A Marseille, «ville-monde», Art-o-rama tremplin pour des artistes émergents

Le salon international d'art contemporain Art-o-rama a ouvert ce week-end à Marseille avec l'ambition de soutenir les créateurs émergents. (Photo, AFP)
Le salon international d'art contemporain Art-o-rama a ouvert ce week-end à Marseille avec l'ambition de soutenir les créateurs émergents. (Photo, AFP)
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Publié le Dimanche 29 août 2021

A Marseille, «ville-monde», Art-o-rama tremplin pour des artistes émergents

  • «Nous pouvons avoir un bel espace d'exposition ici à Marseille. C'est un salon où on trouve des gens intéressés par les concepts de l'art, son sens politique»
  • Les 44 galeries sélectionnées sont originaires de 11 pays avec un partenariat avec la scène barcelonaise dont la galerie ADN présente des dessins inspirés des luttes sociales de Marinella Senatore

MARSEILLE: "Pour de jeunes galeries, c'est une belle chance de rencontrer des collectionneurs", sourit Suzana, trentenaire venue de Bucarest présenter une artiste allemande. Le salon international d'art contemporain Art-o-rama a ouvert ce week-end à Marseille avec l'ambition de soutenir les créateurs émergents.

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Les 44 galeries sélectionnées, dans un format volontairement intimiste, sont originaires de 11 pays, de la Russie à la France en passant par la Roumanie ou l'Allemagne, avec cette année un partenariat avec la scène barcelonaise dont la galerie ADN présente des dessins inspirés des luttes sociales de Marinella Senatore. (Photo, AFP)


L'événement, qui en est à sa 15e édition, profite de la fin du mois d'août pour faire se rencontrer de grandes fortunes intéressées par l'art en villégiature sur la Côte d'Azur ou en Provence, des galeries de toute l'Europe, des collectionneurs locaux, des conservateurs de musées ou fondations et des artistes espérant avoir les moyens de continuer à créer.


"Nous mettons vraiment l'accent sur les artistes jeunes et émergents dans une ville-monde, Marseille, qui est comme un atelier géant et attire de plus en plus de créateurs", souligne Véronique Collard Bovy, directrice de Fraeme, l'association co-organisatrice du salon au pôle artistique de la Friche de la Belle-de-Mai.


Les 44 galeries sélectionnées, dans un format volontairement intimiste, sont originaires de 11 pays, de la Russie à la France en passant par la Roumanie ou l'Allemagne, avec cette année un partenariat avec la scène barcelonaise dont la galerie ADN présente des dessins inspirés des luttes sociales de Marinella Senatore.

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"Pour un artiste, surtout en début de carrière, voir une oeuvre acquise, c'est une joie, un signe qui donne confiance", remarque la peintre Codruta Cernea, en visite sur le salon. (Photo, AFP)

Les 44 galeries sélectionnées sont originaires de 11 pays avec un partenariat avec la scène barcelonaise dont la galerie ADN présente des dessins inspirés des luttes sociales de Marinella Senatore.


"Art-o-rama peut servir d'instance de validation pour de jeunes galeries qui accèdent ensuite à un autre niveau de foire après avoir fait des rencontres chez nous", souligne Véronique Collard Bovy.


C'est l'expérience vécue par la galerie Suprainfinit de Bucarest, fondée en 2015 par la jeune Roumaine Suzana Vasilescu. "Nous sommes venus à Art-o-rama en 2019 pour la première fois et nous avons fait beaucoup de rencontres, cela nous a permis ensuite d'être invités à Art Bruxelles et Arco Madrid", explique-t-elle.

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Pour ces joueurs, le jeu est un espoir d'échapper à la pauvreté, même si, lâche l'un d'eux, "la chance est comme ça, elle va, elle vient". (Photo, AFP)


Cette année, elle présente à Marseille les orchidées en céramique de Kristin Wenzel. Ces fleurs aux formes suggestives ont inspiré l'artiste allemande durant le confinement, période d'intenses balades dans la nature mais marquée aussi par "l'absence de flirt, de corps qui se mêlent".

