Royaume et des États-Unis

DJEDDAH : Dans le cadre de la Journée mondiale de la photographie, une exposition internationale conjointe a été inaugurée au siège de la Saudi Arabian Society for Cultures and Arts (Société pour la promotion de la culture et des arts saoudiens) à Djeddah. Elle présente les œuvres de photographes originaires d'Arabie Saoudite et des États-Unis.

Organisée sous les auspices du consul général des États-Unis à Djeddah, Faris Y. Asad, l'exposition présente 48 photos qui illustrent la vie naturelle et culturelle du Royaume et des États-Unis.

Ces œuvres portent sur des paysages, des monuments archéologiques et historiques, ainsi que des monuments civils situés dans les deux pays.

HIGHLIGHT

Organisée sous les auspices du consul général des États-Unis à Djeddah, Faris Y. Asad, l'exposition s'inscrit dans le cadre de la Journée mondiale de la photographie et présente 48 photos qui illustrent la vie naturelle et culturelle du Royaume et des États-Unis.

Organisée par le photographe saoudien Omar Al-Nahdi, l'exposition aborde également le thème suivant : L’ importance des notions de réalité, de perception et de confiance.

Parmi les photos de sites célèbres, citons le légendaire Chicago Theater, le bâtiment Maraya à AlUla, le Golden Gate Bridge de San Francisco et les dunes de sable doré du Quart Vide, qui contrastent avec les sables rouges du désert de l'Arizona.

Sont également exposées des photos prises lors de la Fête nationale du Royaume d'Arabie Saoudite et du Jour de l'Indépendance des deux pays.

Photo/Fourni

À travers cette exposition, la Société pour la promotion de la culture et des arts saoudiens (SSCA) braque les projecteurs sur l'art et les échanges culturels entre l'Arabie saoudite et les États-Unis afin de promouvoir les relations qui unissent les deux pays depuis plus de 70 ans.

Le directeur de la SSCA à Djeddah, Mohammed Al-Sobeih, explique que les expositions conjointes organisées en collaboration avec des associations de photographie de par le monde « renforcent les échanges et le partage des connaissances et des expériences dans le domaine de la photographie ».

M. Al-Sobeih insiste sur l'importance de commémorer les journées mondiales de la culture et des arts et de jeter des ponts de communication avec tous les pays du monde, « de manière à transmettre le message du Royaume aux quatre coins du monde ».

Photo/Fourni

Récemment nommé au poste de consul général, M. Asad participe pour la première fois à un événement dans le Royaume. Il souligne la « relation historique et exceptionnelle » entre les États-Unis et l'Arabie saoudite. Il se dit soucieux de renforcer la coopération entre les deux pays dans le domaine de la culture et des arts.

Il confie à Arab News que « cette initiative illustre parfaitement comment l'art rapproche les peuples des deux pays. Ce qui rend cette exposition si exceptionnelle, c'est qu'elle affiche dans un même temps les similitudes et les différences qui existent entre les deux pays. Une exposition étonnante où chaque photo véhicule un message particulier ».

M. Asad est familier avec la culture saoudienne, puisqu'il a grandi à Tabuk dans les années 1980. Il affirme que le Royaume vit « un véritable essor dans tous les domaines ».

Photo/Fourni

Pour le commissaire de l'exposition, M. Al-Nahdi : « Tout au long de leurs parcours, les photographes ont photographié des monuments et sites étonnants que recèle chaque pays. Nous sommes heureux de réunir ces merveilles en un seul espace ».

Pour sa part, la peintre et photographe saoudienne Maha Al-Kafi estime que  « cela fait plaisir de voir que des photographes saoudiens et américains partagent de si belles photos et c'est formidable de voir ces sites côte à côte en un seul endroit ».

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Le premier sac Birkin d'Hermès vendu près de 8,6 millions d'euros à Paris

(AFP)
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  • Le premier sac Birkin d'Hermès, conçu spécialement pour Jane Birkin en 1984, a été vendu aux enchères, jeudi à Paris, pour 8,582 millions d'euros
  • Ce grand fourre-tout en cuir noir est le premier exemplaire de ce qui est devenu l'un des sacs les plus célèbres et les plus chers au monde

PARIS: Le premier sac Birkin d'Hermès, conçu spécialement pour Jane Birkin en 1984, a été vendu aux enchères, jeudi à Paris, pour 8,582 millions d'euros frais inclus, a indiqué la maison d'enchères Sotheby's.

Ce grand fourre-tout en cuir noir est le premier exemplaire de ce qui est devenu l'un des sacs les plus célèbres et les plus chers au monde.

Jusqu'à présent, le sac le plus cher jamais vendu aux enchères était un Kelly Hermès en crocodile, serti de diamants et rehaussé d'or blanc, ajdugé à plus de 513.000 dollars (438.000 euros), selon Sotheby's.

Ce "prototype historique réalisé à la main", gravé des initiales J.B., se distingue par plusieurs particularités qui en font une pièce unique, notamment sa taille, ses anneaux métalliques fermés, sa bandoulière non-détachable ou encore la présence d'un coupe-ongles intégré. Des traces d'autocollants sont aussi visibles sur le cuir patiné.

Icône de mode au look effortless chic (presque sans effort, ndlr), Jane Birkin privilégiait le côté pratique des choses.

Lors d'un vol Paris-Londres, la chanteuse et actrice anglaise, décédée en 2023, se plaint à son voisin de ne pas trouver un sac adapté à ses besoins de jeune maman.

Ce dernier n'est autre que Jean-Louis Dumas, gérant d'Hermès de l'époque. Un fourre-tout avec un espace dédié aux biberons voit ainsi le jour en 1984 et porte le nom Birkin.

