Un caricaturiste syro-palestinien s'associe au HCR pour une vente caritative NFT pour l'Afghanistan

Pour marquer le 70e anniversaire de l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés, le caricaturiste syro-palestinien Hani Abbas a créé sept images qui seront vendues comme actifs numériques pour collecter des fonds pour l'Afghanistan. (HCR/Hani Abbas)
Pour marquer le 70e anniversaire de l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés, le caricaturiste syro-palestinien Hani Abbas a créé sept images qui seront vendues comme actifs numériques pour collecter des fonds pour l'Afghanistan. (HCR/Hani Abbas)
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Publié le Samedi 06 novembre 2021

Un caricaturiste syro-palestinien s'associe au HCR pour une vente caritative NFT pour l'Afghanistan

  • Les images font partie d'une série intitulée «Windows», que l'artiste évoque avec l'équipe éditoriale du HCR
  • Le caricaturiste est né et a grandi à Yarmouk, un camp de réfugiés palestiniens dans la banlieue sud de la capitale syrienne Damas

DUBAΪ : Pour marquer le 70e anniversaire de l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés, le caricaturiste syro-palestinien Hani Abbas a créé sept images qui seront vendues comme actifs numériques pour collecter des fonds pour l'Afghanistan.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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Le caricaturiste est né et a grandi à Yarmouk, un camp de réfugiés palestiniens dans la banlieue sud de la capitale syrienne Damas.

Son travail aborde les thèmes de l'injustice, de la perte et du sacrifice humain dus aux conflits. Il s'est récemment associé au HCR pour lancer la toute première collecte de fonds en jetons non fongibles (NFT) de l'agence.

Dix exemplaires de chacun des sept dessins seront convertis en actifs numériques uniques et vendus sous forme de NFT sur le marché en ligne OpenSea afin de collecter des fonds pour aider le HCR à  pallier la crise en Afghanistan lors d'une vente qui a débuté le 4 novembre.

Les images font partie d'une série intitulée "Windows", que l'artiste évoque avec l'équipe éditoriale du HCR.

« Que représentent les fenêtres pour moi ? Elles sont les fenêtres du pays, qui permettent de voir les gens –se connecter avec eux et les entendre. En 2011, après quatre mois de conflit, j'ai dessiné la première fenêtre – un bâtiment détruit avec juste une fenêtre encore debout, et un jeune homme attendant dehors sa bien-aimée avec une fleur, alors qu’elle était partie. Il représente ce que nous avons perdu. J'ai dessiné d'autres personnages qui ont tout laissé derrière eux mais qui emportent une fenêtre avec eux, car la fenêtre est leur mémoire. J'ai mes propres idées et sentiments sur les images, mais j'espère que tous ceux qui les regardent peuvent voir l'effet de la guerre sur les gens », dit Abbas.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


« I like it hot ! » : J. Lo fait sensation à Abou Dhabi

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  • Jennifer Lopez, 56 ans, prouve qu’elle reste l’une des artistes les plus enflammées au monde

ABOU DHABI: De retour à Abou Dhabi après son spectacle magistral en février, Jennifer Lopez a dansé toute la soirée mardi à l’Etihad Arena sur l’île de Yas dans le cadre de sa tournée mondiale « Up All Night ».

En interprétant ses tubes cultes comme « On the Floor », « Ain’t Your Mama » et « Dance Again », Lopez a fait monter la température avec son énergie débordante et ses chorégraphies percutantes.

Même si j’ai regretté que « Jenny From the Block » n’ait pas bénéficié d’un moment à elle, Lopez l’a tout de même interprétée en medley avec « We Will Rock You » de Queen.

Pour célébrer ses 56 ans, elle a chanté « Birthday », le single sorti le 24 juillet, très applaudi par le public.

La superstar a remercié ses fans et les a encouragés à s’aimer les uns les autres et à suivre ce qu’ils aiment.

Elle a également plaisanté sur la chaleur intense des Émirats. « I like it hot ! », a-t-elle lancé en se ventilant.

Avec plusieurs changements de tenues et des plages musicales bien calibrées, le show a alterné entre titres dynamiques, ballades lentes et medleys.

Lopez a rendu hommage à sa culture latino en interprétant quelques-uns de ses succès en espagnol, notamment « Qué Hiciste » et « Si Una Vez ».

Elle a chanté en dansant le flamenco, vêtue d’une tenue inspirée du traje de flamenca, la robe traditionnelle des femmes aux festivals andalous.

L’artiste n’est pas étrangère au Golfe : elle avait déjà fait sensation en avril lors du Grand Prix d’Arabie saoudite de F1 à Djeddah, puis en novembre dernier à Riyad pour l’événement « 1001 Seasons of Elie Saab ».

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L’artiste saoudienne met en lumière le riche paysage culturel de l’Asir à travers ses œuvres

L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
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  • Arafat Al-Asimi a surmonté de nombreux défis pour s’imposer comme artiste en tant que femme

MAKKAH : Les montagnes verdoyantes de la région d’Asir en Arabie saoudite ont nourri la vision artistique d’Arafat Al-Asimi.

En évoquant ses débuts, Al-Asimi confie qu’elle aime utiliser des couleurs pastel pour représenter des paysages naturels et patrimoniaux. Les montagnes, les vallées, les nuances des forêts et le climat unique de la région ont nourri son imagination artistique.

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L’artiste Arafat Al-Asimi affirme se sentir chez elle au cœur de la nature et des paysages traditionnels. (Fournie)

Elle explique se sentir profondément liée à la nature et aux dessins de paysages traditionnels, en particulier ceux inspirés de l’Asir, car ils traduisent son fort sentiment d’appartenance et lui procurent un équilibre et un confort psychologique.

Elle partage également sa passion pour l’intégration de la calligraphie arabe dans ses œuvres, soulignant combien cette pratique allie esthétique visuelle et identité culturelle.


Le programme Saudi Game Champions soutient les talents locaux pour une portée mondiale

Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
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  • Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux
  • L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme

RIYAD : Le Centre de l'entrepreneuriat numérique du ministère des communications et des technologies de l'information a conclu le programme Saudi Game Champions, une initiative de neuf mois visant à soutenir la croissance des studios de développement du pays.

Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux.

L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme.

Elle a offert plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux d'Arabie saoudite.

Lors de la cérémonie de clôture, Hussain Al-Safwan de LIMELESS Studio a remporté le prix du changement audacieux, tandis que Fahad Al-Jumaan de Hero Galaxy Studio a reçu le prix de l'inspiration.

Mostafa Fares a reçu le prix de la créativité et son collègue Ali Aseeri le prix du choix du public, tous deux représentant SYMMETRIC STUDIO.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre des efforts plus vastes déployés par le centre pour renforcer le rôle du Royaume dans l'industrie mondiale du jeu.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com