Nouveaux prix 
Galeriste à Cologne (ouest de l'Allemagne), Philipp von Rosen voit aussi Art-o-rama comme plus accessible que la Fiac de Paris, un des trois plus grandes grandes foires mondiales d'art contemporain avec Frieze à Londres et Art Basel en Suisse.

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L'événement, qui en est à sa 15e édition, profite de la fin du mois d'août pour faire se rencontrer de grandes fortunes intéressées par l'art en villégiature sur la Côte d'Azur ou en Provence, des galeries de toute l'Europe, des collectionneurs locaux, des conservateurs de musées ou fondations et des artistes espérant avoir les moyens de continuer à créer. (Photo, AFP)


"Nous pouvons avoir un bel espace d'exposition ici à Marseille. C'est un salon où on trouve des gens intéressés par les concepts de l'art, son sens politique", estime-t-il. Sur son stand, l'artiste espagnole Anna Malagrida a photographié dans une série émouvante les mains des parieurs dans un bar PMU en région parisienne.


"Nous venons au salon depuis le début. Il y a des galeristes parisiens que nous connaissons, des artistes émergents, ça se renouvelle à chaque édition et cela nous permet de voir ce qui bouge dans le monde de l'art", confie André Duclos, collectionneur marseillais qui déambule avec sa femme.

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Les jeunes artistes locaux bénéficient aussi d'un coup de pouce avec un prix attribué par la région Provence-Alpes Côte d'Azur aux diplômés d'écoles d'art du Sud-Est. (Photo, AFP)


Cette année, quatre prix ont été créés. Les collectionneurs privés Benoît Doche de Laquintaine et italiens de la collection Taurisano ainsi que deux entreprises achèteront une des oeuvres exposées. "Nous voulons donner un éclairage à la peinture qui a parfois été un peu oubliée par l'art contemporain", a expliqué à l'AFP Eric Chauveau, dirigeant de Pebeo, fabricant historique de peintures pour l'art qui dote un de ces nouveaux prix, remporté par l'Italienne Bea Bonafini.


"Pour un artiste, surtout en début de carrière, voir une oeuvre acquise, c'est une joie, un signe qui donne confiance", remarque la peintre Codruta Cernea, en visite sur le salon.


Les jeunes artistes locaux bénéficient aussi d'un coup de pouce avec un prix attribué par la région Provence-Alpes Côte d'Azur aux diplômés d'écoles d'art du Sud-Est. La lauréate Flore Saunois bénéficiera notamment d'une aide à la création de 2.000 euros et d'un espace d'exposition lors du prochain salon Art-o-rama.


Budget: députés et sénateurs échouent à se mettre d'accord, pas de budget avant la fin de l'année

Cette photographie montre les résultats affichés sur un écran géant du vote du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) 2026 à l'Assemblée nationale, à Paris, le 16 décembre 2025. (AFP)
Cette photographie montre les résultats affichés sur un écran géant du vote du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) 2026 à l'Assemblée nationale, à Paris, le 16 décembre 2025. (AFP)
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  • La commission mixte paritaire a échoué à trouver un accord sur le budget de l'État, repoussant son adoption et forçant le gouvernement à préparer une loi spéciale pour assurer la continuité des finances publiques
  • L'impasse reflète des tensions entre le gouvernement et la gauche à l'Assemblée, et la droite sénatoriale, chacun accusant l'autre de blocage

PARIS: Députés et sénateurs ont échoué à s'entendre vendredi sur le budget de l'État, écartant la perspective d'un texte adopté avant la fin de l'année, un échec au moins provisoire pour le Premier ministre Sébastien Lecornu.

Entre le gouvernement et les socialistes d'un côté, la droite sénatoriale et les oppositions de l'autre, chacun se renvoie la balle sur la responsabilité de cette impasse.