Quarante ans plus tard, ce sac à main en cuir est devenu le produit emblématique du sellier-maroquinier. Produit en très petite quantité, il cultive une image d'exclusivité, avec un prix pouvant varier grandement, de quelques milliers d'euros pour les modèles les plus simples, jusqu'à plusieurs centaines de milliers d'euros pour les plus luxueux.

Outre le sac Birkin, la vente "Fashion Icons" de Sotheby's proposait des pièces emblématiques issues de défilés de créateurs tels que Christian Dior, John Galliano, Thierry Mugler ou encore Alexander McQueen.


Le musée de Djeddah expose 1 000 objets rares retraçant l’histoire de l'islam

La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
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  • La première galerie retrace l'évolution de la céramique et de la verrerie du Ier au Xe siècle de l'Hégire (du VIIe au XVIe siècle)
  • La deuxième galerie met en lumière le travail des métaux islamiques, avec des objets décorés de manière complexe et des récipients d'usage quotidien

DJEDDAH : La Maison des Arts Islamiques, le premier musée du Royaume entièrement dédié à l’art islamique, abrite une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique.

Situé dans le parc de Djeddah, le musée expose plus de 1 000 objets qui donnent un aperçu des valeurs islamiques et du patrimoine culturel et historique de la région, a rapporté l'Agence de presse saoudienne (SPA).

Le musée comprend six galeries, chacune explorant une facette distincte du patrimoine islamique.

La première galerie retrace l'évolution de la céramique et de la verrerie du Ier au Xe siècle de l'Hégire (du VIIe au XVIe siècle), mettant en valeur la poterie, un artisanat de l'Antiquité qui a connu un développement majeur sous l'impulsion des artisans musulmans.

La deuxième galerie met en lumière le travail du métal islamique, avec des objets décorés de manière complexe et des récipients d'usage quotidien.

La troisième galerie présente 500 pièces de monnaie de l'époque du prophète Mahomet à l'époque moderne, offrant un aperçu de l'histoire économique du monde musulman.

La quatrième galerie se concentre sur l'influence de l'art islamique sur les autres civilisations et sur la manière dont les cultures européennes se sont engagées dans les traditions artistiques islamiques.

La cinquième galerie présente des manuscrits coraniques rares, des pièces de calligraphie arabe et des tablettes de bois utilisées pour la mémorisation du Coran.

La dernière galerie présente des textiles islamiques, notamment des pièces provenant des revêtements intérieurs et extérieurs de la sainte Kaaba et un rare rideau de la porte Shammi de la mosquée du Prophète à Médine, fabriqué à l'époque ottomane au XIIIe siècle de l'ère chrétienne.

La visite du musée s'achève à la bibliothèque, qui propose une large sélection de livres en arabe et en anglais sur l'histoire, la culture et la littérature islamiques.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Le musée national Zayed explore l'histoire des Émirats arabes unis

Situé sur l'île de Saadiyat, le musée national Zayed explorera les premiers établissements humains datant de 300 000 ans, ainsi que la langue, les traditions, la flore et la faune de la région. (Fourni)
Situé sur l'île de Saadiyat, le musée national Zayed explorera les premiers établissements humains datant de 300 000 ans, ainsi que la langue, les traditions, la flore et la faune de la région. (Fourni)
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  • Situé sur l'île de Saadiyat, le musée national Zayed a d'illustres voisins, dont le Louvre Abu Dhabi, le Guggenheim Abu Dhabi, le musée d'histoire naturelle et le teamLab Phenomena

DUBAI : Alors que le musée national Zayed ("Zayed National Museum") s'apprête à ouvrir ses portes dans la capitale des Émirats arabes unis, Arab News s'est entretenu avec le directeur Peter Magee au sujet des objectifs du musée et de ce à quoi les visiteurs peuvent s'attendre.

La date d'ouverture n'a pas encore été annoncée, mais le centre se concentrera sur l'histoire des Émirats arabes unis et plus particulièrement sur le cheikh Zayed bin Sultan Al Nahyan. Il explorera les premiers établissements humains datant de 300 000 ans, ainsi que la langue, les traditions, la flore et la faune de la région.

"L'histoire du musée est guidée par les valeurs durables du père fondateur des Émirats arabes unis, le cheikh Zayed bin Sultan Al-Nahyan", a expliqué M. Magee. "Nous examinons ces valeurs et la manière dont elles l'ont guidé, mais aussi la manière dont elles reflètent les valeurs sociales qui existent dans les Émirats arabes unis, tant dans le passé que dans le présent - et dans l'avenir.

"C'est un musée national centré sur les Émirats arabes unis, mais il s'intéresse bien sûr aux liens régionaux qui existaient avec d'autres pays du golfe Persique, de l'océan Indien et même d'autres régions.

L'une des pièces maîtresses est la reconstitution grandeur nature d'un bateau Magan de l'âge du bronze, construit avec des roseaux et des cordes en fibre de palmier. Magee et son équipe ont navigué à bord de ce bateau pendant deux jours sur les eaux du golfe Persique.

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Situé sur l'île de Saadiyat, le musée national Zayed a d'illustres voisins, dont le Louvre Abu Dhabi, le Guggenheim Abu Dhabi, le musée d'histoire naturelle et le teamLab Phenomena. (Fourni)

Situé sur l'île de Saadiyat, le musée national Zayed a pour voisins illustres le Louvre Abu Dhabi, le Guggenheim Abu Dhabi, le musée d'histoire naturelle et le teamLab Phenomena.

"J'aime à penser que chacun de ces musées et institutions est sa propre étoile et qu'en les combinant, ils forment une constellation qui peut être lue de manière cohérente aussi bien ensemble qu'individuellement", a déclaré M. Magee.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com