Face à ce scénario, le gouvernement avait déjà annoncé qu'il préparait une loi spéciale pour permettre le prélèvement des impôts et assurer la continuité de l'Etat, avant une reprise des débats sur le budget début 2026.

Cette procédure exceptionnelle avait déjà été activée l'an dernier après la chute du gouvernement Barnier. Le texte devrait être examiné par les deux chambres au début de la semaine prochaine, après un probable passage lors du Conseil des ministres convoqué lundi soir, au retour d'un déplacement d'Emmanuel Macron aux Emirats arabes unis.

Le Premier ministre a également annoncé réunir, à partir de lundi, les principaux responsables politiques pour les "consulter sur la marche à suivre pour protéger les Français et trouver les conditions d'une solution".

L'échec de la commission mixte paritaire (CMP), où sept députés et sept sénateurs n'ont pas réussi à se mettre d'accord, marque la fin de deux mois de discussions parlementaires autour de ce texte financier crucial.

Dès le départ, le compromis semblait quasi impossible entre une droite sénatoriale attachée aux économies et aux baisses d'impôts et une Assemblée où la gauche réclamait plus de recettes et moins de coupes budgétaires.

Et le pari de Sébastien Lecornu de faire adopter le budget sans recours au 49.3 dans une chambre basse sans majorité était particulièrement ambitieux.

- La faute à qui ? -

C'est donc un échec pour le Premier ministre, même s'il a réussi à faire adopter mardi l'autre budget, celui de la Sécurité sociale, en obtenant un vote favorable des socialistes en échange d'une suspension de la réforme des retraites.

Pour l'exécutif et le PS, le coupable est tout désigné : les sénateurs LR, accusés d'intransigeance sur les recettes à trouver.

Le patron du Parti socialiste Olivier Faure a accusé la droite sénatoriale de "faire le choix de bloquer le pays". Sébastien Lecornu a plus sobrement regretté "l'absence de volonté d'aboutir de certains parlementaires".

Car, derrière les désaccords budgétaires, une guerre des chefs s'exacerbe à mesure que les échéances électorales se rapprochent.

Une ministre accuse ainsi Bruno Retailleau, patron de LR, d'avoir attisé la radicalité des sénateurs de son parti, dans une guerre larvée avec le chef des députés LR Laurent Wauquiez.

Au Palais du Luxembourg, on renvoie la balle à Matignon.

"La responsabilité de cet échec incombe au gouvernement qui a soigneusement, méthodiquement, scrupuleusement organisé l'impossibilité d'un accord", ont rétorqué Mathieu Darnaud (Les Républicains) et Hervé Marseille (UDI), chefs des groupes LR et centriste du Sénat, très remontés, dans un communiqué commun.

Bruno Retailleau avait émis les mêmes critiques un peu plus tôt, fustigeant un texte qui "aurait envoyé la France dans le mur de la dette" et appelant le gouvernement à recourir au 49.3 à la rentrée.

A l'Assemblée, la gauche, hors socialistes, a dénoncé un gouvernement qui se "défausse" sur les parlementaires, selon les mots d'Eric Coquerel (LFI), président de la commission des Finances.

Pour le groupe écologistes, l'échec est dû à "la désunion profonde du bloc gouvernemental, incapable de s'accorder sur des priorités claires et de construire une majorité parlementaire".

- "Sparadrap" -

Cap sur la loi spéciale donc, avant la reprise des discussions en janvier.

A moins que le gouvernement ne se dirige vers les ordonnances avant la fin de l'année, s'interroge Jean-Philippe Tanguy pour le Rassemblement national. Son groupe continue d'appeler à un retour aux urnes, "seule solution" à la crise, dit-il.

La ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin a rappelé vendredi matin le coût d'une loi spéciale. "L'an dernier, on avait estimé à 12 milliards le coût d'avoir six à huit semaines sans budget."

"C'est un sparadrap", cela permet de "faire tourner le pays" mais il faudra bien que le Parlement s'accorde en début d'année, a aussi répété dans la matinée Mme Bregeon.

Outre l'urgence de disposer d'un budget, s'ajoutera la volonté du monde politique de tourner la page budgétaire avant les municipales de mars.


Paris : les envoyés spéciaux américain, saoudien et français réaffirment leur soutien aux forces armées libanaises

Paris a accueilli, le 18 décembre, une réunion de haut niveau consacrée au Liban, réunissant les envoyés spéciaux des États-Unis, de l’Arabie saoudite et de la France avec le commandant des Forces armées libanaises (FAL). (AFP)
Paris a accueilli, le 18 décembre, une réunion de haut niveau consacrée au Liban, réunissant les envoyés spéciaux des États-Unis, de l’Arabie saoudite et de la France avec le commandant des Forces armées libanaises (FAL). (AFP)
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  • Les envoyés spéciaux ont unanimement exprimé leur soutien aux Forces armées libanaises
  • Dans le prolongement de la cessation des hostilités entrée en vigueur le 26 novembre 2024 et en appui au plan « Bouclier de la Nation », les participants ont convenu de la création d’un groupe de travail tripartite

PARIS: Paris a accueilli, le 18 décembre, une réunion de haut niveau consacrée au Liban, réunissant les envoyés spéciaux des États-Unis, de l’Arabie saoudite et de la France avec le commandant des Forces armées libanaises (FAL). Cette rencontre s’inscrit dans le cadre des efforts internationaux visant à soutenir la stabilité du Liban et le renforcement de ses institutions sécuritaires.

Au cours de la réunion, le général Haykal a présenté aux trois envoyés l’état d’avancement de la mise en œuvre du plan « Bouclier de la Nation », une initiative destinée à renforcer les capacités opérationnelles des Forces armées libanaises et à consolider la sécurité nationale.

Les envoyés spéciaux ont unanimement exprimé leur soutien aux Forces armées libanaises, saluant leur engagement et les sacrifices consentis dans un contexte sécuritaire et économique particulièrement difficile. Ils ont réaffirmé l’importance du rôle central de l’armée libanaise dans la préservation de la stabilité du pays.

Dans le prolongement de la cessation des hostilités entrée en vigueur le 26 novembre 2024 et en appui au plan « Bouclier de la Nation », les participants ont convenu de la création d’un groupe de travail tripartite. Celui-ci sera chargé de préparer une conférence internationale de soutien aux Forces armées libanaises et aux Forces de sécurité intérieure, prévue pour février 2026.

Cette initiative vise à mobiliser un appui politique, financier et opérationnel accru en faveur des institutions sécuritaires libanaises, considérées par la communauté internationale comme un pilier essentiel de la stabilité du Liban et de la sécurité régionale.


L’ambassadeur d’Arabie saoudite en France célèbre la journée internationale de solidarité

Selon Fahd Al Ruwaily, la solidarité humaine et le dialogue constituent des piliers centraux de l’action du Royaume, tant sur le plan national qu’international. (Photo Arlette Khouri)
Selon Fahd Al Ruwaily, la solidarité humaine et le dialogue constituent des piliers centraux de l’action du Royaume, tant sur le plan national qu’international. (Photo Arlette Khouri)
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  • Instituée par l’Assemblée générale des Nations unies en 2006, cette journée vise à promouvoir l’unité dans la diversité, à sensibiliser l’opinion publique à l’importance de la solidarité
  • À Paris, cette journée a été marquée par une réception organisée à la résidence de l’ambassadeur d’Arabie saoudite en France, Fahd Al Ruwaily

PARIS: Célébrée chaque année le 20 décembre, la Journée internationale de la solidarité humaine rappelle une évidence, mise à l’épreuve par les crises contemporaines et pourtant toute simple : l’humanité partage un destin commun.

Instituée par l’Assemblée générale des Nations unies en 2006, cette journée vise à promouvoir l’unité dans la diversité, à sensibiliser l’opinion publique à l’importance de la solidarité et à encourager des actions concrètes en faveur de la lutte contre la pauvreté et des Objectifs de développement durable.

Dans la Déclaration du Millénaire adoptée en 2000, la solidarité est d’ailleurs consacrée comme l’une des valeurs fondamentales devant structurer les relations internationales au XXIᵉ siècle, aux côtés de la liberté, de l’égalité et de la justice sociale.

C’est dans ce cadre que l’ONU a mis en place le Fonds de solidarité mondial, destiné à soutenir les populations les plus vulnérables et à lutter contre l’extrême pauvreté.

La Journée internationale de la solidarité humaine sert donc de rappel annuel du fait que les engagements pris lors des grandes conférences internationales ne doivent pas rester de simples déclarations d’intention, mais se traduire par des politiques et des initiatives tangibles.

Une solidarité au cœur de l’action internationale

À Paris, cette journée a été marquée par une réception organisée à la résidence de l’ambassadeur d’Arabie saoudite en France, Fahd Al Ruwaily.

Devant un parterre de diplomates, de responsables religieux et de parlementaires, l’ambassadeur a souligné la portée universelle de cette date symbolique : « C’est une journée qui nous rappelle que notre humanité est partagée et que notre avenir est commun », a-t-il déclaré, inscrivant son propos dans un contexte international marqué par les conflits, les crises humanitaires et les inégalités croissantes.

Selon Fahd Al Ruwaily, la solidarité humaine et le dialogue constituent des piliers centraux de l’action du Royaume, tant sur le plan national qu’international.

Ces valeurs, a-t-il insisté, sont profondément enracinées dans la culture saoudienne, les principes de l’islam et la Vision 2030, feuille de route stratégique qui guide la transformation du pays.

Engagement humanitaire et dialogue interculturel

Sur le terrain humanitaire, l’Arabie saoudite déploie une aide « sans distinction d’origine ou de religion », notamment à travers le Centre Roi Salmane pour l’aide humanitaire et le secours, qui intervient dans de nombreux pays en fournissant une assistance alimentaire, des soins médicaux, une aide à l’éducation et des secours d’urgence lors de crises majeures.

À cet engagement s’ajoute l’action du Fonds saoudien pour le développement, qui finance plus de 700 projets dans 93 pays, contribuant au développement des infrastructures, de la santé et de l’éducation.

Le secteur privé et les fondations caritatives jouent également un rôle important, à l’image de la Fondation caritative du prince Sultan, active en Arabie saoudite, en France et dans de nombreux pays, notamment à travers un partenariat durable avec l’UNESCO.

Sur le plan du dialogue interculturel et interreligieux, l’ambassadeur a salué le rôle de la Ligue mondiale islamique, reconnue comme membre observateur du Conseil économique et social de l’ONU.

Depuis La Mecque, cette organisation œuvre à promouvoir les valeurs de tolérance de l’islam et à combattre l’extrémisme et le radicalisme. Son action s’inscrit dans une vision plus large de coexistence pacifique et de compréhension mutuelle entre les peuples.

Selon Fahd Al Ruwaily, le Fonds franco-saoudien pour le Liban, créé en 2022, illustre cette volonté commune d’agir concrètement pour soutenir des populations en détresse. De même, les efforts humanitaires du Royaume se déploient dans des zones de crise comme Gaza, la Syrie, l’Ukraine ou le Yémen.

En conclusion, Fahd Al Ruwaily a rappelé que, face aux défis mondiaux tels que les conflits armés, le terrorisme, les crises humanitaires, le changement climatique et les inégalités, la solidarité humaine n’est plus une option, mais une nécessité.

En cette Journée internationale de la solidarité humaine, son appel est clair : renouveler l’engagement collectif en faveur d’un monde plus juste, plus sûr et plus digne, où la coopération et le dialogue demeurent les meilleurs remparts contre les fractures contemporaines.